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rOr1L AMtI1IE #PMI la Parois«e MIUMNEMENT. 0200 .7 .................. 020o *...,. 5 4 ···' " . . A l NHETS. . ItVi' L'E VACANCE. C is(Btheoliéie est en vacances. CC _Æ pour les enfants et pour sinon polir les p><srtIs. Ic aowion, nous rappellerons e _'ïuf cUrétieUn les conseils qui doivent inspirer leur l Sil'égard de leurs enfante' s temp, qui, a côté de ,vsgtages, présente malheu' t de grands dangers. li Vaaes viennent (le ramener PI t drns famille. Un mois, E Wois lui sont donnés pour d< es forces, après lesquels il * reprendre ses études. (es m is ot une grande impur |et 'est le cas pour les parents v er compléter une adsca. î' -uyl, et rtligruSf, que la vie *lhe peut beule achever. Les e ;* mdaatioMs qu'il importe d'ad- a _ x pareuts out trait à la ig gasu travail, aux devoirs n '^ " i et a l'Lesrit de famille. LJ dangers pour la morulit se h kW[l dans la fréquentation des l< usd' dans les Lcouvernatiuos smtedet. dans les livres qu ou WiM lire, dans les images, les ui qu'on expose sous MiXU, dans uue vie où la mol et la gourmaudise ont une l part. Le devoir des parents, apport à la moralité de leurs se résument en un seul mot: vigilance minutieuse, vigi Sootiuutlle. t au travail, il ne faut pas que les vacances sont un de repos, mais non un temps veté. Ne laissez jamais vos to oiUis ; qu'ils aient, chaque quelques heures de travail ; et ils n'étudient pas, qu'ils fa autre chose, du dessin, de la ique, qu'ils cultivent leur jardin, 'ils causent avec vous, qu'ils jouent -qqelqu jeu capable de fixer leur tion. Mais de gr&ce, pas un estant d'oisiveté 1 Elle est si vraie .tte parole: "L'otslveté est mère î nourrice de tous les vices l' Mais le travail ne sutUrait pas à um.teair l'enfance dans la vertu, et a Ioralié courrait bien des risques , AwiX moyens de préàervatlion sig. tuMis plus haut, ne s'ajoutait l'ele. guI surnaturel. Les parents chré. ras veillerout donc à ce que, matin Sesoir, leurs enfants soient fidèles au *.d devoir de la prière. L'expé > uoee prouve que la prière du matin t tl plus facilement négligée: l'en. !'ta bite de courir à ses jeux, et il '4"l d'ordinaire, si l'on n'y prend d d'ofir sa journée au bon Le parents qui ont A coeur Spersévérance de leuis enfants, .Im t auni de leur influence pour la blr approcher des sacrements, ,aou trois fois, sa; moins, pendant llps si périlleux des vacances. slEa on ne saurait trop reoom. • -. r lueprit de famnill qui s'en b|Le devoir des parents est donc 1 etsir l'enfant le plus possible au SpaterneL Ils ne doivent pas que grande est I autorité du lt de la mère dans l'éducation. retenar l'enfant, rendez-lui la vie ; qu'il soit forcé de l'aimer, si aimable maison paternelle; lm lui les plaisirs convenables 1 s; qu'il ait des ieux. des -m iatéreMants, dont il aime 1 lUr, i vous raconter quelques $ih; qu'il fasse avec vous de -sbl parties, comme il dit: avec i.js souligne. Soyez de moitiE --trie s joies, de moitié dans _).l, de moitié dans son travail 5 doute, tous ces devoirs de. de la part des parents ds -etde la vertu ; mais qui hési. dmvant ces efforts lorsqu'il d''obtenir le bonheur temi orel Ihul de son enfant ? "' l UIUKR.... TOUJOURS LA GU'ERRKE li^ gIm d'Afrique s'achève à V déjài les coups de carabines bsteudre dans une autrie par isOde. Il s'agit encore d'une guerre qui pourrait avoir Sc queeofel sanglantes, terri P4ivaatables. s 'agi(t deu événements qui ee uiuellement en Chine. <.5 oaiété sncrète appelée les a" tqi compte des millionm î a, « résolu de chapscr tous lusprm de l'empite du milieu, en Chine. lis vitimes <le ces "'bo.xers"' e comptent déjà par cen. taines, pour ne pas dire par milliers. Ce qui agg.ave encore la situation, c'eît que l'impératrice douarière actuelle, dans ba haine coutre l'étran. ger, favorise ces tristes exploits. Les rapports qui nous arrivent cha que jour nous décrivant les massacres de nos missionnaires, font horreur. L'on sait que depuis longtemps les puiRsau(ce européennes jetieut un coup d'oeil d'envie bur cet empire qui couvre un territoire immense. les deux puissances les plus di. rcctement iuléressées sont la Russie et le Japon, et il n'y aurait rien dl'étonnant à ce qu'elles en viennent aux mains soui peu. Voici la situation telle que nous la font les grands journaux : Une partie de la population de la Chine veut chasser tout étranger profanant par sa présence le Céleste Empire. Cette secte s'est portée à des excès criminels, que le guurvrue. ment chinois semble êt-e impuissaut i réprimer. Le Japon veut profit.r des troubles pour se venger de n'a voir pas conservé la Corée, après l'ravir conquise, et, de son côté, la Russie désire en profiter pour mettre enfin la patte sur ce territoire qu'elle convoite depuis si longtemps. La Russie, pour entrer eu action, don nera pour raison qu'elle veut défendre ss sujets établis en Chine. Mais bien d'autres puissances, l'Angleterre, les Etats-Unis, la Franct, l'Aile. magne, l'Ital'e qui ont chacune des leurs établis là bas, peuvent dire la môme chose pour se mêler de cette affaire. L'avenir semble réserver de grant's événements.-Le Progrès. (Law. rence, Mass.,) UN PARTI BON TEINT. Les républicains No. 2. alias na tionaux, alias !ily whites, alias fusion- .' nistes, alias éléphant blauc, etc., sont dans la jubilation depuis l'affaire de i Philadelphie. Ils n'ont pas tort n d'être si contents, car ils pourraient l'être à beaucoup moins. Il arrive V quelquefois de drôles de choses dans P la vie, des coups de fortune ineu pérés, et celui-la en est un comme on en voit peu. Certes ,nessieurs les q républicains de l'un comme de l'autre é côté ne s'y attendaient pas. Si les l vieux, les réguliers ont été prompts a à faire la grimace, les autres ont pris V du temps pour se mettre à rire, car a ils n'ont pu croire de suite que c'é- V tait vrai. Une rancune, une jalousie eutre chefs en ont été la cause, et e les républicains blaics auraient tort l de croire que c'est à leur simplet a mérite qu'est due leur subite éléva- 1 tion au rang dle parti bon teint. Mais l'important c'est que c'est fait, peu importe commeut, et nous devons des félicitations aux reconnus 1 Dorénavant, ils pourront s'appeler i républicaine tout net et n'auront pas besoin de chercher d'adjectifs pour se i distinguer des autres, et ils avaient 1 pas mal épuisé la liste de ceux qu'ils , pouvaient employer. On ne pourra q plus les appeler des "sugar tests" ni i dds cafés au lait, et eux-mêmes de. j vront renoncer à s'intituler "lily 1 whitcs" ou éléphants blancs, car ils i ne seront plus que des républicains réguliers et en cette qualité il ne i serait pas convenable qu'ils adopta. i sent des distinctions de couleurs. i Car le vrai parti républicain doit être 1 un peu de toutes les couleurs à la i fois. C'est nécessaire. Franchement, nous croyons qu'il est préférable pour tous que les choses soient ainsi que les a faites la convention de Philadelphie. Le parti démocrate en Louisiane aura un adversaire plus redoutable, msis il est assez fort pour n'avoir rien à craindre, il aura l'avantage de lut ter contre des égaux, car le parti républicain de l'avenir se composera d'hommes honorables en grande par tie, ayant à coeur l'intérêt d3 l'état. IC'est un parti qui pourrait devenir fort s'il était bien dirigé. C'est à Warmoth que revient, Sdisent ceux qui sont de retour de Philadeiphie, tout le mérite du fait I accompli Aucun autre n'aurait pu ýI faire uue pareille prouesse, car aucun autre n'est né i malin et ne peut ai bien onaîtr tous les petits secrets k de la politique en Louisiane. -Et ce qu'il y aurait de plus beau dans tout cela, c'est qu'il n'aurait travallé que i pour le bien du parti dont il est, plus s que Jamais, la gloire scintillante. Les autres ont bien poussé la roue e aussi, mais rien qu'eux le char du r nouveau parti républicain serait resté i. embourbé dans l'ornièra. C'est un sauveur que ce Warmoth. et dire e qu'il ne veut pas de place! pas de récompense I rien que l'honiecur d'A s voir élevé le parti qu'il aime I il is est vrai que ce n'est pas encore la is saison où se cueillent les place. ,!Ceux qui les tiennent en jouiront encore pendant environ un an et demi et alors le parti républicain régulier, officiel, passera un grand coup de balai. Les ambitions auront le temps de germer d'ici là. Hanna qui ne voulait pas sentir les faux républicains de la Luuisiaue-quaud ils étaient faux-va les adorer main tenant qu'ils voudront Il n'aura qu'A faire un signe à McKiiiley-si c'est bien McKinley qui doit être eiucore présideut-pour que tout aille bien. Mais si ce n'est pu McKinley, si c'est plutôt Bryan qui est président l'anuée prochaine i Quelle désillu. sion ce serait pour les républicains ! Tout peut arriver en politique. Tuute[fis le parti républicain va s'organiser en Louisiane dès que mes membres seront un peu revenus de leurs émotions. Il a besoin (le se remuer pendant la campagne prési dlentielle, non pas pour aider à l'élec tion de McKinley et Roosevelt, mali il a promis d'élire au prochain con. grés trois des six représentants de la Louisiaue, et ce ne sera pas une petite atfaire. Il est certain qu'il faudra manquer à cette promesse imprudente.-Le Mescha.ébé. UNE VILLE ATHEE. Il y a dans l'Etat du Nouveau. 4 Mexique une ville athée. Libéral, est son nom. Pas de culte, ni d'église. ni di manches, ni [êtes. Au dessus de la porte d'une maison de commerce, on lit ces mots : 'Hall, ou édifice pour la libre manifestation de la pensée". Depuis as fondation, qui date de 1880, Libéral a toujouours été en guerre civile et dans des querelles de partis. Les plus graves délits contre la morale y sont A l'ordre du jour. On y forme les enfants au mépris du Dieu et de la religion et à la jouis sance de toutes les libertés. Les fruits d'un aussi édifiant programme n'ont pas tardé à mûrir et les Jour. naux les plus libres-penseurs consta. tent que nulle part ailleurs on trou verait une jeunesse plus cynique et plus pourrie de vices qu'à Libéral. Au reste, les habitants de cette ville de malédiction se regardent, depuis quelques années déjà, comme ayant échoué dans leur entreprise. Les habitants se bttent de vendre, même au rabais, leurs propriétés : ceux qui persistent n'aspirent qu'à trouver acquéreur polir se joiudre à ceux qui partent. Les grandes maison de commerce et d'industrie sont inquiètes et les principaux capitalistes, qui s'étaient as-ociés dans le principe, ont déjà perdu leur argent.-Le Pionnier (Sherbrooke). Nous lisons dans le Propagateur, bulletin mensuel du clerge et des familles, publié à Montréal : Le diocèse de Montréal a eu un représentant aux fêtes de canonisa tion du 24 maL M. le chanoine Archambeault a eu le dlaisir d'enten d-e de la bouche du pape les paroles que le monde catholique redlira jamais à la gloire du fondateur de i Institut des Frères des Ecoles chré. tiennes. Cette Joie a dû être d'autant plus sensible au vénéré membre "lu chapi tre montréalais qu'il a contribué, pour une large part, au succès du procès de béatification. Il fut en effet chargé, comme notaire, de l'exa men du miracle obtenu à Maison. neuve par l'intercession du Bien. heureux de Ia Salle. La fête du Péèe de la plus nom breuse famille religieuse enseignante S6été la tête de l'enseignement cbré tien: elle ne peut manquer de moule. ver uu témoignage éclatant de res pect et de sympathie i l'égard de tous les religieux qui se vouent i l'éducation de la jeunesse. LA SCIENCE DE LA VIE. Quiconque veut vivre eu paix doit être sourd, aveugle et muet L'oeuf d'aujourd'hui vaut mieux que la poule de demain. Le malheur de l'égalité, c'est que nous ne la voulons qu'avec nos supérieurs. Les passions font de notre coeur un temple d'idole&. Agir sous le coup de la colère, c'est mettre à la voile durant la tempête. Les gens de bien sont enviés tou. Jours. L'amour propre est le côté vulné. rable de presque tous les bommes. Quand la table est étroite, on se serre les coudes. Quant on manque d'idées, ou les remplace par des mots. Savoir écouter est une preuve de bon sens, de politesse et d'expérience. Pour n'être pas bête, il ne sufft pas d'avoir de l'esprit, il faut encore savoir s'en servir. Le laboureur e4 le champ se rainent presque toujours ensemble. Les femmes sont des pendules qui retardent toujoujours partir de vingt cinq ans. Un grand nom sane mérite est une épitaphe sur un cercueil. L'éducation ne change pas nos instincts, elle nous enseigne & les masquer. Pour la plupart des hommes, se corriger oonuiste i changer de défaut.. Les passions sont les seuls orateurs qui persuadent toujours. La guerre des Boers et des Anglais touche à sa fin, avec tous les avan tages en faveur des derniers. Il n'y a là rien d'étonnant quand on cousi. dère la disproportion dus forces et des ressources dont disposait chacun des combattants. La luties et le droit étaient du côté des Boers, mais la force du côté des Anglais. Les premiers, combattant pour leur Inde pendance, se savaient les plus faibles, mais aucune des nations européennes n'a osé se risquer contre la puissante marine anglaise et les Boers ont été abandonnés A leur sort Tant qu'ils out compté sur cette intervention, les Boers se sont battus courageusement, mais quand ils ont reconnus qu'ils ne devaient compter que sur eux-mêmes et qu'ils seraient écrasés par le nom bre ils ont évité de se mesurer avec les forces supérieures des Anglais et ont retraité devant elles. Pretoria, la capitale du Tranevasl, a été abaudonnée et Johannesburg c'est rendue. LE CANADIEN. Le Canadien, brave habitant, EKt toujours gai, toujours content. De grand matin, part en chantant, Revient le soir, en turlutant. Bon citoyen, fort bon vivant, I1 est heireux en cultivant. Vive @a femme et chaque enfant ! Il est eu fier et triomphant. Tout plein de foi, le coeur fervent, A son église il va souvent. Il est affable, honuête et franc, Hospitalier, poli, galant. Le plaimsr est son élément, Il s'amuse gaillardement. Dans ses desseins, il est constant, En amitié l'e.t tout autant. Dans ses marchés il est prudent, En politique il est ardent Rien devant lui qu'il n'aime autant, Que son cheval, noble et trottant. Dans les forêts il va chassant, Tout vole, poil plume et sang. Dans les bateaux, s'il va voguant, Il eut superbe en naviguant Et dans la guerre, il est vaillant, Hardi, rusé, vif et bouillant. Conteur d«histoires, il est charmant, Tout en riant, tout en fumaut. Un petit coup de vin brillant, lJe rend encore plus pétillant. CUEILLETTES. En vibite. Vraiment ma bonne amie vous possédez une chevelure admirable. Oui ma chère je me suis souvent laissé dire; aussi en ai-je un soin jaloux. Oh oui, s'écrie le terribe petit Bob, maman l'enferme chaque soir dans un tiroir de la toilette. Marie dit la maïtresse de l'hotel i sa bonne, allez voir ai M. Duran le charcuier a de& pieds de cochoun i bonne part et revient quelqu s instants après. Je n'ai pas pu voir Madame, j'ai bien regardé les pieds de M. Duran mais il avait des pantouffea. Au Théatre. Oh papa, le pretidigitateur a changé un franc (20 sou) en une fleur. Ce n'est rien ; ta mère elle tran forme un billet de cent franc S20) en un chapeau Juste le temp de dire merci. -M. X. fait il encore beaucoup de ftaons à votre fille ? -I1 ne lui en fait plus du tout. - Aurait il porté uen attentions ailleurs ? -Non, il a épousé ma ille. -Mils, troyes donc. Mare, les chaimes sont couvertes de poussière. -Je crois bien, madame, personne ne s'est enoure sausi dessus aujourd'. hui.. On deàmande un de noa bou ivrognes : -Si ça dépendait de ti, quel auteur voudrais ta être ? - Pas Boilean, d'abord.. -Mais qui ? Victor Hugo, Bal zac -Non.. Casimir de la Vigne. On vient d'iuaugurer à Vendôme, en France, un monument i la mé moire du général de Rochambeau, le compagnon de Lafayette et de Wash ington l contribua à la capitula tion (le qornwallis en 1781. Après un passé plein de gloire, il mourut en 1809 au sein de la misère la plus noire. Pour l'érection Je la statue, une somme assez considérable avait été envoyée des Etats-Unis. BANK 0F THIBODAUX. THIBODAUX,. Lne. DSIGUem PAl LE JIY Dx POLICE CONE DXPOSITAIE] DMM rONDS PUBLICS. :0: OFFICIERS : E.G ROBICHAUX, Président, C P SHAVER,........ CaiMipr O. NAQUIN, ..Vice.préSidct I p L.BRlAUU,..A-usItait-'a!<iit* F. U. MORVANT, Vice.président. DIRECTE URSl, BE. . ROBIUH AUX, THOIMA BEARY, OZBMB iIAQUIN L A. TROSLBAIK, P. L BRAUI), L. M. LA iMAS, E. U. MORVANT, EBNEd RlOUEGR, (. P. 8HAVEKl, B. BBAUVAIS W. a. PitiCE, lài banque est munie d'un coffre-fort avec un c"time lock" et à l'épreuvc de toute infraction, renfermé dans une voûte revêtue d'acier. Avec un Capital et surplus de $60,000. -:o: FAIT,IIN GIIBÀAL,TOUTBB LE8 AFFAIRBE DE BANQUi. -o .fchete et vend du change au taur le plus bas, soit domes lique, soit e'/anger Reçoit de@ dépota remboursablea sur mandats vue. Votre patronage ent ardemment reltueouseniment sollicité O. P. 8HA VER. CaSneft Bank of Lafourche, OFFICIERS: A. J BRAUD, Président, K. J. BRAUD, Caissier, 1'. J. BARKER, Vice Président, P.F. LEGENDRE,Auaista.t Caissier DIRECTEURS: THOS. D. KENT, D. DELAUNE, W. B. RAGAN, Sa. 19. N. ROTH, JONH T. MUORE, Ja., Dm. L. E. MEYER C. J. BARKER, A. J. BRAUD, C. IR BEATTIK, AILIDK TOUPS, K. J. BRAUD. Fait, en eMrail, Toutfe Afhire de Banque. GeIR«tc et g.nd du eglln.«, soit bomsetiqui , soit trn«ger. Votre Patronale est Respectueusement Sollicite. The eoice·<a·Uoob picfune*...a e.hIPkmuae DnI. al vhuwn* mdkSf femînf e mjemtad r t1h AVU mérU ADDED h B"dm au O e es 4" la evp remet 1h TuhsmouI rr ah qU, Mmd 'mm Mm -~*M - WM ommb » $au@% ammd me o» D~ wa VoUN bbu no rNoule& -n.Sl8 me mo Ihp ·rm-S4 ha jer P n n=o PMU. fT~ l MCA YWr a» te L vewmm e,. etb ow F ..... la un noum ...... bout @M mmmr " Vbmg PM ...... et IME -omm ..ma àmqbcoomàm Im m " ""JMI~ \n\n Assesse's Nelice. OFFICR oF A8sEsoR, Thibodaux, June 9th. 1900. All persons liable to taxation upon any description of property, whether real estaL or movables, are hereby no tifled that in conformity to Section 22, of Act No. 170 of 18I18, that the listing of property for assessment made by the undersigned Assessor for the current year, 110, in and for the parish of La fourche, has been completed, and that said list will be exposed at my office, at the Courthouse, for a term of twenty days, for inspection and correction, beginning June 11 to 30, inclusive. All tax-payers are earnestly invited to avail themselves of the opportunity afforded to make known their objec tions to any assessment, and to test the correctness thereof in the manner pro vided by law. E. A. DELAUssB, Parish Assessor, Parish of Larourche. STATE TAX BALES. Of Immovable Property. The State of Louisiana v. Delin quent Tax Debtors, Parish of Lafourche. BY VIRTUE OF THE AUTHORITY vested in me by the Constitution and Laws of the State of Louisiana I will sell at the principal front door of the Court House in which the Civil District Court of said parish is held, in the parish of Lafourche, within the legas hours for Judicial Sales, begin ning at 11 o'clock a. m., on SATURDAY, JULY 14 1900, and continuing on each succeeding day until said sales are completed all immo vable property on which taxes are now due to the State of Louisiana and parish of Latourche, to enforce collection of Taxes assessed in the year 11119. To. gether with interest thereon from the 31 day of December 1119980 at the rate of 2 per cent per month until paid, and all costs. The number of said delinquent Tax payers, the amount of Taxes due by each on the assessment of said year and the immovable property assessed to each to be offered for sale are as follows: No. 552. COMEAUX JOSEPH, 1-5 of Lot No. 118 between Jackson and Hen ry Clay street Fronting on Henry (lay street Taxes 4.90 interest and costs 1.8l. Total $0.78. No. 8081. MRS. COMEAUX JOSEPH 0 acseres of land situated in Baton Pilon settlement Bounded by E. Call lonet & als and school lands. Taxes $12.60 interest and costs 2.76 total $16.5. On said date of sale I will sell such portions of each of said specific proper ty as each debtor shall point out, and in case the debtor shall not point out suf ficient property I will at once and with out further delay sell the least quantity of said specific property of any debtor which any bidder, will buy for the amountof the taxes, interest and costs due by said debtor. The sale will be without appraisement, for cash in legal tender money of the United States, and the property sold shall be redeemable at any time for the space of one year by paying the price given, with 20 per cent and costs added. JAxes BEARY, Sheriff.and Tax Collector. June 9 1900. Nletre to ortggeCredIter. 8Ha11Fr'F Orries PARISH OF LArOUtRCHR, JUNI 9TH 1900. In accordance with Section No.6S of Act 85 of 1888, the attention of mort gsge debtors interested in any of the foregoing described property is hereby directed to the above notice of sale of property of delinquent tax payers. JAMES BKAIr, Sherlff and Tax Collector. Hotel Donnaud A. L. DOxxAUDo Prep. First claus sacommoda tion for Commercial tra velers. Sample rooms on the premises. Lafourche Croesiug, - La. MIKE LEVY & CO. TWIBODAUX, LA. Olean, Paint, Repar', Pitt up and take Down Smokestacks, gUABWOUmI cllrIWETS, NAT! NACUINI. mI, uEWIIS, SIr. atisfactlo. Guaranteed and Charges Low Anybdy weedlag Tarpaullna Can have them made by thems u go4 aud as cbeap as they can be purchased I New Orleans. 42 MnM. J. B. C. GA.ZZO Carew Cancer. Paly, Rhea. .aatism. Bright's Disease, Dropsy. Medicines alone charged for. ulsolee 10 mulis below Thlboaux. UIght beak of ayou L alorebe. BACELAND P. 0. LOUSIAlth CEO. K. 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