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tUe1 10t' ~I Fi);lboû1 .>f.i.l ds la Paroisae .. . ..ur..8 0 ÂEOi<~EEMENT. .~~~,,...... 52<9.00 Divie Sagesse! tes influence', 8 rlutaires i mon ime que la ,ildo matin à la fleur languisianle, ii v!Vre dans mon coeur le senti. st de la félicité, que le souffle b a.,OI de l'illusion faisait r< *ioeir. Je m'égarais sans retour q 0t W bords de l'ablme, et mon J i, t toublé ne formait plus que les r l. ehimériques, quand tu me " ,dItjss l'etemple frappant <e ia. Kcouts, mon fils I écoute la ti la histnire de cet infortuné. l jlonol les cbihînes du temps s'ap-. i pum-tiurot sur tes membres, et que j dbaveux prendront la blancheur ( c.gn~s qui folâtrent sur les bords tu ,ru stes étangs, tu rassembleras ta c ombreuoe famille sous l'ombrage k £'u antique sycomore, et tu lui l ,fpiteru ce que Je vais te raconter l kredira dans la suite à ses fUit, qui le transmettront d'àget lig jjusqu'à la fin des siècles; ; ai que les hommes apprennent à opwcter les décrets du souverain dispesateur des événements, et A ne IaNsi murmurer coutre la Provi Dans les jardins délicieux d'un pbaat de la terre, vivait un mortel dri des dieux, dont l'unique soin, dbs ou enfance, était d'arroser plu. sem fois le jour les teudres fleurs i . dcées par les ardeurs du soleil. »ua l'obcurité de sa condition, il éuait heureux, parce qu'il n'avait MoLst les désirs qui dévorent le coeur je avides humains. Le bonheur qui | flit lk lambris dorée, vient plus asîegt habiter sous le chaume, et ne plaît dans sa simplicité. C' st lui qol répand la séréaité sur le front ;d laboureur, tandis que le riche, au iot de ses trésors, offre dans ses wnrrds pâles et livides qu'un objet empli «h'borreur. L'aurore voyait bheureux Zélim commencer avec plaisir son travail ordinaire, l'astre do Jour au terme de sa carrière le aissait occupé à se préparer un repas frugal,. jouissant d'un repos plein de charmes que le fatigues de la jour née lui rendaient encore plus pré cieux. Son bonheur était parfait s'il lot été durable. Mais hélas 1 comme la feuille que le moindre zéphir agite, le coeur de l'homme éprouve de eoutinuelles agitations. Tel est son lrite sort, qu'il ne se croit jamais hkreur : l'ambition vient le chercher usque dans les retraites les plus écaru4s. Pourquoi, dit-il un jour, Su Jetant au regards sur les vastes palais du sultan, pourquoi le destin 's-t il si mal partagé que de me Wre naître dans l'état misérable de ldlinier; aussi peu considéré sur la ltit que l'atome dans l'immensité de la nature, tandis que d'autrf4 dans l'abondance, les grandeurs et Ipe ribees, filert san inquiétudes les )cur l1 plus fortunée9 Oui 1 le bonheur doit être plus grand sur le hme qne dans une chaumière qui m défend g peine des injureq des Bison. A peine cette funeste pensée M fut.elle emparée de son esprit que - roeur ne fut plus qu'une mer édliions où la félicité vint s'en loutir et se perdre: il devient mal. *-ureux. Un soir qu'en plaignant Ma destn il se promenait £ grands pudaus les allées i perte de vue, i force supérieure l'entrnaîna vers t bos de lauriers, dont le feuillage uilalt pendant lejour des ardeurs de midi. De sourds gémissements frappet son oreille; dans as sur pi Il tavance et il entend distincte mat la voix dun homme plongé 6i5 le eaux de la douleur; il rooon 1 le sultan qui se soulait dans la ouiire en s'arrachant la barbe et h frappant la poitrine. Que mon I est « plaindre, s'écriaitil, i pIa-de des richesses immenses, mon u htait trembler l'aurore et le shdant, et je suis le plus infortuné lo mortels. J'apprend qui'un fils IdMe, un fils dénaturé trame contre m )ojn ; mes serviteurs me trahis. -t, et pour comble d.; malheurs, Inlta, ma bien.aimée Fatima m'est hul; la perfide, s'unit avec mes .-mri pour me plonger le poignard l is le sein. Ah!/ cruelle fortune SNUinda tes dons empestés puisqu'ils hst avec eux tant d'amertume. *s Slota lui coupèrent la parole ; - - ttL ZElim reste immobile; Sfoule de pensées s'offrent à son Pit; salO la raison perce à travers I SoIbres nuages qui l'obecurcis *• N .- Les hauts pins, s'écirie t il, at pInté frappés de la foudre que r fls roseau. L'aquiloo insulte le ,trnwem t des montngnes et respecte l'humble vallée. Plus le mortel est élevé plus les coups que la fortune lui porte sont terribles. O vérité céleste ! tu seras désormais gravée dans mon coeur. En finissant ces paroles il se prosterna devant l'Eter. nel qui avait éclairé son entendement: i l'adora dans sa grandeur, et le remercia de ne l'avoir fait naître que simple jardinier. La VÂNÀDIIN. LA PROCHIAINE CAMIPAGNI. Lha cmprgne polipiqe o de fra900 The n fish clhtre I t ute dbs plwIt mareoquables, Bidotyla plad rensarhl uable de l'histoire de la répubriquea f Jpatiyi le peuale amr hci n'est oàt résoudre d'aussi noatbreusel d'eausi imfortantes question publiques. La, litinrequite etrieuie de l'radmiistra tion actuelle, carré.ent expansion uiste, n vraw ubir t ou proch s devsnbth le Iurh populaire, et on peut f'rtteh nrt i quelnue cbosen d'extraordinae!oi Cte 'ady tas un. eiis questhaiop r que edt auntoieU[ iaht veos un edpirel colonicrl. Ça veut c'ire des~ rméfr(l t:pketiieuto, dbs ottefs awonsid.Tra.e' band, des émlied thilomatique awo c ha toutes les puisrancee, ds budgea t militaires ituran, et tisat d'autrers chosnes désagableepn Sureo, ct.eule 1 quesaiou d expansion, les partis saot prnohondlfmert divises et les censa de ounes les acgtionr do panris solt lohi de faire byouug méanye. Lodge est eaysteioGnniste A outrae. Ouotr, qui est rauss rpublicain que lui, preéfren it voir les firtdaynr reyter un Amérique, et oflor Is d puinsaes europdthente, the partager l'Aide. Bryan crie nTreext l'imporinlisme tandis que Morgan, the democrate de Ia vieille rche du Sud, prache il'ex pgnsionet la on auête. Noup allons andvoir une grande campagoe g'rlo quence surtout, comne oans toutew ler révolutione. Car c'eet vraiment Sune rvolutioa et une revolution Sradicale. JUsqu'ici, respectant avec t religioo le testament de Washington 'et la doctrine Monroe, le psuple aumércaino s'était gardé de r'immier 'I dans les affairer de l'Ancien Monde, tl pas d'allianoces, ni offensives ni défeil bt tives, pas hde conquêe, paw de colo 2nie;mais end revwc.hen he l'Amrique BIU au méricainsI seule. Pani d'inter. ame etio h en Eurye, d'ailleur ; mais wpr contre, respelt a f'équilibre e américain. AIjourd'hui, a altlnsou s - bowlevster tout a ela o c'est la quet - f iao qii se dresue et A luaqelle il va 1 falloir faire face. Ça va probable Te ment Atre la quertioo péepondirante i, de hacampagne polit.que de 1900. e l Et Jamai nos t ebstesw d'wtaujod'w W heui ne pouvaient tver un o lus beau s tbème A leurs efforts oratoires. Et i! rtnous faet pllnsir ds c'ontater que Bsaour pvoni up he léade d'hommed u, d'tat wout a fait capables de trsater - la quertion. M~cKinley, BrryaHor,Hor i Miorgan, Lod~ge, LitUlefeldl, Bourke e Cochren et quatre ou cinq wutiest e vont donner la mesuire de leurs forcer. ,ous ad bllos entendre beaucoup de g beaux dic, and woum voadrions voir hu de nos orareur candiens a'illuB s Strer dans cette camipagoe ; et comme les orateursirlandai set allemanods; ponnth er deaw s dhyiscu.uai reteu Stiseret par tout le pys· «t relèvent le bi pretiga e de leur racen-Le ,robis de Lawrence. PENSEES SUR LA CROIX. 0 CRUX, AV£, $PIS UsICA I De mime que la croix matérielle se compose de deux pièces de bois, dont l'une est placée directement eon travers de l'autre, ainsi, dans le vocabulaire chrétien, la croix spiri. tuelle consiste dans deux volontés qui se contredisent: celle de Dieu, qui désire nous rendre heureux par le sacrifice, et la nôtre qui désiri la jouistanie. 1. La croix est un étendard comme le chante l'Eglise ; quiconque refuse de s'en rôler à as suite n'a poiut Jésus pour chef et pour roi ; c'est pour cette raison que l'image du S.:uveur crucifié est portée à la tête du peuple fidèle dans les processionP. 2. C'est la colonne de feu et de nuée, qui nous protège contre les i ardeurs du Jour, et nous éclaire peu. daut la nuit, comme autrefois les Hébreux en voyage vers la Terre promise. 3. C'est la chaire, d'eù Jesua nous enseigne les trois vertus chré. tiennes qui nous font aimer les trois branches de notre croix, savoir : la pauvreté, la souffrance, et le mépris. 4. C'est le lit de repos de Jésus, sur lequel nous trouvons auprès de lui la su avité, la paix de notre &me. 5. C'est le chandelier, sur lequel îa été élevé le flambeau divin, Jésus, la lumière du monde, qui de là répand ses rayons sur uos mes. 6. C'est le phare, dont la douce clarté guide les nautonniers égarés sur une mer orageuse. 7. C'est l'autel, où l'agneau de Dieu a été immolé comme not--e victime, et où, nous ausi, nous devons vivre et mourir an esprit de sacrifice. 8. C'esL le poit, étroit mals parfaitement sûr, par lequel il nous faut franchir l'abîme qui sépare la la terre du cieL-Le Pionnier. COMIBIEN DK TEMPYS CHA~CUNY DOIT VIVRE. Le calcul des probabilit6s appliqué î la durée ce I vie humaine amène plus d'un m6compte, Les solutions sout bonnes pour les moyennes ; maie il va de oi que l'on ne peut conclure du général au particulier. Le calcul vous tait mourir A 60 aus et vous avez bon pied bon sail à 75 tus Et réciproquement. Il ne faut doue prendre !es tables db mor talité que pour ce qu'elles valent. Pourtant, M. Hall Schooling, de Bruxzlles, rappelait récemmeut une vieille règle permettant de déterminer !a durée de la longévlté future d'un nomme, si l'âge actuel est compris eutre 12 et 90 ans. La rsgle est îacile A 6noueer. "Petranchez votre âge de 86; divises le reste de I soustraction par 2 et vous aurez le nombre des années qui vous reftont à vivre." Ce n'est pas plu« diffuilk que cela 1 Vous avez 60 ans. DouO vous vivrez jusqu'a 68 ans. Mais si vous avez 60 ans, vous vivrez Jusqu'à 73 ans. Yi vous avez 65 ans, vous vivrez julqu'Y 76, etc. Il y a avautage aveu 1a règle à avoir un âge avanc. Les cha•oes de lougévlt6 augmen. tent, en effet, avec l'âge, puisque l'ârge lui mime prove cette longé. vite. Il paraît que cette vieille règle fut inventée par un certain moine qui, en 1685, émigrade France en Angleterre, enseigna les mathéma tiques at Londres, fut l'ami de Newton et devint membre de la Société royale. Elle est assez simple pour rester gravée dans lI mémoire. Da. PJTXR WAHX. IL PAYA LE SOUPER. Trois hommes mariés s'amusent Jusqu'à une heure asses avancée à un de nos "club." L'un d'eux afin de montrer beaucoup de volonté I u femme, propose que chacun ftae à son arrivée chez lui oe que sa femme lui dira. C'est entendu qu'un souper sera payé par celui qui y manquera. Le premier arrivé dans sa maison, il fait noir, et met un pied sur la queue de la chatte, qui liche un ou ack l La Mfmme qui dormait, s'é. veille, et dit : tue donc la chatte 16 ; et il faut tuer la chbatte ou payer le souper. La chatte fut tuée. Le duzxième, en arrivant de la même manière, renverse le siège du piano, et ai femme lui dit: Brise donc le piano. Et le piano tut brisé. Le troisième, aur la dernière marche de l'escalier, fait du bruit, qui réveille sa femme, et elle lui dit en arrivant à os ch-mbre : V-. donc te tuer dans l'escalier. Oh, non 1 JE PAYERAI LE SOUPER, dit-il. SOUVENIBRS. O mon pays, heureuse terre Où le sort plaça ma carrière, Ton image, à notre bonheur Si chère, Remplit de son charme enchanteur Le ooeur Tes lacs bù des monts se réflètent, Tis eaux qui sur des rocs se jettent, Quand nous en sommes éloignés, Répètent 0 vous qui noua abandonnes, Veides 1 Nous rêvons à ce toit champêtre, A ce vallon qui nous vit naître, A ces rochers, à ces grands bois De hêtre 0O l'écho redit taut de tos Nos voix, Le soir quand le soleil décline, On entend la cloche argentine Du troupeau qui dans la forêt Chemine, Et qui vient donner au cbalet Son lait Oui, mon paya, ta douce image Nous poursuit au lointain rivage De tes lacs alors vient s'offrir Le plage, Et nous voulons y revenir Mourir. HYGIENE DES APPARTEMENTS Les appartements doivent être aérés fréquemment pour en chasser l'air vicié par la respiration, et le remplacer par un air plus pur. Ne pas manquer par conséquent de tenir les fenêtres ouvertes, chaque jour, au moins pendant quelques instants, même par les plus grandd froids. Mieux vaut éprouver le froid un iroment que de passer la journée dans une atmosphère malsaine. Un mariage comme il n'en con. tracte très rarement «L Moutréal, et même en Amérique, pourrions.nous dlire, a été clébré à Ste-Brigide, ces jours derniers. Le marié, père de douze entants, a épousé une veuve qlui était elle même mère de onze enfants qu'elle a eu de mon premier mri. Le plus vieux des enfanta det deux côtés, n'aurait que 15 ou 16 a-. Voilà au moins des gens courageux. ..M4Nbpe- -•8 VA RIETES. Une maman vient infoirmer le Q proviseur du lycée que soa fila est l relena c la maiaon par un malaise. -II croit, ditelle, qu'il a (ris la grippe en étude. ^ Le proviaeur, qui sait i quoi ,'eu _ tenir sur le compte du petit bon- . homme : -Ne nrait.ce pas plutôt l'étude A qu'il a prise en grippe ? A L'avocat--Avant de prendre en main votre défense, il faut que vous me disies la venté toute entière. L'accusé.-Je volus dirai tout, sauf olù J'ai caché l'argent volé. , La petite Jeanne est une charmante v nillette de cinq ans, aiméb et choyée. SCependant, elle æ'et attirée l'autre t' lour une réprimaude év6re v -C'est bien, r6pond l'eihfant, la voix étouffée par les larmes, c'est bien maman, demain Je retourue dans P mon cbou. Z6de est tres monté contre sa ° belle mêre et se répand en réecrimina. tions. -Je t'aasure, -on ami, dit Mme t Zéde, que tu connais mal maman.... c il y » deux femmea en elle. -Sapristi I se recrie Zèdc. C'est c déjJ bien assez d'une. 9 -Un étranger, assez simplement vêtu, s'adressait à un i-dividu en. core plus simplement vêtu : Monsieur, pourriez vous m'indiquer un restaurant à trente-deux sous, où je pourrais faire un boa dîner ? -Oui, Monsieur ; allez rue Mlant martre, an coin de telle rue. --Merci, Monsieur; maintenant, pourriez vous m'indiquer où Je pour ,rais trouver les trente deux sous. Le Dr. Tantpie est.il fort sur la méaecine ? --Ave la iuienco qn'il posaéde on pourrait remplir un cimetièr. ler fl1neur-Pourquoi cherches tu , de l'oavrage 1 Ze flaun'ur..-Pour passer le temps. | Ada.-Je rois qu'il • plu d'ar- . Sgent glue de cervelle. i Clsra.-Oui ; il lui reste encore quelques soue. : Entre amis : --Je ne vaii pas pour vous voir. ( 1 Les affaires, vous comprene... Mais .oyez tranquille, voue pouves eompi ter sur mmo, le Jour où J'aurai besoin I de voua. Un vieux lord ecoasat eut une 1l attaque de goutte au milieu de la ' chasre ; comme oela le contrariait, il .' fit venir le médecin, qui fit de ion mieux sans obtenir de succès. Les semaines passèrent et le malade devenait très anxieux, Ju0qu'à ae mettre en olère. ,,Pourquoi, dit.il, un Jour, dans un accès de crise, au lieu de tourmenter mon pied, n'attaquez.vous pas le mal i sa source ? Le docteur ae leva alors, et avec son blâton, il re mil i brioer les fla. cousde viu qui se trouvaient s&r i'étagère. Le vieillard ae levant plein de fureur : --Que faites.vous-là ? s'ecrie-t.il. -Je détrui ,,la source du mal", répondit le docteur. Quel estle mot préféré de ces dames ? Le dernier. C'était pendant un dîner chez bi. X. Quel est ce monsieur, Ià.ba T t·ait un invité. C'est le docteur P.... Un homme charmant. 8i vous saviez comme il • prend .aiment la vie.... -La vie des autres i le le Un client sur le boulevard prend ir un jourual de deux sous et donne ir, une pièce de qaranmte. «, La m archande.-Je n'ai pus de Imonnaie ; vouI me paierez demain. in Le client, facétieux.-Et si une e voiture m'écrase aujourd'hui ? Sa marchande, ne pensant qu'a ses dix centimes-Bah I ça ne serait pas une grande perte ! -Cocher, une piastre pour toi si tu arrivee à la gaie, à temps pour e tramn de 4.30. -Montez bourgeois. J'arriverai à temps, à peine de vous casser le cou en route. Ainsi, madame Pingouin, votre man doit être juré aux prochaines assises, Sera-t il sévère ? -Lui, sévère l Oh ! mais non. Il ne se sentirait même pas le courage de faire condamner une porte 1 -Grand père, es.tu bien vieux ? demanda la petite LilL-Eh, oui, mon enfant ton pauvre grand pape est bien vleux-Et te reste-til des dents ?-Plus une, mon enfant: Alors je peux te donner mes noisettes à garder Où avez vous mal, Jeune homme ? -Je suis employé dans la fabrique d'une de imes tantes ; je mange com me un loup, je travaille comme un chien, et quand ma tante n'est pas contente de moi, )e pleure comme un veau. -Eh 1 bien, je crois que vous feriez mieux de vous adresser à un vétérinaire. Les cbhapeaux au th6éâtre. Le 2 poirts de vue, d'après le «Punch". Un vieux monsieur, exaspIré, d une jeune femme dont le chapeau monumental lui coupe le spectacle. -Pardon, madame, mais mon fauteuil m'a coûté dix abillinga, el le tiens à voir, vous comprene. Votre chapeau.. La dame.-Mon chapeau, monsieur, m'a coûté dix Kuiné6s, &t je tiens à ce qu'il soit vu. Voilà I Au Pèrc Lachalise. -Un orateur, après avoir récapi tulé toutes les qualités du défunt, termine son discours par la phrase traditionnelle : -Il emporte tous nos regrets 1 -Ajoutez qu'il m'emporte aussi 20,000 francs ! dit un des uistants. LE SOUTERRAIN DIE KIEW. A Kiew, en Russie, sur la rive du Dnieper, est situé. si l'on en croit l'Itermédiaire, un extraordinaire couvent souterrain dans lequel vit une population de quinze cents mornes. L'entrée de cette énorme crypte est placée dans les caveaux dé la cathédcrale de Kiev, une des plus belles de la RuSie. Les quinze cents moines mangent et boivent comme le oommun de@ mortel& ; pendant une heure, chaque jour, ils sont autoriâés à sortir du tombeau pour respirer le grand air Ce tombeau c'ut le couvent à plu sieurs mètres sous terre, vastes scata combes qui s'éten'lent à plus de cinq kilomètres, et dans lesquelles les reclus 'ont pour éclairage que des lampes. Ces religieux sont presque tous des hommes de science; la plus grande partie de leurs temps est consacrée à l'études des sciences exuetes les découvertes qu'ils ont faites, en chimie, en physique et es mécanisme ne se comptent plus. BANK 0F THIBODAU-, THIBODAUX,. Lne. DESIINEE PAB LE JUX? DE POLICE COXM DEPO8ITAIE DM FONDS PUBLICS. -:0: OFFICIERS: E. G ROBICHAUX, Président, 1 P SHAVER,........ CuIiWfi O. NAQIJIN, ..Vice-préiideut P L.BRAUD,..AstUitant-(lMaierl E. U. MORVANT, Vice-président. DIRECTEURS* E. G. ROBORHAUX, TBOMAS BEARY, OZEME UAQUIN L A. TaOSULAIB, P. L BBRAUU, L. M. LAYMAN, E. U. MORVANT, BBNE8 JOGER, O. P. SHAVEB, B. BEAUVAIS W. H. PIUCs, :0: La banque est munie d'un coffre-fort avec un "tilme lock" et à l'éprera de toute infraction, rfnfermé dans une voâte revêtue d'acier. Avec un Capital et surplus de $60,009. --:0: FAIT, BN OBNEBAL,TOUTES LES AFFAIRES D£ BAUQUR. -o - Ychelte et vend du change au tau le plus bas, soit domen 4 tigue, soit evianger BeRçoit des dépota remboursables sur mandats vOe. Votre patronage est ardemmeut respectueosement sollicité C. P. BiDA VEIL Çusaiai Bank of Lafourche, tB22ft^îW£LSu * * * ]^f^^^SX OFFICIERS : A. J BRAUD, Président, K. J. BRAUD, Caissier, (I. J. BARKER, Vice Président, P.F. LEGENDRE,Assieta.t Cairssier DIRECTEURS: THOS. D. KENT, D. DELAUNE, W. H. RAGAN, Sm. E. N. ROTH, JONH T. MOORE, J., DR. L. E. MEYEB C. J. BARKER, A. J. DRAUD, C. &. BEATTIE, ALCIDE TOUPS, K. J. BhAUD. Fait, on Genenral, Tontes Affaires de Banque. CaIget« Ct gC»d du geRage, soit eomge«stiqu«g, soit &tramgir. Votre Patronage est Respectueusement Sollicite. Pica^una... NalIt Tiy Y-ter -«riMLLi WsIl Ikau. usM-s aU tf w Sisrta sturi rMltb et 0Y t TloI-h a toWllr e pr . VM«i «M Mbr i P-io tsee I NIW in or M n o i rie I. Un L ; Mlr&'t APt lals i lt. M friltNl. ;d ettr mtlR l I 0I 1 . ol. i cla v s d N w O - i r roglstr «s &oU y ratle WdAe Ut lU P viste 'b l ( n g s tII II M Wl r L.pU. te went Ato * 4sé for ,m ee ning. retu.n i ntto a..tn e l a mts.. Tl''l-e-w. l, - Mr Kft w Brn . thn b. MMg ·éf Sriklrals. kiseii -p r t. oa nd iu.. t NX .Ta e Itahteis .s-L in s wea dding s. AIL, is , 06t S mela tls . nh OMMt L . .A ... S oeth ......e 1 1 ana mr ciaie - r N a » B m sbma . gï ïW& W. . Martn spn sa UN Mr.L w .r L lyoferte n lomiO To1r .CArrioU. \n\n THE UNITED STATES OF AMERICA. THE STATE OF LOUISIANA. 18th. Judicial District Court,-Parish of Lafourche. D. L. LAOIEzE vs. NO. 3506 HExTy E. LEJEUNE. TAKE NOTICE; THAT ACTING under and by virtue of an order of Seizure and Sale, emanating from the above entitled Court in the above entit led and numbered suit, I have Seized and will offer for sale, at public auction pursuant to law to the last and highest bidder at the Court House in the town of Thibodaux, on SATURDAY, MAY 12TH. 1900, between the hours of 11 o'clock a. m. and 4 o'clock p. m. the following discribed property to-wit: "A Certain Fractional lot of ground or town lot with all the buildings and improvements thereon, and all the righto and privileges thereto belonging, sifuated in the parish of Lafourche in the town of Thibodaux, measurin Seventy-one feet and Seven twelfths of a fool (71 7-12 ft) front on Henry Clay street, Fifty-five feet and six Inches, more or less on the Northern line separating it from the property of Mrs. Louis Lamoureaux, Fifty-three feet and seven inches on the Southern line separating it from other property of vendor (D. L. Lagreze) and Sixty-eight feet and two inches on the back or Western line. These measurements on the fences as they now exist are intend ed to be taken in accordance with the actual measurement of the larger tract of which this is a part." On the following terms and condi tions to-wit: For Cash, to pay and satisfy (1) the sum of Five hundred and Twenty ($520,00) Dollars, with eight per cent per annum interest on same from the 24th day of January 1897, till paid, (2) a sum of ten per cent on the aggre gate of said principal and interest, as attorneys fees, and() all costs of these proceedings, and Which said amount as aioresaid, is secured by act of sale and I mortgage passed before Henry N. Cor L ow a Notary Public, in and for the Parish of Lafourche, on the 24th day of January, 18905. JAas BEARY, Sheriff of the Parish of Lafourche. THoMAs A. BADZAUx, Atty.of plaintiff. 5 April 7th 1900. N. T. BOURG, Market Stand, RARUET ST., THIBODAUX, LA -ALWATY ON uaND THI BEBT OF BEEF, IUTTON, 7ORK VEAL AND SAUSAGE. OF ALL KINDS J. LOUIS AUCOIN FURNITURE of all kind PAINTS, HARDWARE, UNDERTAKERS' Material ec MAIN STBEE THIBODAU . LA. We're Aiming at Your Head and our ammunition is the right sort. Stetson Hats are staunch and sure -no doubt about them-they're hats with a reputation and they live up to it. Graceful Spring Styles are here for your inspe:tion. EMILE J. BRAUD, Agent. Rheumatism Lumbago, Neuralgia, Dyspepsia, AND Inflammatory Disease s5 CURED BY Polynice Oil This new French l dtcal Discovery has been used with remarkable success in cllc vue Hospitl. New Yorl, Howard Hospital, Philadelphia ; Jhn Iho t.kins and the Mary land Hospitals, Baltimore, Md. The New York Herald. Oct. 8 and 6, in an editorial article, say the experimenta made at Bellevue HospFital with POLYNICE ()IL in treatment of RHIEUMATISM were highly suoceseful. 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