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"Ctrl* vom regarde fumsurs da Franc« " Noua rendons hommage à la noble fem me qui (kit cet appel. S'il n'était déjà tr«p tard, bien de« fumeur« des Etats-U nls, tous le« citoyen« Américains, Krin gel» ou jlngiats d origine, tous les cito» yens né» «tir le sol de cette grande répu blique qui ne «ont pas attaqués d'une ri dicule et odieuse Russo-manie (il en es t de ceux-là ; ) tous auraient volontiers et généreusement contribué à la réalisation de ce don, si ingénieusement conçu pnr une dame que cette seule idée devrait im* mortnliser, si gracieusement sollicité avec «et entraînement et cette poésie dout une femme «eule est capable. Le« alliés si braves bus yeux du mon de, «i terrible« pour les hordes russe?, que ne feront-il« point après avoir reçu do pa reilles étreonea t Noua ne faisons point cette question aux Russomanes. Aisomi-tion «t KnaistATunB.-Nous epprimens nvcc regrêt que notre «mi C. L. Mavoii n été battu h 1« Légiih ture pour le poste de 14 Commis mix Mi nutes, " Lu correspondance que nous recevons du Sénsteur qui nous écrirai l'année dernière, nous apprend aussi que le poïte de "Commis nux Enrôlements" a été uccoldé par une bellte majorité à cet h mi de l'Assomption, nu succès du« quel s'intéressent tant de nos concito jrèns. S'il vient donc d'éprouver un échec, il n du moins obtenu un dédom magement. La môme correspondance nous ap prend que le parti Know*Nothings bril le i La législature par une représenta» tion très facile à apprécier et à compter. —Nous en sommes bien aise et nom nous empressons de communiquer ces fait* à nos abonnés. OST Nous prions les Sénateur« de la Louisiane qui n'ont pas oublié le Pion nier en faisant leur liste de journaux, d'ngréer nos remcrcimenti pour leur bon ituvenir. L'ELECTION . Lundi dernier a eu lieu dans l'As» sotnption l'élection annoncée à peine pendant quelques jours, pour remplir la vacance occasionné' 1 , par la démission de l'bon. Docteur Williameon. Lei Antt»know*Noihings croyaient à la candidature d'un membre de la so. ciété mystérieuse. A ce qu'il paraîtrait un membre devait en effet courir *, mais on a retiré son nom de l'arène en don* riant le mot d'ordre nut polll knowmn. things de tic pas l'ouvrir lorsqu'on a vu qu'on ne pouvait diviser les udrcrsaiics de la société. flous recevons sur I« élection de lundi un Communiqué en Anglais que nous nous empressons de publier. Il renferme u rte question i laquelle nous désirerions lien qu*on répondit. In phi* belle créature qui fût sous le ciel. Ii possédait in plus riijhe perle du monde, et II se résignait tranquillement i la quitter pendant toute une moitié de sa viè, pour aller préparer des liniments «t formuler des piiulcs i Mais ans»! comme je remerciai le ciel qui l'avait comdamnêà cette vulgaire exWtence et qui semblait lui denier une faveur dont il n'éfust pas digue, celle de; voir sa douce compngne n la clarté du soleil I II ne lui était permis de retour ner fers elle qu'à l'heure o& les chauve souris et les hiboux prennent leur som bré volée et rasent d'une aile velue et silencieuse les flots transparents de la brume. Il venait dans l'ombre ainsi qu'un voleur de nuit,, ainsi qu'un gnome malfaisant qui chevauche, le vent du soir et lo météore trompeur des tnaréca. ge». Ii venait, ombre morue et lugubre, encore revêtu de son tablier, ainsi que d'un tSnceuil, exhibant cette odeur d'à. romntft que Ton brûle autour des cata falques. Je te voyais quelquefois errer dans les ténèbres et glisser comme un spectre le long de« murailles livides, Plusieurs (ois je lo rencontrai sur le seuil et je faillis i'écraser dans le ruisseau comme un ver de terre ,* mais je l'épar {Bai» car véritablement il avqit l'encolu* norme meurtre par vn »rarçais a tORUREs.—Un drame sanglant dont l'o rigine est encore enveloppée de mystère et dont le héros est un réfugié français -^Emmanuel Barthélémy— o&l venu le 8 Décembre , jeter l'émotion dans un des plus élégants quar iers d« Londres. Nous en empruntons le réciij» un jour nal anglais : Vendredi dernier,  huit heure* du soir, Barthélémy se piésenfa accompa» re d'un buiîl ■, et j'étais toe! effilé et fout transparent des suites de la fièvre. Cora, Veiirc; chaque jeur t depuis l'aus bejuï.ju'au crépuscule du soir, restait confiante près de mot. Je passais pres que lotîtes mes journées assis sut le vieux fauteuil do la famille, nu, lorsque le so. leil d'avril était décidément < hand, je m'asseyais stir lu banc de pierre qui s'a dossait 4 la fenêtre de Cora, Lh, répa ré d'elle seulement par ies rameaux d'or delà giroflée, je respirais son haleine parmi les fleurs, je saisissais sou lon^ regard tronsparent et calme comme le flot sans »ides qui dort sur lus rives de ia Grèce, Nous gardions tous deux le silence, mais mou cœar volait verseife et convolait le cie.i nvcc une force attractive dont il devait lui être i* ( ;ftssiNe de ne pas sentir la puissance. Je m'endormis dans ce doux r»*ve. Pour quoi Cor« ne m'nurnit-elle pas aimé f Peut-ßtro falail-ii dire : comment ne m'eut-elle pîis aiméî Je l'aim iis gi éper dûment, moi! toutes mes facilités intellec tuelles se concentraient pour p.oduire une force do désir et d'attente qui plu. nail impérieusement sur Cura Soi» àme, faite du plus beau rayon d 'i ia Divinité, pouvait-elle rester inerte tous le toi ma gnétique de cette pensée de feu T Je gué d'uni; j une femme ch"sS M. G' or ges Meoro riche fabricant d'eaux ga seuxes, demeurant Warren Street, i'i'Z* roy Square, et demanda à parler au maître de i;t maison, avec îo ie! i! :, v ,. if { c i dé i >i 'i' ' ',1 It'll' « um ! t'le • i | ! Vi I ■ j fenvs, ;t , ;. . ' - 1 v il pi i:-.éik :siu;e; . mû ! ployé dans >• nianufaciui . Une servante introduisit le* c'enx vi- j sileurs dans ta salon et m i I » • prévenir M. ' Moore. Ce deroiei''arriva !_• i « • t • I «i t - l'on i d'inslnuts aprèt ia terrante eitlt mlit du j bruit daas le salon. A la vi.i* ,<Jtî son j maître; «liant à i*wa*fin, la s» i vante no- j eourut ) unis « île avait fait à peine quel (»es pas dans I escalier, qu'elle on tondit une detonation et i 1 ' chute d'un corps tUr le parquel . La fiervnotf < ilrayé«' reluon-ga chemin et alla dans la roe pour chercher du se cours. lin épicier du vei-iunge, nom me Collard, accouru! aussitôt et se mil ù la poursuite de Larlhelemy qui esca ladait lu muraille du jardin, il se jeta sur lui « t le prit au collet : unis Barthé lémy tira de c a poche un pistolet uu il déchargea sur le malheureux épicier. Collard fi'afïui-ait sur lui-même cl ail lit laisser s'éch ipper celui qu'il poursuivait loisque des passants viiuent lui prêter main fuit". L'ingénieur Barthâlcmy fut alors anôlé et mis entre les mains d'un nfiieier d-j | olicoitpii le coadni#it eu pri son. , Dans le tumulte de cette (scène, la jeune femme qui accompagnait l'u^sn^iii était parvenue ù s'échapper, il a été impossible ju-ipic !à de la je.trouv r. •'Ihuis la soirée, iî :iihélemy a été ex trait de lu ptisoii et conduit au j le. vet du lit d>" : Collar! Ce derme; a {ni iccon uaîlre on assassin cl donner ipuduue" leescigtieoiL'uts air l'événement <pti a eu pouf lui une i-.«u3 si futaie. •• Quaal à I ' ; • s • a - - i 11 , il n'a muniiVte aucune émotion. \ toutes les «pie-tiou« (pii lui on été adressées, il a obstiné ment refusé de répondre. "Banhélémy est uu jeune homme dont la mise et le* manière» font distin guées. Ou ignore encore <piel a été !<• motif du cime horrible ijuM a enininis. La rumeur publique l'ultiibue à un (en liment de jalousie," On lit à eu gnjet datH le Tinte» du 11 décembre ; "Hauiedi matin, ü dix heures, une voi ture de place a amené lia ttibnmii de police de Marlborongh stroel l'u.-sassin du MM. Morn et Collard. Tout d'a bord, cet homme a refuté de fair« con naître son nom, il a cependant liai par avouer que le nom da Birlhéiémy était réellement le sien. Un instant après, cet homme a été reconnu pour Être le même qui, il y u drtux an«, t tu en duel, î» lîgham, lu lélug'é français Cournet,sou compatriote, fait po ir le piel il fut con damné n deux mois de prison. "La seconde victime, Charles Col lard, a rendu le dernier soupir samedi soir, ii nuit heures et demie. "Emmanuel B irthélémy avait à ce qu i 1 paraît, f iit des préparatifs pour quiilei t'Angleterr« avec ta compagne, S'il n'eût pas été arrêté à i imUnt même, il serait parti -ail' le bateau à vapeur d"Homberiy,ct peuUétro eût-il réussi à éloigner de lui les soupçons de la j u lice. On a trouvé sur lui une paire de pistolets dont les canons ont six pouces de long, vingt-quatre cartouches, une boîte de capsules, un éusrme couteau poignard, un tire-bourru et une bourse très peu garnie. "On n 'est pas encore parvenu il dé couvrir le mystère qui plane sur cette affaire. La jeune female dont Burthé* émy était accompagné i»' i pi Otr»; re rouvee. mrtcmmj- w mû T 1» Ii K ö H A 1' HI (j U US. DEMISSION 1>K M . SO ULK, M» Boulé a dootié sa lié issiou, c «»m ne Voulus point le Cfoirc, et je sentis mon coeur si pur, mes désirs si chastes, que je ue craignis bieniôi plutôt d'of fiîiiscr Cora eu les révélant. Alors je lui parlai celle langue des cieux qu'il n'est donné qu'aux & si poétiques d'en tendre. Je lui exprimai lus tortures ineffables et 1er divines »outifrnntios de mon amour. Jts lui racontai nés rêves, m s illu-ion», les milliers de poèmes et de vers alexandrins que j'avais faits, pour elle. J'eus le bonheur de la voir, atten tive et subjug lée. quitter son livre et se pencher vei» moi d'nu air pénétré pour m 'enlendre, car uiQs paroles avaient un sens nouveau pour elle, et je f.ii gii en trer dans ion esprit un ordre de pensée* sublimes qu'il n'avait encore jamais osé aborder, — O ma Cora, lui 'isais-jo, que pour r»»i6-t ciailidre d'une liammeaussi pure? L'éclair qui s'allume aux cieux n est pas d'une nature pins subtile que le f«"i dont jj; mo consume avec délice. Pour quoi ta sauvage pudeur, pourquoi la superbe fierté de femme s'alai isciuienl ttlicd d'un amuni as^si iiilelhuftusd que le n4Mre f Qu'un mari, qu'un mettre, possède le iréant de h» beauté matêrifdio qu'il a plu auxanges du te dépnftiri pour moi, je ii9 chercherai jamais à lui ravir me ambassadeur américain a Madrid, M. lb'ckanridgB du Kentucky, a ôlé nommé pour le remplacer. COaii 'Ltf.lfËMT DRS NOUVELLES i». n I.K iLU/nc. N rw -Y ous , L>janvier- /.e cnimnn . ... l'erry, «in !'' d'I Japon, e-t arrivé i» bord du Baltic > Le steamship Jifrica est ni rivé à Li verpool le 2 1 eeuranU Le steam-.hip Soruk 5<lil'/s'ifuil quel qiies avaries el a ri Im lié à t/Oilc. Le sie tmship Jlnihia, de !., litrne Cu nord, c«l parti pour la ('riuiée nVec I homuies de 1 troupes fraucjai *CSi Les J''riH:!jais. on t teruiiné leur troisiè me parai ète. devant Séburtopol. Los Itns-es, dit-on, incl'ent lent espérance dans les loris où il? concentrent fou leurs moyeu m de défense. Leur? na vires sont également prêts A prendre la mer. On dit que les alliés sont décidés» doanei l'assaut i la place au'Fitft!, q«le jc& Turc, cuuiiuandés par Orner Pacha, «ei ont nrrivés. La RiJpîi' fuit deq prépaialifs formis ilabb'H (mur la cniopngue proc,haine et rappelle due* les rangs • • (11- * i ' rs et sol dats eu disponibilité ; ' ''S nouvelles le vées »out destinées nu service de la l» ilti pie. La flotte all ée e t r« venue i\ Sébas topul et le f u de ses batteries aussi bit u (pie celui des batleiius de terre ebt plus exact que jamais. Le» l'ôtts de Noël ont interrompu les nlVâirts en Angleterre. Mentvhikoff main,h — Ostev-Srtrleen U rtm/i,'d ce —Onw J'tchii à (JunitatUtnope — Lrt Tut u à ßupaioi in Mmilsohili.'îr fait savoir au czirqu 'i» la date du'2U il ne s'eunt i i« u pas»é d'impoitant au-iégn de Seii «sinpol — temps était nflreut —I'm tiller in rnr.se i enversait I• ■ s ti ivanx Iles allie-, et que des renforts con-idéraljLs lui ariivuienl. GortchakoiT a présenté, le 20, une note de St. PéLei>bourg à la Cour de Vienne, qui ne Milisfait pas le gotiver m nient aulriehien. A une assemblée de diplomates de* quatre puissances, tenue le 38, pour dé lefndner le sens des quatie point* tlout il est souvent fait allusion, Gortch tkolf a demandé du temps pour recevoir de nouvelles in traction» du c zar. Aux dernières dates Meritsch koff était malade cl le général Oslen Sac ken avait pris le commandement en chef. Cinq mile Turcs sont arrivés & Kupn ioria. La destination d'Omer-P«' lia est te nuesecrêle. Il est parti deShumla pour Con«tuniin«ple lu 17, et doit, dit-on. inveêtir I I partie nurd do Hi ba*l<ipol, avvc lue troupe* qu'il fait transporter. Il y avait nivires russes prêts à sortir de Sélia.-tupol. L'armée de réserve russe *e con centrait » Moscou. Ou rassemblait de corps cu Pologne. L'empereur Napoléon a ordonné une nouvelle levée de 1 10,000 homme*. Lt, budget présente un deficit de HO mil lions. Maladie et rumeursdt l<t mort du miniitrs atnirtcatn â Paris. New York, 13 janvier,— \SEvming Post a retpi une lettre annonçant que M. Mason, notre, minière eu France, a ci une attaque du paralysie le 27 du mois dernier. La Tribune, dit, « ce sujet, que le gouvernement a reçu de* dépêches du consul américain au HAvre annonçant la mo't de M. Mason. D'un autre côté, des dépêche* de date récente de Was hingtoiif contredisent celte information et ii >ng apprennent que le 28 du mois dernier M . Mason vivait encore, mais que mi «iluaii m était alarmante. ce que Dieu, les homme» el ta parole, ft Com ! lui ont h* in ré comme i>oit bietij la mieu sera, si lu m'exauce«, moin» #ai »issuble , moins tmivraul, mais plus glo rieux et plu» noble. C'est la partie éthé* rêe de ton àmo que je veux, o'e»t Uni aspiration brûl urte ver* le ciel qn» je veux étuiodre et saisir, ufiu d'être ton ciel et ton âme, comme tu es mou Dieu et ma vie. Ce» choses Semblaient obscures à Cora, son i'oe était «i candide ot si enfantine!' Bile mo regardait d'nn uïU absorbé dans la stupeur, et pour loi'fuira ntioux com prendre le« divitu mystôfes ds l'amour platonique, je prenais mon crayon el j*j Itérais de» ver» sur la iii naiiiu aux nnr ge, d© »a fenêtre| p li^ je fui racontai» les brillao'e» poésies de la nature in vi cible, mnour» de» «nges et des fée», le» souffrances et ie» Miupirs <ius sylphes umpri«euoéa dans le calice de» fleurs, puis le* fougueuses passions de» roses po'rr les bri»es, et réciproquement^ puis l ,j 3 chœurs aö.icn* qu'on entend le sotr dans la nue, la dauso sympathique des étoiles, les ronde? du sabbat, tes ma lice« des i»i»f nieU et les decouvorte» *r« dues do l'iilchimie» Notru botdiaur semblait ne pouvoi être troublé par aucun événement cxté~ ^ Crsmbbh nm U»tPRR«a>*TA*r« — ], y Chnmbrn «'est occunAp nnjiriH'h'ti «|a |' H nomination d*s offi ders Vf. |(. |j- ^ ein* a ét* élu grpffi «r d« h Cbumbr»! I). Mi'fVI, commis «ot miaut«* «j lanir s H. Pern lia, «er^enl d'armes, troi* in-ssienr» éfalerft les r«ndfhlHt* cbol. si* par le caucus démocratique. N ocveaü «oüi.evembnt a N bw »Y o«1. New-York, 10 janvier,-—f,rs miincûni vre» employée» d chaiger et décliner les navire» se sont mis en grèv« LVmbnr. qnement de* produits et de* rnurclmntli. ses est rcsqn'entièrement suspendu, EXTRAIT DES JOURNAUX ETftANORftg — Le 8Î?g" de Séhaslopol cortthaïc • les Russes sont lefoulés sur leur deuj}i|. me ligne de défense, ils ont abandon, né la batterie de fa Quarantaine cl l<*an*portent de nouveau leurs entions sur |es vitisnenux, ( Presse Ue ffwr«^ ) — On a généralement ajouté confinn* ce an bruit d'une expédition des alliéi contre la Bessarabie et d'une aiiaqm contre Odes?« : par mite, îe* baltertei i Oticres ont été munies de lioufeSu canons et l >-s redoute? élevées du coté d« l.uslkorf onl été augmentées. La gnr. uisou bien qu'elle <oit nombreu-««, ilnu êlie augmentée de lö A 20,000 Inutlthf!. ( Correspondante Autrichienne, > plniieur* lettre* r^Odei»a appremicti» que le* Kusses se tiennent rigoureux, nient sur la défensive à Sébi«iopol, ft qu'il? h' inquiètent «urlont d«ts opéralim,, qui pourraient avoir pour point de dé part liupolaiia. Ou dit que le prince Meaochik ffjk exposé au gouvernement de S.»int l'e tmsbourg les danger* qui mcnaeeiM,<mt ce point, son ni nié*» et I • Au ieiesj^ft qu'il a déclaré qu'il n'était pas en ètijt de ré«ii>ter à une op»»rfi.tiuti oir n-ive »»' m i i nthidérable dJiigée tl'Rupatoriii mi» St'baslopoi. Le gVnéhtl Osleu-Sikeu fut chargé pur suit»', de prendre vùn quartier général » Hirécop et de détif *u? dre IMuthme aveV I»'* irrtupe» qn| v étaient dirigée», mai# non de pré*fe'mtr le combat «u| troupe* alliée» d' Ru (»ii-' toria. ( A mi du Soldêi. ) —42.000 Egyptien? e t 2*^.000^ 111(1« sien* »ont entiei» d» pui«,1e commence, mer.t de Im guerre dan* l 'alliée du Sut* lali. Ces troupes »ont wlldéel Jiar leur» gouvernement» ren^rctif- ; la Turqui« ne fournit que les ration*. ( (iloi/t , ) — Ou mande à la datn d'O le»sa, du l i Î !é< embie, que les Ku«*ef tfanspar* lent b urs lr4«or*'Ü( ' litchitè* du Piutli dan» l'ititéiieur. , I I.« général Llnratylj a été.privé d* son eimimniidemeni pour une fiute com« mise it Ink"rmaun, te & novembre.. Le» chemin» eu Crimée scmii iihpiatrieabiy. ( Put j'ioi'j ••• i *'hi rA — Nous emprtihin*'* • l*»4 détails Sut. vaut» k une iétfre écrite Kf«r* pur Hi> militaire. Le cetrtp du prlinie BehirtolT i si établi à 2(> vëiites cPAléxandropel sur le lerriiftfre"l«lrH\ Ril vue du eümji établi sur ttois eoWnes dépdurvue» d**fr' bres, »'étctideni i drohe It à gW^ftè les plaine» de Ba|feh^Rad?cM et de K i* juk«l)éré, el p ur loin ft 40 VèMél elf virou on voit Kaw'oâ loi Tw«* sönt »ur la défensive *•! élà^ni de* fetranÖi"» ment*. Le prinee Babtitoffs'aft krr»n* gé pourpas»er l'hiver * Alewindaapol, et Ü ne parait pas vouloir pftmére M fensive. L'empereur Nlcmas a »|é à Alexandropol 12,000 roubles d'argsrtt à partager outre les »oidats blesrés. ; ' ( Gatrttt de Trmtt. ) —On mande cfe Buebtreit qua Us priâ tes de Gbika et Stlrbey ont résolu do fer. mer un eos)is inoldo*v«laqua- qui-un nii, rieur. En prenftKt la , corps, j'avais su si bieu rrrisotar, d*ni» mon ironde ^ üitellclctu^l, do toutes I»» entraves et de tons les éeueili de la vi« réelle, que je semblait n» voir rien I craindre do l'intervention de ces volon té» grossières e( intelligente« qui végé taient ft l'entour de nou». Me* senti« ments étaient d une nature si élcvée que je lie pouvais inspirer de rivalité d'«*« cm» genre A l'hom «Mi *èig«ir« qui se 4i' sait le maître ut l>'^M»ui «ia ,Cora* i .»« >. Pendant longtemps, eft, eilet* U item' bl« comprendre le mspect qu'»! disait à une liaison prolégént ^Htr le ciel. Mai» «■ta IftAiél «4 m t<!« lü ITIA iliVl 'ltidlS , . . père me »egaiidait d «», |dr. koniipia ft m''fiant chaque foil qu'îA «ntraU'dôns I» s 'immbr« oôjnou* étioas.' La mèi^ sSif tait d'y rexer tout le temps qu'elle pou vait dérober éu» affairai de sa bwuiiqo«. (ribonneau^ Mrqne par hainid je venoi» « le rencontrer,me lançait de sinnmlref et foudroyantes oélladoi i CofatdoWH oait plus réservée» desÇendaM pio#t**^ au rex-de cl»mttsée , remontait fit» ton» dans m chambre et q*«iqoefoi# *»iiwe. passait dêsjouri entiers salM pawitt»« Je m'en effrayai et j'e m)» »« m ,% \n\n [communiqué.} V Mr. Editor s Is it true that at our last Monday's election Knote Mithing commissioners nt some of the election prrcints refused to open the ballot-box ? If so, as public rumor proclaims * what political debasement docs the act evince. Men, entrusted willl the duty of seeing tli.it every citizen freely en joys the right of f» et * 'if- • proh'bit its exercise Ï— • What an iistirpaliun el power ! where ia America lias been witnessed its parallel ? An election mob, brought op to riot by d< ftMtrrl demagogues, drunk wiib rum and mad ness, in breaking' thio igli llitî Iwm iei : surrounding iIn; polls and destioying the ballot?, comrfllt an act which, how ever wrong, Is no more to be compared with the cool deliberate wrong of thus preventing c itizens froai voting, than is the homicide, who in the sudden heat of passion strikes the fatal blow, to be li- kened, ill moral guilt, to the cool deli berate murderer. Why sir, Loui-» Nipnleön, though he marked the voter never refused bim cither the right or means of voting. It eadecd may he well that the pu blic know* but little of Ivnow -N > thingism, if this closing of biillol-boxcs ''e a legal scqueuce of their principles. How forcible is Iber logic, which would prevent election frauds by pre venting the election / How more surely destroy the influence ot foreign voles lh in by rejecting the proffered vote* of citizens native born I Ilow ea-y is it to thwart the influence of the Pope, in rejecting the votes of tho descendants of Willem Penn and the Pilgrim« ! Suffrage, if not free, is certainly equal when denied alike to all. Great ad mirers of American institution must they be, who thus trample on the main spring in the complex structure of lie presenta'ive Government, the ballot. Nothing Indeed has Know Nothiiigism in Louisiana to do with Religion when it resorts to tttch means to defeat a man who though a l.ouisianian by birth is yet «—Catholic ! I am, Mr. Editor, half inclined to believe there was much truth in the remark of the person, who, on looking at the number Five affixed to the grand total of tho Know Nothing strength in this Parish, said " those five Know No thing votes are symbolical of theil' five Cardinal principles. 1 ' "How so" asked a bystander '•! thought Know Nothings had but two principles; opposition to Foreigners and Catholics." "Mistaken sir," replied the other with a vigor worthy of old Bullion, •'mistaken sir, the Know Nothings have five principles ,ßm principles eii, Anti-Catholie, Ami Roma« niant, Ariti Pope and Auii, Auti Ni» ihiiigelse, and then five *oles are pymbo«. lical of them, sir." Awaiting an answer to my above question I remain. Amehicvs