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(t ~c ~ boiaux ]LIS F&uMiiis qjhii dr Il Paroise ............. 200 OS ccý ............. $o dm wre' dur-ait le carême L 'a|e.niBe du chemin de la i l'gl'ra. St. Joeiph a quatre ! ,lmo de l'aprèe-nidi. - .r vous à voter le ,lticket' F'giqgrl le 17 avril prochain ; tl, pUi <dus blancs. Ie parti .L uiLe est entiellement le -d m ègres, puisaqu'il admet ;'- I de nègre comme un de ses rI-I0 foOdamentaux. Il D'y a os'e sortir ; c'est un fait bien Sérité choque souvent; cela ooB pourquoi le républicains psit qu'on leur rapplée que I du ègre est un de pnrin. Sihodumotauz du parti républi r, C'm pourtant vrai; Warmuth i mlapar la nez quand Mlr. lcCadl ,gêign répugnaient d'accepter cette F . . .eno _ . . . bu esusiouo ces tours derniers M -jeune républMicti intelligent, b du te cours de la conversation, ýiktt frsochement que son parti Sp l'ombre d'uLe chance de dmr cette paroisse dans les i#M.. du mois avril. Quelques r d vieux dura à cuire de son Sy gigneraient en imitant sa k M, l n'y a pu besoin de savoir ' fb et oMrre pour pouvoir voter aà fmlem du 17 avril ; les politiciens e1 pilkeat cette fausse doctrine idmlt le peuple. Ils craignent le fi -d peuple, et avec Miaou, car le dle de Lafourche cet esentielle dém doeratique. •fr routr voter le "ticket" démo. OiW10 il suffira seulement de taire mrque sur le coq en tète dela me démocratique sur le bulletin replier ce bulletin et le dans l'urne lctoradP, et ftit. Vous avez voté le "ticket'" tique du haut en buas, du vermeur au oonstable; et ,ous us fait secrètement. C'est bien simple, n'est ce pas ? PARTI REPUBLICAIN. I oos.il.nce et pour dire la vé M, y a t il un véritable parti répub. Iis ea Louisiane, un parti sérieux, eit à dire reposant sur des principes, qut uue organisation, bien diecip. i, sagement dirigé par des chefs i'es et hautement recommandable@, nsmat bien ce qu'il veut et le faisant me méthode, avec ensemble et "pro bue publice," pour le bon homme Et ce parti, sans avoir l'illusion du ilipbe dans un Etat parfaitement Ioean ique, peut il au moins sup Prm qu'il fera passable figure aux enUos prouaines ? SI l'o dit quil y a en Louisiane mI--oI m plus ou moins républi lu% prenant et portant ce nom I vgue et sgnifiant peu, on dit oe it eactr et ces différentes fac. 4 mo runies et associées à un Smoment, ne peuvent guère fin. u parti capable de franchir bI- , de marcher en ordre et l"Mnr des foubourgs de Bâton . -.que ces factions, qui ont îm - d'iadtvidus et des cocardes * uI 1t5, possèdent les principes *hdàvOmWe t qui font l'unité et E Iha, et peuventelles devenir ' l o que des factions de moins Mil" sérieuses, ans lien entre o1 s somistanoe et sans au- i Mlot ils donc les républicains I laiste, chets et soliats, avec Phll s nmMUS de la victoire ? Slh miplsUs ou nationaux, pour S~Mr4 la officieli et les offckieux IMIM de la lrote, de la i 1 e tde l'Administration ftdé 4*r d'autres termes ceux du e'«fmê d'en haut et de l'obéis .iivs-ont ils moindre es 805,1 a logique et le ladicalisme 16 rpublimsuisme sans couleur stOMfondued ou mêlées, dà i MAU peuple américain -hbIuJlsia se civiliserait en S? Est ce que jamais IB ntoar et la )ursce, 1V le progrès, les suivront !sIe suivre dans cette voie 1t11d111ese de l'infériorité . S l Lo"uisiasie, d5chue et *'a4..lle plus atwz de l U mioralité et d'bonneur ntues Su»périeure à l'angle .i i.n t Por cesser de v-uliloir le S Vi onte et qui graudit au lieu de celui qui qi aaiue et qui dé. grade ? D'un autre côté, les républicains non aussi radicaux, moins foucés, peu disposés au mélange ou à la fusion des couleurs ou des races, plutôt blancs qu'albinos, ne manquant point d'ariatocratie., de distinction, d'éducation et même de préjugés qui n'en a pas ?-sont-ils vraiment des répubiicaius à former autre chose qu'un petit clan de choisis ou geni de choix, de messieurs aussi distingués que peu populaires, repoussés plutôt qu'acclamés par le peuple, au de meurant, braves devant le mot et timides devant la chose ? Out ils l'uuilace des choses pratiques ? Est-ce à la Conveution d'Alexsn. drie qu'ils triompherout, et consenti ront ils jamais à marcher bras dessus bras dessous, le coeur près du coeur, dans l'égalité quasi-parfaite, avec des associés qui n'ont point leur éduca. tion, leur couleur et la forme de leurs nez ? Non, en vérité, il n'y a point de parti républicain eu Louisiane, et le temps n'en créera jamais un véritable? Y en aurait il davantage un aux Klats Unis, c'est à dire national ? Le parti de ce nom, qui a eu un jour du grandeur, qui a fait une chose grande et juste, qui eût sou martyr et sa plus noble expression politique et humaine dans Abralham Lincoln, est mort. Le Président McKinley l'a tué avec l'imiérialisme. #'ar le parti républicain d'hier s'appelle aujourd'hui le parti im périaliste, et si la question (le l'es clavage a failli jadts être mortelle à l'Union, l'impérialisme, dans un temps non absolument éloigné, pour rait bien être fatale aux Etata Uuis. "-Les Etats-Unis vivront par la démocratie ou périront sans elle." C'est la ce que nous disait très raisounablement l'autre jour un brave ami de Paincourt.-Le Pionnier de L'Assomption. SOCIOLOGIE CHRETIENNE. CATHOLICISML V8 SOCIALISMXI. L'un des principaux collaborateurs de l'iiitéressa:nte revue sociologique le XXe Siècle explique clairement, comme suit, les differenioes foudamen tales des solutins proplosées par le catholicisme et le socialisme au malaise social des temps présente : "Le Catholicisme social et le So cialisme ont un point de départ com. mun: l'un et l'autre reconnaissent le caractère anti humain dii régitre caîpitaliste moderne et la nécessité de procéder à une réforme sociale fon. damentale, pour faire disparaitre les injustices dout il est la sources. Ils peuvent donc se donuer la main dans la partie critique de leur oeuvre; la constatation du mal social. Mais, lorsqu il s'agit de tfaire oeuvre posi. tive et de déterminer les hases sur lesquelles devra être construite la société de 1 avenir, leurs chemins se séparent et s'écartent dans des dirrec tions divergentes, parce 4ue l'idéal vers lequel ils tendent est le résultat de données philosophiques, histori. ques et sociales espentiellement dif. ferentes. Le Socialisme, partant du concept d'une humanité indéfiniment perfecti ble, considère toutes les iustitutions sociales comme des proluits éphé mères de l'éternelle évolution. Dès lors, ni la tamille, ni la propriété, ni les institutions économiques ou rcli. gieuses ne sont des organes néces -aires de la vie sociale ; ce sont des catégories historiques, des vestiges destinés i disparaître d'un état de vie inférieur, des entraves dont l'humanité doit s'affninchir progres sivement pour arriver à un degré supérieur d'indépendance et de per. fection. Envisagé sous cet angle, le régime capitaliste est donc une étape naturelle, douloureuse peut-être mais nécessalre, du progrès social, car il achève de briser les anciens cadres qui retenaient l'humanité câptive ; en désorganisant la famille, en détrui sant la propriété individuelle, en désagrégeant les éléments sociaux, il prépare les voies i l'avènement du régime socialiste qui doit assurer le règne de la Justice intégrale dans une parfaite égalité. Le Catholicisme croit aussi que le progrès est la norme de l'humanité. Mais, pour lui, l'évolution n'est pas une marche sans issue vers une ind4finie et vague perfectibilité ; c'est la réalisation progressive d'un degré de perfection déterminée, en harmonie et tians les limites du compk;t épanouissement d-s facalhés qui c-v= tituent la nature humaine. Pour lui eucore le progrès n'est pua la résultante fatale de forces aveugles et nécessaitcmert agissantesl il ut le nnx de l'effort, du swcrifee, de la vertu, et #t institutions religieuses, fociaies, économiques, loin d'être une Y > entrave au perfectionnement humain, sont au contraire les moyens indis pensables, par lesquels l'humanité peut s'élever au dessus des faiblesses de la nature et remonter la pente qui conduit de la déchéance originelle a la perfectioa surnaturelle. - Il y a donc incompatibilité absolue entre la doctrine catholique et la doctrine socialiste ; alors que la pre mière veut la reconstitution des organes essentiels de la vie sociale, qui sont le cadre nécessaire du dé veloppement individuel, la seconde poursuit la destruction de ces organes et aboutit à l'afsorption de l'individu entre les mains de la collectivité. L'antinomie est complête enitre les deux concepts, aussi faudrait il ignorer complètement soit la thèse catholique, soit la thèse socialiste, pour croire a la possibilité d'une alliance sérieuse et durable entre l'une et l'aitre. A. B. -La ville de St. Louis dans l'Etat du Missouri a été visitée il y a quel. que. jours par l'un des hommes les plus heueux de la fin du siècle. Ily a trois mois Mr. Genas Martin un habitant du Texas vendait sa maison de co'nmcrce pour quatre mille piastres au comptant et se rendit a St Louis. l avait trois billets de banque de mille piastres chaque et un millier de piastres eu billets de moindre valeur. Après avoir visité les principaux pointe d'intérêt, il se décida à prendre unue cuite et à faire la bamboche en style du Texas. Alrèe deux ou trois jours de noce, il songea à son aigent et avant de recorumene.r ses esca pades il prit ses trois Di.leti de mille piastres et les colla en dtssous du plastron de sa chemise. Le lende main matin il changea d'effet-, jett:i sa chemise sur le plancher, roula ses effets sales, en lit un paquet et le porta il une blanchisserie sans songer que sa fortune s'eu allait au lavoir. Le surleunemain il commença a devenir raisonnable et pendant que ses cheveux lui faisaient du mal, il songea à ses billets de mille piastres, et son action lui revint devant les yeux mais il avait oublié le nom de la blanchisserie et la rue où elle se trouvait. Pris de désespoir il s'abandonna à la boisson, buvant comme un fou et sans savoir ce qu'il faisait se rendit au dépôt du chemin de fer et acheta un billet pour Baltimore. Dans ceUe dernière ville, il fut très malade pendant deux mois et durant sa con valescence, la mémoire lui revint et il se souvint du nom et de la rue de la blanchisserie, Aussitôt il prit un train pour St Louis et Samedi dernier il se présen. tait i la blanchisserie et se faisait connaître. L'un des prop'iétsires lui adressa ta parole en lui di*ant : 'Ainsi vous êtes Mlr. Martin, eh bien, je sais content de vous voir, l'ai toujours attend-., avec impatience, le moment où je pourrais voir l'iunividu qui colle le plastron (le ses chemises avec des billets de mille piastres. Le pauvre homme tombai presque défbillant lorsqu'il entendit le pro. pri(taire parlhr de ses billets de banque. A la fin il demanda: "Les avez.vous trouvés ?" "'Oui, fut la réponse ils ont été trouvés par un accident. Comme j. faisais une inspection dlans le lavoir. 14 les vis coller à la chemise. Je les détachais à l'aide de la vapeur, et je les ai conserves me doutant qu'on viendrait les réc.amer tout de suite. Mais personne ne vint, et la semsine dernière mon associé et moi décidé rent que si personne ne venait les réclamer nous ferions une annonce dans les journaux. Maintenant veus êtes ici et vous pouvez rentrer dans votre bien." Martin expliqua alors comment la Schose était arrivée et offrit cinq cent piastres comme récompense aux propriétaires de la blanchisserie mais ie ux-ci ne voulureut rien accepter. Martin déclara qu'il ne ferait plus jamais de sa vie une chose pareille. La prochaine fois ditil, |skes colle. i rai sur ma peau et après les avoir revètues d'un papier de tissue Je les couvrirais d'une empllâtre poreuse. Un procès civil qui promets d'être très sensationel non-seulement daOb l'état de la Pennsylvanie, mais aussi bien dans lo0s les Ktats.Unis est le procès intenté par Mr. Frick à son associé Mr. André Carnegie de Pitta. burg. Messieurs Carnégie et Fnck ont été associés, depuis nombre d'années et faisaient le commere du fer et de l'acier. lls ont été décernés à juste. tire le surnom de rois de fer et d'acier. Mr. Carnégie a toujours été con sidéré comme un homme honnête en afaires et dont la réputation cum merciale était au dessus de totte enquêt. Depuis quelques années il s'est montré très philantrophique et bienfaisant Il a donné-des centaines de mille piastres pour l'établissement de bibliothèques publiques dans tous les Etats >Unis, et voilà que maintenant son associé va le poursuivre devant les tribunaux civils pour malhonnaté en affaires et pratiques frauduleuses et lui réclame seize millions de piastres comme part de bénéfice qui ne lui a jamais été payée. Cette maison faisait des attires qui s'éle vdt à une moyenne de trente millions de piastres par année. Voilà un procès qui certainement fera un grand bruit. QUARTIERS D'ORANGES GLACES. Cette friandise présente le triple avantage d'être peu coûteuse, facile à préparer et très appréciée. Choisiserez de belles oranges que vous pèlerez soigneusement et dont vous séparerez les quartiers sans les endommager. * Passez un fil au milieu du bord de chaque quartier, à l'endroit où il y a deb fllaments résistants, et nouez le de manière à faire un petit anneau. Puis avec du fil de fer, préparez de petits crochets en forme d'S. Fait3s fondre du sucre blanc et quand il aura cuit jusqu'à faire de longs fils, trempez.y successivement les quartieis d'orange en les tenant suspendus par les crochets passés dans les anneaux de fil, puis ac crochrz-lts à la suite sur une baguette ou une ficelle tendue. Il faut agir promptement pour que le sucre n'ait pas le temps de chaiigei d'état pendant l'opération. LE CHEVEU BLANC. MONOLOOUE Poésie de Victor Cresset Simple Histoire Racontée par Mme Amiati. C'était l'été dernier. De passage à Berlin Je dînais chez une baronne Dont, depuis vingt ans, le destin A fait une Piussienne. Elle était Bourguignonne Avant son mariage, et, malgré ses succès D'esprit, de finesse et de grâce (Car, a la cour, elle avait sa place), Malgré son nom, son coeur était resté Français ; Revoir son cher pays de France Etait sa plus douce espérance. Au dessert, on en vint à parler de Paris : Bons Germains 1 ce ne fut qu'ironie et mépris. De l'astre des cités, la perte était fatale ; La superbe Lutèce était sur son déclin, Et, sans aucun doute, Berlin, De l'Europe, sous peu, serait la capitale. . Paris fut mis au pilori. De tant d'outrecuidance outrée ; -Y> bien 1 je vous fais un pari, Dit la baronne exaapérée ; Que l'un de voua, messieurs, me remette un objet. Insignifiant, sans prix, vulgaire, Et, je le jure ici, Paris en saura fai'e Un bijou, quand Berlin n'en ferait qu'un hochet 1 Un grand seigneur tint la gageure : Il promit d'envoyer un spécimen pur saig Dont on ne pourrait pas altérer la nature. Qu'envoya.t il ? Un cheveu blanc. La baronne, un instant, fut fort em barrassée ; Car, que faire avec un cheveu ? Et sa parole était en jeu. Bah 1 Paris saurait bien trouver la panacée. En expliq'uant le fait, Elle adressa l'objtt. Intelligence sans pareille, L'artiste, quinze Jours après, Lui retournait une merveille: Du pari, c'était le succès. L'Aigle noir de la Germanie, Dans sa serre, sanglante encor, Etreignait un cylindre d'or Duquel le blanc cheveu sortait comme un génie. II supportait un écusson, i Gracieux, simple de façon, Dans lequel on voyait l'Alsace et la Lorrmine Sur un lit de feuilles de chêne, Et, dessous, en lettre de feu : t "Vous les tenez, hélas ! mas c'est v par un cheveu." -Le 29 novembre dernier, on a Inauguré, en l'église du Sacré.Coeur à Montmartre, un monument en l'honneur de Louis Veuillot. Mgr Huera. évêque de Digne, a prononcé un magnuique ducours. Louis Veuil,. lot doit être le modèle de tout jour. naliste ou écrivain qui se dit catholi. que : pas d'alliance avec l'erreur, quoi qu'il en doive coûter 1 C'est notre ligne de conduite, malgré tous les désagréments qu'elle nous cause de toutes parts. C'est celle que traçait le saint Pontife Pie IX et que recommande, entre autres dans sa belle lettre aux évêques de l'Améri. que latine, le glorieux Pontife Léon XIII heureusement régnant Que nous importent les conseils d'oppor tunisme de ceux qui se digent nos amis ou nos prudents conseillers ? Le Souverain Pontife a publié une C('nstitîution par laquelle il étend le bénéfice dIa absolutions et du Jubilé plénier de 1900 aux religieuses, aux Oblatns, aux Tertiaires et aux autres jeunes filles ou dames vivant dans les monastères ou dans les pieuses communautée, ainsi qu'aux ermites, aux infirmes, aux prisonwiers, aux captifs, aux malades, aux septuagé* naires: on le voin, lveSaint-Père songe tous et à chacun de ses eufants. Si ceux ci lui rendaient amour pour amour ! C'est sainte Catherine de Sieune qui disait: "Je ne comprends pas qu'un catholique puisse dire 'au'il aIme Dieu s'il n'aime le Pape." -La Sacrée Congrégation des Indulgences et Reliques a publié tout récemment une liste des prières indulgenciées apocryphes trop répan dues parmi les fidèles. En dehors des vraies prières indulgen',iées, nous répéterons ces paroles du grand Pape de l'Immaculée-Couception : <-Les prières les plus belles et lesc plus riches en indulgences sont celles dont l'Eglide se sert chaque jour et <lui sont contenues dans le Missel et dans le Bréviaire." BANK 0F THIBODAUX, TEIBODAUX. Lne. DESIGNEE PAB LE JUBI DE POLICE COMXE DEPOIITAI=& DES PONDS PUBLICS. OFFICIERS: E. G. ROBICHAUX, Président, 10 P SHAVEB,........ (iiier O. NAQUIN, ..Vice-préaident P L.IBRAUD,..Asmistaut-flas8bi»r E. U. MORVANT, Vice-président. DIRECTE URS, E. . ROBIOUHAU, THOMAS BEARY, OZEIIE UAQRI N L A. TROOULAIR, P. L. BRAUID, L. M. LA MAN, E. U. MORVANT, ERNEB BORGEB, O. P. SaHAVeR, E. BEAUVAIIS W. H. PRICE, ----:0: La banque est munie d'un coffre-fort avec un '"time lock" et à l'épreuvc (le toute infraction, renfermé dans une voûte revêtue d'acier. Avec un Cspital et surplus dle ($60,000. -- :0:, FAIT, EN GENRBALTOUTE8 LES AFFAIRES DE BANQQUE. 0- 'Ichete et vend du change au tau r le plus bas, soit domes. tique, soit e'ianger Reçoit des dépota remboursables sur mandats vne. Votre patrouage eut Ardemmueut respectueusement so!licité C. P. SHA VER. Caissi<e Bank of Lafourche, OFFICIERS : A. J BRAUD, Président, K. J. BRAUD, Caissier, (,. J. BARKER, Vice Président, P.F. LEGENDRE,Assitaut Caiwier DIRECTEURS: THOS. D. KENT, D. DELAUNE, W. H. RAGAN, 8s. E. N. ROTH, JONH T. MOORE, Ji., Da. L. E. MEYER C. J. BARKER, A. J. BRAUD, C. R. BEATTIE, AILCIDE TOUPS, K. J. BRAUD. Fait, en General, Tontea Affailre de Banque. (3!R«t« et $ead du eBoenge, soit Domecstique, seit Ltrenglr. Votre Patronage est Respectueusement Sollicite. 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Akthaus ma ime et Th Tvbus.-WuI Pliu cIE atm le p.mouton -.g et .bahu» »UmJm et u »Su QSoute Ome Doll ar Ymr. PEUMA.I VICT AEE àNQENT$ wit fIa 14MW YORK HYERALO. br clOE a&l tOIhe SEIAL TELUJEAIP U1mV lCEace th11 greateet et a&l ma, paai la p~ca et aut faos e pIetlag.m aaiet?.a. al-»epatu. le, Amauatai rama »ea aM Oe aarImgO tea gbem rpapi halle TUE VAILI PIrATàv<4 mii lm or he Whou Wo ld. .. TWCE-.WE PI CAYVN U~L Dlyimoy%&"- Papota aWeak: nau ,egr .. .112 Mi, momth ...... » WI~ IO~Y BRfUt. J-~M · .......bo.....Pmet mah ....4 l oeap Euiag amio te à» . E ....m......S it Sasmt*ba ......a fiee Orla La luneeswar mmder ont TKEIIII PICAVUNE. nie er New Law~ \n\n WHEN YOU GET MARRIED Yon want Pime handsome and stylish Wedding Invi tations. We can suit you. The best assorted stock ever in town,and lots of it. THE SENTINEL, .ee. Purimme OuR SPECIAL T. i-9 Send your Job Printing to this Office. Satisfaction Guaranteed. 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