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til ~bt j1boùaiCx IIIuI TorS LES SAWIDIS .jai" dk la P4~aron. ~>gWzKZMIT. CY~ ... ...·' ............. 05 r6~,as LES 200 I~. .MT CIJB ; CHBRJTTESYN. S ,i.geno, le cardinal Gibbons Phe dernièrement dans la de Baltlmore un magistral 'ur ce grand sujet: "La : iYtienne." &jqsdoeî extraits suivante que dsbdons sont empruntés au ykat Freeman'a Journal." ceux qui ont voulu impar. étudier l'histoire sont rmilettire que la femme est t redevable à la religion s _jm Crist de la situation élevée dlm jouit dans la vie sociale et <L les peuples paiens avant îéiemne, la femme n'était elle »a dans un état de perpétuelle . et de quasi servitude vi% à Ideos mari? Elle était con. plutôt oomme l'esclave de que comme sa compagne. aiuourd hui, dans les pays où dwiisolame n'exerce pas une . ante influence, c'est el!e lepe le bois et porte la provi -d'eau." Dum a rapport officiel, soumis t à notre gouvernement l'Irriation dans l'lnde," il est çq les travaux de drainage et atiou sont plesque totale. coflés i des femmes' lesquelles pour leur labeur quatre ru jour." qsladérons d'autre part la dans notre propre pays où uieavironuée de tout l'éclat de ilbastion américaine." qelle est parmi nous, la condi di la femme dout les yeux se krmés aux lumiérts du l'Evan ï Elle ne devieut pas, en vérité, aux Indes une espèce de de somme, mais trop souvtut elle pas la victime de priucipes ux et d'abjecte dégradation le regarde la femme qui revendi le dioit d'aspirer aux plus hautes es de la muoiéte et qui prêche -cipatiou et les doctrines femi Scomme le pire ennemi de son .C't vouloir dérober a la femme * qui la rend aimable, gracieuse, Met attrayante. C'est vouloir "iever sa grâce innée de carac et ne lui douunner en retour que la "- masculinue et une orte de -ile effrouté." Uo exaltées prêchent générale. M i les droits et les prérogative à femme mais jamais, vous ne led parler de ses devoirs et de asoa»subiiité." l'éloigne des saintes obliga -qi sout le partage de onu sexe isou"liant l'ambition d'usurper .minéiès pour lesquelles ni Dieu lItaure ne l'ont jamais destinée." iMl influence de tels enseigne. I ou voyons la femme, spé. t dans les hautes spéieres devenir une soite d'énergu maladif, et dangereux." ': égmige les devoirs de sa -_ ourt de ci de là, u'a pas de -q losquelle est en perpétuel --. at, n'et bien portante que 'Ille est en état d'excitation . Bref, elle ne se sent chez q q.uad elle est a l'étranger." 1*kTr l'ennuie, cette pauvre ftuiei", elle s'irrite et se d'U dotnaintes et des respon. delavie domestique. $on .*'L-eais à sa maisou, à son ieN imagination est uans Iaqwortle au milieu de quel lils0e lovial ou dans quelques de gaUt et de dissipation." qlt «quand il rentre fatigué Wl ktmO5 e coin du feu désert, pl y un être dont le coeur î"11mal vide d'aflection pour -h *'s'lveut les disputes, les I- rtcrimiuations, les bou. -- aemme dernier acte A e h-st souvent le divorce." 'lt Ipm aer la stricte vérité K• r que, dans la ruine de; MlIsM manifeste en notre1 h.- .8 au ue large part de; ., a1 ét état 4e ehoses ne lnr que dans les enseigne -e Jéus Chniat" "'é la amme trouvera..elle la ,rqtrd de sa droit. et de T Di) I'fvangile." li'% Catholique, par les en. ,- de l'Evangile lt les1 d- St. Paul proclame la Sl'égale de homme I YSISg . tua," d.t ..i.. 1, *'les enfants de Dieu par votre foi en Jésus-Chriat." -Donc, il n'y a ni juifs ni gentils, ni esclaves, ni bommes libres, ni hommes, ni femmes." La pensée de l'Apôtre est celle.ci : "Que dans la distribution de ses dons, Dieu n'a fait aucune distinction entre les races, les conditions de vie et les sexes." "Comme l'homme et la femme ont été crées (le la même poussière, qu'ils ont la même origine et qu'ils sont destinés A la même dernière fin, ainsi ils doivent être égaux en dignité et partager également les grices et les prérogatives de la vie domestique." Le Pionnier. LE MOIS DE MARIE. Nous honorons Marie comme mère de Notre Seigneur, comme modèle de toutes les vertus, comme notre avocate auprès de Dieu. Notre profond respect pour elle s'unit A la confiance sans bornes et à l'amour; nous savons que cette dévotion ainsi caractérisée doit avoir pour complé ment et pour fruit l'imitation de ase vertus. Cette dévotion est reconnue par les saints docteus comme néces. saire au -salut non pas d'une nécessité 'absolue', puisque Jésus.Christ est I uiique médiateur entre Dieu et les hommes, que son nom est le seul par lequel nous puissions être sauvés ; mais d'une nécessité morale, fondée sur la volonté de Dieu qui a établi Marie le canal de toutes grices, la porte du ciel : "Janus coeli Les grandeurs et prérogatives de la sainte Vierge, l'histoire des bien faits dout elle a couvert le monde, la tendresse maternelle qu'elle montre aux âmes, voilà ce qui explique les hommages quotidiens montant de tous les points de la terre vers son trône béni, vers son coeur. Il est une époque de l'année où ces mani. festations de respect, d'espérance, de reconuaissanue, d'amour sont plus éclatantes et plus universelles. C'est le mois de mal On dit que saint Philippe de Néri, au seizième siècle institua l'usage de dédier ainsi spé. cialement au culte de Notre-Dame le mois de fleurs. Pratique heureuse, qui se répandit, il n'y a guère plus de cent ans, d'Italie dans le monde entier. Maintenant quelle église, quelle chapelle même ne la pas mise eu vigueur ? Et ce ne sont pas seulement les personnes faisant profession de grande piété, qui suivent les saints exercices dits du mois de Marie ; une foule d'autres, même des hommes d'une foi habituellement peu de'non. strative, aiment à participer, danq une certaine mesure, à ces exercices ; le chaut les instructions les atteig. neat et souvent, sans doute imprèg uent leur âme de vérités fécoundes en bonnes résolutions. C'est le mois où la terre rend le plus d'honneurs à la Vierge sainte; n'est ce pas aussi celri où dans les coeurs se multi. plient les merveilles de Marie? Allons dans nos églises pendant ce mois, poui louer et invoquer l'au. gusie Vierge, pleine de grâces et, chaque jour, en formulant quelques prières pour nous et pour autrui. disons lui comme saint-Jeau Chrysoe tôme: Je vous salue, ô vous qui êtes la mère, le ciel et le trône de notre Eglise. son honneur, sa gloire et son appui ! LES OEUFS DE PAQUES. En recevant le Jour de Piques quelque gentille surprise dissimulée dais un oeuf de chocolat, de suere, de carton, d'or ou d'argent, qui ne s'est demandé qu'elle était l'origine des oeufs de Piques.... Il y a longtempa que cette question préuccupe les savants. Les une affirment que distribuer ou manger des oeuf. le jour de Piques, est une tradition d'origine païenne. Il y en a qui prétendent, d'après le témoig nage d'Oelius Lampidus, que c'est en souvenir de l'oeuf rooge que pondit une poule appartenant aux parents de l'empereur Alexandre Sévère le jour de sa naisance ; d'autres atir. ment que cette tradition remonte au martyre que l'on Infligeait aux chré tiens par l'ove iynita. Quel était ce supplice, je e ne vous le dirai point pour ménager votre sensibilité. Le plus probable, c'est que les premiers chrétiens virent dnas l'oeuf, à cause du phénomène de l'éclosion, ;un symbole de la résurrection du Christ. Les chrétiens etu premier Ige faisaient bénir solennellement par le prêtre des oeufs qu'ils distribuaient ensuite a leurs parents et à leurs amis. Au moyen âge, les étudiants, les clercs de la basoche, vouie les cour tauds de boutique, se réunissaient en bandes et allaient quêter cbhe les î'iuhe b.î'lrgpo's. dos 0<ifs-1 q0i't', • O turaii etii triuwipbf ' i ,( " '' " lieu d? réunion convenu où Ila e faisaient ennfectionner une colossale omelette Au dix septième et au dix-huitième siècles, loin de tomber en désuétjde, l'usage des oeufs de Piques avait acquis uue nouvelle forme.. et de nouveaux agréments. Il était de bon goût d'offri- aux belles dames de la Cour des oeufs dorés, argentés ou même ornés de dessins agréablement anacréontiques. Watte.u, Boucher, Lancret, Frago. nard ne dédaignaient pas de peindre des oeufs de Pâques. C'était le cus de dire comme le proverbe gascon: 'La coquille vaut mieux que le jaune." LA FAMINE AUX INDES. GO écrit de Calcutta que le centre de l'Inde et une partie de l'uuest préseutent un aspect déplorable. Sur une étendue de plusieurs cen taines de milles on ne découvre ni un epi de blé, ni une touffe d herbe. Les grandes rivières seules ont encore de l'eau; tous les puits, toutes les citeines sont à sec. Le pays présente l'aspect d'un immense désert. De loin en loin daas les localités où l'on voyait autrefois de grandes quantités de meuies de blé, attendant le batteur en grange, on n'aperçoit que maigres bestiaux épuisés et cherchant l'om bre. Des milliers de bêtes à cornes périssent chaque semaine, faute de fourragea et d'eau dans le nord de la province de Bombay, dans le Puud jab, et sur certains pointe du Kathia war. Dans beaucoup d'endroits, la popu lation n'est pas encore remise des effets de la grande famine de 1897 ; les petits enfants endurent de terri bles t.jrtures ; souvent les parents, impuibsants a les nourrir, les aban. donnent. Hommes et femmes, jeunes et vieux, bêtes et gens, tous souffrent cruellement Les fonctionnaires de l'assistance publique anglaise se trouvent aux prises avec une tAche impossible ; ils disposent de Juste assez de fonds pour empêcher de ,nourrir les cinq millions et demi d'Indiens admis dans les chantiers nationaux de chlirité, et dca Muilliers de gcns pré fèrent souffrir silencieusement et aiment mieux se laisser mourrir dans la solitude des villages aban. donnés que d'aller travailler dans les chantiers ouverts par charité, aux frais d'un budget prélevé sur leurs compatriotes. LE COFFRET. Un père de famille, aveuglé par la tendresse pour mes enfants, leur avait donné tous ses biens. Eu;, de leur côté, s'étaient engagés àt le loger et a I. nourrir chacun à leur tour. Bien traité d'abord, il se vit bien. tôt négligé et outragé. Il alla confier son chagrin à un de ses amis. "Vos fils, lui dit celui ci, qui était un riche banquier, vos fils n'ont plus d'égard pour vous, perce qu'ils savent que vous êtes pauvre et que vous n'avez plus rien à leur laisser. Je vais faire transporter chez vous ces vingt sacs d'écus d'or; vous aurez soin de les compter dans votre chambre avec beaucoup de bruit et de les laisser voir, tout en paraissant les cacher. Dès qu'ils vous croiront riche, vos fils changeront de conduite a votre égard." Le pauvre père consentit à la ruse. Rentré dans sa chambre, il se mit à compter bruyamment l'or du banquier. Les fils accoururent aussi tôt et virent, palle trou de la ser rure, leur père occupé à vider et à remplir les sacs. Le soir, Il lui dirent: "Père, qu'est ce donc que cette somme que vous comptiez ce matin ?-C'est une somme, répondit il, que J'avais mise dans le commerce et qui a profité, gitoe aux bons soins de mon ami-Et qu'en ferez.vous ? -Je veux la garder dans mon coffret. C'est un trésor que je des tine à celui de vous dont j'aurai été le plus content pendant le reste de ma vie." Dès ce jouW, le vieillard fut soigné, respecté, choyé à l'envie. Il mourut, et ses fils, courant au coffret, se hbtèrent de l'ouvrir: il était vide. Il y avait seulement un marteau de fer avec un papier contenant ces mots: "Je lègue ce marteau à qui le voudra pour casser la tête du pèie insensé qui donne tous ses biens à ses enfants et comptera sur leur reconnaissance." RETOUR AU BERCAIL. Dans une récente conférence qu'il prononçait à Beuangon, M. Feprdiuad Brunetiere, l'éminent académicien dirtectpur do It Reveu de DOews .J. . l, . , revenu de la libre-pensée au catholi. cisme. C'est une nouvelle treès satisfaisante pour tous ceux qui suivaient, depuis quelques minqes, les péripéties du voyage de retour accompli par cet esrit droit en quête de la vérité intégrale. M. Bronetiére a déjà visité Montréal, où il nous avait entretenus, à l'tniveisité LavaIl, de Bossuet littéraire et social. Na. guère encore, à Rome, sous les auspices du Saint Père, qui l'en a félicité depuis, le noble publiciste traitait de nouveau de oon typt Idéal de philosophe chrétien et de bon Français, l'illustre orateur et historien qui fut l'évêque de Meauz. Brunetière, et, avant lui, Coppée, son digne collègue à l'Académie française, revenant a la religion véritable avec tout leur talent et leur inéluctable logique; deux autres académiciens non moins marquant., Lemaître et Faguet paraisaunt s'orienter de plus en plus dans le même sens: décidément la France revient, par la tete, à ses meilleures tradition nationale. La d6monstra tion se répète, e"ore un coup, avec évidence, que la raison sincère et forte, s'accorde naturellement avec la foi éclairée. On peut plaindre les pauvres petits libres poseurs s'escri mant encore à prétendre le contraire. -Le Pionnier. PAROLES DE LEON XIII. Voici le texte des paroles que le Souverain Pontife a prononcées à l'occasion du 90e anniversaire de .-a naissance. "Vous ne trouverez pas étrangère au caractère de cette cérémonie l'in vitation que Nous vous faisons de vous joindre à Noua, dans la sainte unité de la prière, pour une iatention toute conforme aux règles de cette charité évangélique, qui De connaît ni distance des heux, ni différence de race. "Supplions tous le Seigneur de daigner prendre en pitié le duel sanglant qui dure depuis des mois sur la terre africaine, que ma bonté y mette un terme ! "Ils sont tous nos ils et nos frères, ceJz qui souffrent là bas dans la terrible agonie des angoisses et des exterminations de la guerre, et déjà elles sont trop nombreuses les vic. times qui sont tombées des deux côtés. "Que Dieu daigno les regarder d'un oeil paternel, éteindre les colères, conduire les coeurs à des résolution, de modéraition réciprolue et de concorde, afin qu'ils puissent revenir, le plus tôt possible, i une amitié loyale, solide, consacrée dans l'embrassement de la paix et de la justice." Nous empruntons à la Guette de St. Jacques ce qui suit: A la veille de l'élection du 17, notre confrère Luaeigue du Mescha. cébé reçut un communiqué qu'il publie in extenso. L'auteur oublia de aonn-r son nom, mais le commun i4ué est trop remarquable pour qu'on le laisse perdre et nous le reprodui sons. Nos lecteurs verront par le communiqué même, si l'auteur est s droit ou non de s'ériger en ]uge, en matière des qualifications des précep. teurs dans les écoles publiques, et l'expérience démontre que le cas n'est pas unique, quoique peut-être plus fort que de coutume, et qu'il arrive fréquemment que'la critique des autorités provient de sourue bien douteuse. Voici ce petit bijou que nous empruntons au Meschcébé : ',Mr. L la population et idigner de voir Iru mambre de juri de 'ohice qui ont était choisie il a que 2 mambres qui valent la paine Mes Mr. P. Berthelot et maître de la Pue pauvre Poe qui et menai par des inorant les écoles les directer non pa dopinion il rejete des maîtres en disant qu'il ne savent pa assez et lané appré Ils les prneent les parents qui paye des taxes ters trot nu peuvent pa y envoyer leur enfant voyant ier metresmse et mettra incapable d'eusener l'anglai la population et Indigner de tout cela de voir comme la Ps et male gou. verné. Il font tout cela entre sa consul. ter la populatiou tout ce fait a la sourdine. Pauvre Parisse gouverné par des pareille eau...... (la balas du mot, écrit au crayon, est effacje et iniutelligible. Note de la rédaction.) Voytz tes Pie voisine lie sont autre. ment gouverné. Sai uce amie de la Pus qui éarit cette article. Mete donc tout autre des personne» bouelt qui prenent les intérai de la Pu et non pa des AMOUR DIVIN. ,'Allez à lui, vous qui souffrez, car il guérit" -VICTOIR Hroo. 0 vous tous, qui ployez sous le fardeau des peines, N'allez pas au tombeau, le coeur au désespoir, Car le Cthrist tend les bra aux misères humaines. Rt veut pour vous guérir que vous alliez le voir. S'il est bon, pourquoi donc rejeter l'espérance ? S'il console, pourquoi dissimuler von pleura S'il guérit, pourquoi donc lui cacher la souffrance ? S'il peut tout, pourquoi donc ne croire qu'au malheur ? Allez tous, malheureux, au Bien faiteur Suprême; A lui ceux qui n'ont rien, car il donne le ciel: A lui les coeurs brisés, car ce sont eux qu'il aime. A lui vous qui mourrez, car il est éternel. VARIETES. ETWIN, D'ACCORD. Un Américain avait loué une maison i Ste.Anne pour y passer l'été. A peine installé, il se met en quête d'un villageois possesseur d'une vache laitière. On le lui in dique. -Mon brave homme, dit l'Améri cain, tous les matins mon domestique viendra chercher une pinte de lait. -Bon, c'est huit ceuts 1 -Par exemple, je veux du lait pur, mais très pur. Je ne veux pas du lait de St Jeau.Baptiste) (lait baptisé -En ce cas, c'est dix cents. Vous la trairez devant mon dom.. estique. -Alors, c'est quinze cents f -On plutôt, mon domestique traiia la vache lui-même. -Oh! alors, c'est vingt cinq cents A la salle des ventes : -Nous mettrons en vente, dit le commissaire-priseur, une jolie potiche de Chine.... Et, d'un geste mal calculé, il donne un coup de marteau sur la dite potiche, qui tombe en miettes. -Tieus : s'écria un des assistants .. un commissaire-briseur. Un savetier chantait et répétait toujrurs ce refrain : Le président dit à la présidente, La présidente dit au président. Sa femme impatientée, lui demanda avec humeur. Eh bien ! que dit ce président à cette présidente et cette présidente à ce président ? Alors le savatier, prenant son tire hotte, administra une correction à sa femme, puis lui dit très sentencieuse. ment : S-Ca t'apprendra à te mêler des affaires de la république. Les enfants. -Tu as mangé ce pot de confiture .. tu seias fouetté / -Pardon, je n'ai mangé que la moitié du pot.... Je ne veux être fouetté que d'un côté. BANK 0OF THIBODAUY. THIBO.DAU.X. Lne. DESIGntz PAU LB JURT DE POLIOX COme DPOSITAJIB DmS PONDI PUBLICS. -:0: OFFICIERBs: E. G ROBICHAUX, Président, C( P SHAVERB,........ Cuissier 0. NAQUIN, ..Vice.président P L.BRAUD,..AMuistant. laesier E. U. MORVANT, Vice-président. DIRECTEUR8, E. G. ROBIOCHAUX, THOMAS BEBARY OZEME UiAQUIN L A. T[O8OLAlB, P. L. BRAUD, L.M. LA'YMAN, E. U. MORVANT, EBRNE' ROGER, C. P. SHAVUB,· E. BEAUVAIS W. H. PRICE, :0: La banque est munie d'un coffre-tort avec un "time look" et à I'épreuvç de toute infraction, renfermé dans une voûte revêtue d'acier. Avec un Capital et surplus de $60,000. ----:0: FAIT, MN GRBEAL, TOUTBE LE8 APPAIRIB DE BAIQTUI. -o- .chete et vend du change au tau P le plus bas, soit 4omes tique, soit e'/anger Reçoit des dépota remboursablea sur mandats vue. Votre patrouage est ardemment respectueusement sollicité C. P. IBA VBR. Ca"ta Bank of Lafourche, OFFICIERS: A. J BRAUD, Président, . J. BRAUD, Caissier, (l. J. BARKER, Vice Président, P.F. LEGENDRE,Aiustait Calissier DIRECTEURS: THOS. D. KENT, D. DELAUNE, W. B. RAGAN, Si. M. N. ROTH, JONH T. MOORE, Ja., Dl. L. E. MEYER C. J. BARKER, A. J. BRAUD, V. R. BEATTIE, ALCIDE TOUPS, K. J. BRAUD. Fait, en General, Toute. Affairea de Banque. oBRste «t «snd du el2ang, soit em«sstique, seit &tranlgr. Votre Patronage est Respectueusement Sollicite. The Tivice.a. "br Picuune . tom.. maml ai u ei Pkqum. Unin mfl Si ou wme ~irr .m.dm nf n =, vu*mo n" un tao Aý . Tus Tuhss.Wuh OM~M Tii btusWuut WM ou. Ou. sn YW.irti l tht pmmw a ma ne Lut ulai i - Untmmr~ u imiIhtU* t~L ---a 5. Dii mi liii wir 'etsWstsWoei..... dIMy PInymm.--9 ej Pwmm Vm ...un ... la On mimeh ... Wendr ir M Smmim aUmmmm&- hj liImCrl Nm Oui LIV fl MCAr?~i 1~L E-. On.I· rl, ... \n\n THE UNITED STATES OF AMERICA, THE STATE OF LOUISIANA. 18th. Judicial District Court,-Parish of Lafourche. D. L. LAoazzE vs. No. 598 HExay E. 1'AKE NOTICE; THAT ACTING under and by virtue of an order of Seisure and Male, emanating from the above entitled Court in the above entit led and numbered suit, I have Selsed and will offer for sale, at public auction pursuant to law to the last and highest bidder at the Court House in the town of Thibodaux, on SATURDAY, MAY 12TH. 1900, between the hours of 11 o'clock a. m. and 4 o'clock p. m. the following discribed property to-wit: "A Certain Fractional lot of ground or town lot with all the buildings and improvements thereon, and all the rights and privileges thereto belonging, situated in the parish of Lafourche, In the town of Thibodaux, measuring enty-one feet and Seven twelfths of a fool (71 7-12 ft) front on Henry Clay street, Fifty-five feet and six inches, more or lees, on the Northern line separating it from the property of Mrs. Louis Laimoureaux, Fifty-three feet and seven inches on the Southern line separating it from other property of vendor (D. L. Lagrese) and 8ixty-lght feet and two inches on the back or Western line. These measurements on the fences as they now exist are intend ed to be taken in accordance with the setual measurement of the larger tract of which this is a part." On the following terms and condi tions to-wit: For Oash, to pay and satisy (1) the sum oqýFive hundred and Twenty ($520,00) Doll.r with eight per cent per annum interest on same from the 24th day of January 1807, till paid, (2) a sum of ten per cent on the aggre gate of said principal and interest, as attorneys fees, and () all costa of these pr obedngs, and which said amout as aforesaid, d secured by act of sale and mortgage passed before Henry N. Cot LO, a Notary Public, in and for the Parish of Lafourche, on the 24th day of January, 1805. Jazms BEAST, Rheriff of the Parish of Lafourche. TaOMAs A. BADEAUX, Atty.of plaintiff. April 7th 1900. N. T. BOURG, Market Stand, NAIKRT ST., THIBODAUX, LA -ALWAYS ON lAND TRI BRST OF BERF, MUTTON, PORK VEAL AND SAUSAGKL OF ALL KINDS J. LOUIS AUCOIN FURNITURE ot all kind PAINTS, HARDWARE, UNDERTAKERS' Material etk MlAIN STREE: THIBODALU. LA. We're Aiming . at Your Head and our nmmunition is the right sort. Stetson Hats are staunch and sure -no doubt about \ them-they're hats w.ith a reputation and they live up to it. Graceful Spring Styles Owe here for your L;spe'tion. EMILE J. BRAUD, Agent. Rheumatism Lumbago, Neuralgia, Dyspepsia, AND Inflammatory Diseases, CURED BY Polynice Oil Tbhi new Frnch Medicl Disrover7 has been used with remarkable suceels in Helle vue Hospital, New Yorkk Howard Hospital, Phllade;phia ; John Hopkins and the Mary land Hospitals. Baltimore, Nd. The New York Herald. Ot. E and 6. in an editorial article, says the experiments made at Bellevue ilospitul with I )LYNICE OIL In treatment of RHKIUMATISM were highly ucelaful. The physloians at Bellevue Hospital were surprised at the marvelous results Dmduced by tell wonderful French medical discovery which they called POWRRFUL POLYNICK. JOaN Horltwa UIvaarITTY BALToiNts1 April 5, 17. The experiments made here at the ho.pi tal with the Polyniee 01, witnessed by me. having been very sueoeeful, I hereby re eommend It in all cases of rheumatism. (signed) DL B. L. Roosrs. Polynice oil. Sue per bottle. Seot upon receipt of price in stamps. DR ALEXAND7E, Specialist from Paris 1218 G. St. N. W. Wahington, D.0 UReftse all bottles that do not bear the above same sad address. For be everywhee :::2 Eug. Dessens, Gemevl age t for Loutsiana. M St. Joseph Street. New Orleans. 484 The neatest and best work done at this office. *OWN MAKE* 5HOE EXILL J.J BR.'fVD, ROLE AGET. COR. MAIN & ST-PHILIP ST$., Thibodaku x - La. (Oppoalte Damerseug Drag Dlom) M'Eoil Orders GKrompt4 FiUid. " " WHEN YOU I GET MARRIED You want PJme handome . and stylish Wedding lnvi tations. 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