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ir iTS F A NI 1 MIR le la Paroime ....................029 S aRg DE L'HURLOGE. r ia d'habitations qui ne dvf 1 n0 coin ce meuble « om- ble entre tous et *iNous disons ét q'ld esut le seul qui ait 5-ISj le seul qui ait une I , & let reste est immo JUmarcbe ; quand tout le i me eD m'est pu un mouve. j 'Ue sgitaoo manu but; " 'l pau un soa vide, un Iisaii Touus au pas ont i pu es de ses sonu ne se jips et rien e dérange ses d;m d ,iwsg ià chaque chose d4tli*a ne m redle. Elle lie que membre de la ;le 'Me i tous le glau foeMnMe puissance ns mu. S'usist os qu'elle enlève, ou 64kil ïài toutes l occup. li1i.oaé.e. et au repos de la i A .bu elle rappelle le de. 1 oimhr, elle reproche la faute dsb désonce le tempe pet - lttMWpWe, 011 nelaise l e matin, elle crie au : VeiU l'heure de t'ar ire soul: lève toi " Le d i l'ouvrier fatigué: "Ta eosidieumn est achevée; va -i fhe, dru le sommeil." e quatre reprises, elle Paver *I a beoi de ourriure ql fa i agir ou se repo et O rotrer, faire ou ne pas Mhl, o et l divisant la , fraeutloamat le tempe, émiet Sla vis; tououurn on timbre vib at ave une Infleible , frappr l'oreille, et par là iveiller l'atteBtioa et tenir e ble puaisanoe de l'homme. *. ieuble itna, meon une fol, iou osous le dire, bien mal oom. Tdmii dium di oMt o qui se ps dm J Jurll I'horloge mar; Son l ai ucos, les maladies, les M . ltlessesr , les loies :lm- mcalme, tou)ours sévère, tou. de- mlexible. Que l'oeil qui la ml illuminé par la joie ou ler larme, c'e'u tout un db; dek ldique i chacum le d mps où il a ri, où il a ît se' tout Quand la mai. dmIU M lameute sur la perte 4111 eh elle soonM; qcaod bmWs époaeentre ivre de bon- , er dupé6maMce, elle somne eon ; i Ba vozest la i , ni #hbi , MI plu gaie ici ; ao 1 bisai%, aniplp pressé, ai bi& l alade la contemple, % lu ou mardb, rt horri P-h-- ssue; l'homme heur. llI M eoup d'oell rapide et f Ido ailes Ni l'ua i .ie- aum le vrai ; l'borioge , -li Mutards wo pu: o'eLt ( ShIIm, forme, inemorable, aB pllouiii uous mne vie uee meuble utile, a eet ]i um de sotie vie 1 R. I" a cgrSle tox 'msutil 1 | U ultement chargé de A Ilbsam bso heures de I .*^d5 i seryir e gude i ' l dduis du tempa. Sa] m .teira haute, ; c'et le I i,,umrtab, l'érho anti. dol Siempette qui réveillera .^ll l'a bisa compria ainsi rlprel de l'horloge et su s ommet de etors. i. B*m aloeber l'horloge i , ist leur tkiut le méme "UL5 da. sle air» see s teubour grrave.s, tou., diqi ut le laboureur i 15 le .toyen dans la' G:-' - l'atelier, k voJa ,, alade dans sou qlu la vie ici-bi I fi-,. ; que les heure.' .e que touts Je. 'I eP s d<e fabibes rutis! W dn dan un gouffre' S0'psic li'Ktteraité. .... t idiriger toutes les 4t l'bome daus Ie tems. a to tale, ses élapê au 1 -+ Vis; elle lexcite au 'i .,i B rappelle aux réjouis i s.ncs ; elle l'icvite au repos ; elle lui rappelle le pasé : elle lui donne le préeat; mais elle lui acbhe l'a. venir; mais elle lui dissimple 1'heure où il ira heurter cette borne fatale qu'on appelle ta tombe. 'ombien de fois l'aiguille fera t-elle encore pour nous le tour du cadran ? Combien de fois ce timbre argentin frappera.t il encore nos oreilles ? Mystère profond, problème impénétrable que Dieu sait, mais que l'horloge, sa fidète messagère, ne sait pas Une seule chose est certaine, c'est que l'heure actuellement commencée peut être la dernière pour noua, et qu'il en viendra une où notre &me quit'era cette terre d'exil pour paraî tre devant son Juge. Nous lisions un jour sur une hor. loge ces deux mots "Utltima luter, la dernière heure nous est iconnuue." SI cette vérité si simple était moins oubliée, quel changement elle opère. rait dans la conduite de la plupart des hommes 1 Comme leur coeur se détacherait des choses de la terre, de ces fumées de gloire, et aspirererait aux biens de l'éternité 1 Ils com prendraient que c'est folie de pour suivre avec tant d'ardeur ce qui doit passer et de négliger ce qui doit durer toujours. 0 mortels, être d'un jour, pour quoi appréciez-vous si peu ce grand, ce riche trésor quon appelle le temps 1 Vous n'avez en réalité pas d'autre bien que celui là. Et il ap partient à tous, au pauvre comme au riche, au petit comme au grand, a l'ignorant comme au savant; au rebours de tous les trésors terrestres, il n'y a pas de difference iui : la part de l'un ne fait point de tort a l'autre. Mais c'est au.4i le seul dont le compte eera rigoureusement exigé. On ne vous demandera point un jour quelle étendue avait-e vos domaines, quelle hauteur avaient vos maisons, à qu chiffre se montaient vos affaires ; mais bien quel emploi vous aurez fait des Jours, des heures, des minutes que l'horloge, avant-coureur de la mort, aura marqués à votre nom. Ecoutez donc, si vous êtes sages, os timbre mélancoliue ; suivez du regard cette intrépide voyageuse, l'aiguille, avançant toujours, ne recu Iant Jamais ; et dites-vous a vous même : ne perdons pas une de ces heures, car toutes ont une valeur éternelle, et la dernière nous est inconnue: Ultima latet. XX. QUELQUES RENSEIGNEMENTS UTILES. Nous reproduisons du Passe. Temps, Journal musical et littéraire de Montréal, la question et la ré. pouse suaivantes : Ca'uA txrr nous demanoe si nous eoanaisous un moyen de préserver notre pauvre corps des piqûres des mariagouins. RrousL.-Hélas 1 non. Au de' hors, du moins, car à l'intérieur on peut, à l'aide d'une minutieuse atten tion, interdire à ces sales bêtes l'en. trée du logik. Pour .cela il faut éviter d'établir so habitation près des lieux humides, ne pas introduire de lumière dans sa chambre le soir, avant que toutes les ouvertures xtérieures aient été préalablement fermées; enfin il faut préserver le lit par un moustiquaire. Si l'on et das une hutte ou tous une tente qu'oa ne peut core hermétiquement, un feu de bois vert produisant une paise fumée éloignera les terribles htesctes. Mais c'est là un moyen hérolque prieque aussi pénible que les piqûres redoutées. On a ocon seillé de laver vsage et les mains avec une teinture alcoolique de pyrthre, de l'eau vinaigrée, du phé ol, uti. décoction de tabac, etc. Rien n'y fait. On a vu des marin gouins piquer la jambe à travers la botte. Coutre les piqûres, pour empêcher l'inflammation, le meilleur moyen est de faire des lavages avec de l'eau fraîche ou de l'eau légèrement vioai grée, de l'ammoniaque mêlée à trouis fois son volume d'eau. Enfin quand l'infaammation est Lès vive et éten due, on reeouvre la parti3 malade d'un corps gras et d'un cataplasme." Quoiqu'il s'en manque beaucoup pour que nos maringouios soient Saussi teribles que ceux du Canada, voili bien <es renseignements utiles puar la saion. UN DEMI SIKCLK DANS LES GLACES 'ne barque de p&.-he le "Silicon," viet di'arriver a New York après avoir croisé dans les régions polires. L'équipage rapport qu'il a tantât un mois il a déCouvert un Lbteau rues de viejx mxodèle qui semblait ab»n Idnné et qui s'en allait a dérive. Le capitaine do "Silicun" et deux Ihommea abordèrent le bateau ; l@ y trouvèrent toute une cargaison de fourrures parfaitement conservées. Le journal du bord remonte à février 1848 et polte qu'à cette date le an. vire, étant complètement bloqué par les glaoe., a dû être abandonné par l'équipage. Tout était en excellent état à l'intérieur, les bance, les chaises, les tables, même de. vête meuts d'hommes; le froid intense avait tout conservé. Le capitaine du "Silicon" a rap porté avec lii, outre ne cargaison de fourrures de valeur, deux bouteil. les de rhum absolument itactm et qui ont plus de cinquate ae. C'est ça qui doit être bon ! LE PASSE-TEMPS est une superbe revue musc.mie, lit. téraire et sociale avec texte et musi que qui paraît tous les quinze Jortt. Intéressante et utile pour professeurs et élèves. 8 pages de texte et 16 pages de muailue chotsie: musique de piano, d'orgue, de vioko, de mandoline, duoe, etc. Une nuigoil. que prime est donnée aux aboanéi d'un an. En vente partout, k. le numéro. Abonniment, $1.50 par année. S'adrsser au bureaud..... ou à J. E. Belair, éditeur, 58 St. Gabriel, Montréal. CONGRES INTERNATIONAL. Le second Congrme international des Républiques américaine%, u pro jet qui nous vient de feu l'Hoo. James G. Blaine, se réunira dans la ville City of Mexico, entre le ler avril et le 31 juillet, 1901,1la date exacte devant être fixée par le gou vernement du Mexiquo, lequel, d'a près le Comité exécutif du Bureau des Républiques américaine, eet autorisé d'en agir ai. Les quar. tiers généraux de ce comité se trou. vent à Washington. PAS DE TROUBLE8 Selo, M. iL Wbesler, de Louiville Ky., ceux qui s'atteodent à un an. lèvement dans cet état beroot ie deçus. "Les prochauime électiou dans le Kentuckey, dit-il, caueroat une surprise géuérale par tout le pays. Il n'y a personne en dehbors de l'état qui n'espère pas voir oae répétition d3s troubles qui ont eo lieu lors des dernières élect!ouo. Mais il n'en sera rien. Il n'y aura aucuu désordre. Les életicis eront aussi paisibles que dans aucuo autre état." - 0 . L'AMIRAL DEWEY. "Le peuple, dit l'Amiral Dewey, ne choisit plus ses irésidents; c'est une t4che qui se trouve aujourd'hui eata les mains de quelques chefs poUU. que@, seulement; st, par oosnquaqt, Je ne suis plus candidat J'ai reçu une lettre de Schley, da»n laquelle il disait: "D)ewey, si vous ftes uandi dat, le voterai pour vous et je vou soutiendrai du commencement i la fin." Lorsqu'on parla à l'amiial ài propos de la candidature pour vice. président, il répondit nettement qu'il n'en accepterait pas la nomination ei elle lui était offerte. LA FAMINE DANS L'INDE. La famine s'accentue de Jour jour dans les Indes. Le deruières nouvelles Mont poignantes. A la famine la plus noire s'est ajouté le choléra. Un témoin ocu laire de ces scènes sinistres raconte qu'il a trouvé les rues de la ville de Dooad désert', et silencieuses. et une partie -le ea habitante couch"e le long des voies publiqueý, atten dant la mort. Une petite file de 7 ans essayait de prendre soin de deux petite frères qu'*ine mère épuisée, tombée prèe de là lacs les aflres de la mort, avait dé abandonner. Il est presque impoaible d'eatimer le nombre des morts; des milliers de cadavres Jonchent les voies pbliques. PETITE CLEF DES SONGES. On aime généralement savoir e que signifient ou priageut les rêves que l'on a faits. Voidi : AiL-Rêver qu'on e« miange ilvi. tation pour le lendeaao a n bel cbhe du gens bie Battre.-Sue habit&: ECooomie, propreté. Sa eme : Plénitude de su facul. tés intelletuelles. Impôta.-Rver qu'on les diminue: Signe certain qu'on va le augmenter. Rêver qu'oO les augmente: mime signe. Loyer.-R êver qu'on le doit: Signe d'une constitution régulière. Qu'on le paie: Dérangement des facultés mentales. Tetameut.-fLêver que l'on est coub6 sur un testament : Déception au réveil « s'apercevant qu'on ne l'et ea réalié que mur deux matelats et un lit de plume. Tort.e-On is voir le lendemain dimooter le budget i la chambre des députée. 'Lragédiae-Entendre une tragé,ie Sdormnnant Sanonce qu'on dormira en oetedant une tragédie. Veuvage.-RBver veuvage annonce la guérnso d'une maladie que l'on croyait incurable. VARIETES. LA UutruoN DuS BiUis Prononce tout d'une haleine, pleuran fuis très rapidement, les phrem que voici : 1.-8i six scies cient lx cigares, six ot mx cies Cet Se t cet ix 1 .-Boajonr, Mosieuor Sans Sou ci, ombie pour o six oeut six ssoiaiuoasci ? -PoiT ces ix cent six aucioans id c'et six cent six sous, -Six oeot six sous pour ces ix OMt six SooUClsois? C'est six cot ix fois trop cher I.. IIL-Ces cyprts soat si loin, que d'ici l'on ne il si c'en sont. IV.-J'ai trop tôt cru .... V.-u la blanche grange, Blanc Pierre bat ps blanm ; bat bien pois blâae, Blanc Pierre en la grange Mbanche ...... VL-Ton ta de ris tenta le rat; le rat tnté, le m tta .... VIL-La sanguoe mu souci, en e iuçant mun cesse son Dang, e suicide. VIIL-Frait cuit, fruit cru. SIX.-Quand un ooidler veut se corder ma cord, trois cordons il ac corde, mais si 1'un de cordons de la corde décorde, le cordon décordant fait déoorder la corde. X.-Trois plats de pape et six petites pipes ines. XL-J'ai vu entrer trois gros rats ra dan ro trois gr erd trous. XIL-Je vetx et j'exige et Je veux. CUEILLETTE& Une définition du capital et du travail : Un homme vous emprunte $5, c'est du capital Pour ravoir votre argent, c'est du travail. L'oncle.-C'eat aimable à toi. mon petit Toto, mais pourquoi dès que tu me vois m'apportestu ma pipe ? Toto.-Pareo que papa dit quand tu la casseras nous aurons deux oent mdile france I Un asthatique écrit ài ou méde. clu, pour le prier de lui apporter M soins dan une crise douloureuse Il termine ainsi ma lettre: "Agrées, cber docteur, l'assurance de me saiutatioum oppresée." -Berthe, je veux avoir une ex. plicatios avec toi : je t'ai vu embras ser le jeune Michaud, hier somr. -Papa, 'est lui qui avait com men"é -Je- mM'estedais pu i vous voir ajourd'hui ; ou m'avait dit que vous aviez été vicime d'un accident. -Os -c'et ps moi, c'est mon -Vous ne auriez croire comme J'e mis déol. Le petit garço-Maman demande si vous voutes lui donner un almanac. L'épicer.-.a.i vous n'achetez -Nou, maie nou empruntoans quelqoefois votre voiture à bras. -Preades ano. Un riche propriétaire s'est fait voler un porte-feuille avec 812,000 dedans. -C'est malheureux, s'écrie mnme &hifard i qui on raconte le fait, mais mieux vaut encore que ce soit arrivé à lui qu'à un pauvre diable. DIs que école meatre, u prétre 1 un mpr<uotaat juif exauimet les enfants. Le coé, s'adreant 6 un Jeune jaif, spr- piurie questios de grammaie, prnd umpièoe de ci. quante cato et dit à l'enfant : -81 tu veux me diu combien il y a de persomes en Die, e te donne cette pieo -Trois pesmonnea Dieu I s'écrie l'enfuat Aton le repréeemts t Juif inter. vient: -Comment, peit, a.tu reié6 ta religion? -Non, moomear. mal les a&ires avrant tont 1 Un habitant de Convgtou, T'en., Robert Lockhart, et rne jeue fie de de Patoka, lad., Me Katherine Clief, e mut mariée éc imemDt mau qu'aucune des deux parties ait eu à quitter son endroit. Le manage s'est fait par le téléphone, avec l'aide de deux ministres, les marié& se tenant à trois cent mitnes.de distance. iBANK 0F TRIBODBAUY. THIBODAUX. Lne. DMbIGMI PAz LE JmTu DE POlOQX OOXII DPOSfiITAdlAI D rommN P»ULIC. OFFICIERS: E.G ROBICHAUI, PrMaident,, 0 P 8HAVER,........ Caiuifr O. NAQUINS Vice-président 'P L. BBAUD,.. Asi&tan.t-.i ssrie K T. MORVA T, Vie-président. DIRECTEURSO E. G. ROBICHAUX, THOMA8 BBABY, OZEME IlAQTTIN L A. TItOOCLAIR, P. L. BRAUD, L. M. LAYMAN, E. U. MORVANT, BRNE ' UGBR, 0. P. SHAVkt, B. BEAUVAIS W. H. PBCBE, La banque est munie d'un eoflfe-tort avec un "time lock" et i l'épreuve de toute infrtactio, rttarm dans une voite revêtue d'acier. Avec u Oapital et surplus de $60,000. FAIT, IN GEBUAL,gTOUTE LU APPAIRfS DU ANQIqUL -- 0 .iehet et wemd da cdhans e au tau le plus bas, soit domeu. tigue, soit e',unger Reçolt des d6pot remboursbles sur mandats vue. Votre patronage est ardemment respeetaoeunsmet ollieité O. -P. sBA VER. COasnet Bank of Lafourche, 3tBaltCqlWAW3B8,l a*vUaI w.9USt OFFICIERS: A. J BRAUD, Présideot, K. J. BRAUD, Caisier, (1. J. BARKER, Vice Président, P.P. LEGENDRefauitast Caisier DIRECTEURS: - THOS. D. KENT, D. DELAUNE, W. . RAGAN, 8a. L. N. ROTH, JONH T. MOORE, J&., Da. L. . MEYER C. J. BARKER, A. J. BRAUD, C. R. BEATTIE, ALCIDE TOUPS, ILK J. BRAUD. 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All tax-payers are earnestly invited to avail themselves of the opportunity afforded to make known their objec tions to any assessment, and to test the correctness thereof in the manner pro vitded by la E. A. DZLAUNK, Pariah Assessor, Parish of Lafourche. STATE TAX SALES. Of Immovable Property. The State of Louisiana v. Delin quent Tax Debtors, Parish of Lafourche. B Y VIRTUE OF TIlE AUTHORITY vested in me by the Constitution and laws of the State of Louisiana I will sell at the principal front door of the Court House in which the Civil District Court of said parish is held, in the parish of Lafourche, within the legal hours for Judicial Sales, begin ning at 11 o'clock a. m., on SATURDAY, JULY 14 1900, and continuing on each succeeding day until said sales are completed all immo vable property on which taxes are now due to the State of Louisiana and parish of Lafourche, to enforce collection of Taxes assessed in the year 18W. To gether with interest thereon from the 31 day of December law9 at the rate of 2 per cent per month until paid, and all costs. The number of said delinquent Tax payers, the amount of Taxes due by each on the assessment of said year and the Immovable property assessed to each to be offered or sale are as follows: No.5-. COMEAUX JOSEPH, 1-6 of Lot No. 118 between Jackson and Hen y Clay street Fronting on Henry Clay stret Taxes 4.90 nterest an costs 1U. Total $8.73. No. 3081. MRS. COMEAUX JOSEPH 240 acres of land situated in Baton Pilon settlement Bounded by E. Call louet t als and school lands. Taxes $12.0 interest and costs 2.75 total $15b.5. On said date of sale I will sell such portions of each of said pecific proper ty as each debtor shall point out, and in case the debtor shall not point out suf ficient property I will at once and with out further delay sell the least quantity of said specific property of any debtor which any bidder, will buy for the amount of the taxes, interest and costs due by said debtor. The sale will be without appraisement, for cash in legal tender money of the United States, and the property sold shall be redeemable at any time for the space of one year by paying the price given, with 20 per cent and cots added. JAxMS BEART, Sheriffand Tax Collector. June 9 1900. z Notice tto Nrtpg Creftn. SBIRIFF'S OFFICE PARISH or LAFOURCUE, J UNE 9TH 1900. In accordance with Section No. 83 of Act 83 of 18-, the attention of mort gage debtors interested in any of the foregoing described property iL hereby directed to the above notice of sale of property of delinquent tax payers. JAMES BRART, Sheriff and Tax Collector. D4 R 0 P S Ya==" rwToD f.stmS ies. I33 ' 53 Ube us. Hotel Donnaud A. S. DOmNNAU, Pre. nfirst clau accommoda tion for Commercial tra velers. Sample rooms on the preaises. Lafourche Croswing, - - La. oaUsim 9 3b oft 2=.bm US us Nome ?uyer Ra MIKE nVY & CO. TIBODAXIT, LA. Olean, Paint. Repair, Put up and take Down Smokestacks, ue-WllnE CIIEIRNIT, llAT IACIC.ll ai, n3lelm, nC. tofaeitloa Guaranteed and Charges Low Anybody Needing Tarapfle Can bave them made by them as good and M chabp ua they ca be purchbai d Mew Orleans. 42 MRS. J. B. C. GAZZO Cures Cancer, Palsy, Rheu matism. Bright's Diease, Dropsy. Medicines alone charged for. -seldence 10 mille below Tblbodaux, t1915 bank of Bayou Lafoureie. -ACELAND P.O. LOUISIA A GEO. K, BRADFORD. Rayne, Acadia Parlmh, La. Surveying, Leveling, Plantation Drainage, Maps, Etc...... T.o-.-' "i,* Lj't~teooe In U. S. Re.Surveys. Will take work in Lafourche parish. Cor repoodence Solicited ......... For job printing of all kinds, call on or write to the Saizmw. N. T. BOURO, Market Stand,. 3ART fT., W0IaOAi= &A --ALWATU ON RAMS TM3 BUST or B1F, MUTTONl, OIL TIAL AMD SAUSAGBE OF ALL KINRD J. LOUIS AUCOIN ot sU kWd PAINTS, SHARDWABE, UNDERTAKERS' '. Material ets MAIN BTREBS THIBODAUZ.LA. We're Aiming at Your Heal and our ammunition \ U the right sort. Stetson Hats are staunch and sure -no doubt about t them-they're hats - with a reputation j and they live up to it. Graceful Spring S;yles are here for.ji your inspe:tion. EMILE J. BRAUD, Agent. Rheumatism Lumbago, Neuralgia, Dyspepsia, AAD) Inflammatory Diseases, CUMiD By Polynice Oil ThiL new resoh Medical Ddleor bo been used with remarkable moem In belle TuiLuspitaL. (ew Turk, Moward Bomlfa. pBllsdipbla ;Jo(. 4e opmy= sIte MU y aBomltat Blimr.Md. Th MeWl York Hald. Oct. and , In s editorial article, say te e xpelm«1 u-ade at Belevue Hosltal wish iPLYNICU OIL Im treatnt of fItXUMATUIM were hikty ASeeeaul. 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