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J 1 fi L 1 El J r i ! m l fl 11 JL JL 711 871 ü jJUIjUj JOURNAL DU 8 ME DISTRICT SENATORIAL £ MX PU NUMERO:—DIX CENTS. JOURNAL OFFICIEL DE LA VILLE DE TH1BODAUX. ABONNEMENT :—$3.00 PAR AN OL. XL TIH1H)J)AUX, L—, SAMEDI 8 JANVIER 1876. NO 23 nt nformations Locales. angemknt dk Domen .K - „reau do Mr. .1. S (, «aie m< T actuellement dans la rue •et. entre St. Louis et Green, ■ssiis de hVpbannaeie du Dr. . Fleetwood. nsetl de Ville —Le Cou de ville s'est assemblé mardi ier Samedi piocliain lions pu us les procédures de cette .^ d "ÄTÄ£" ,e _ __ fution—A~ une élection 1 * ' U liv j(> r 1S70 mr 'es n,mires dé la Compagnie du t MM. C loop h as Lagarde, IL Tabor, S. T. Gnsamore. 1». E. io et L. J. Meyer furent élus cteurs. ente de Ferry.—L e 22 de ois, le président du Jury de ice, vendra au plus haut en— risseur. devant la maison de ir, le fermage du Ferry de •kporf. aux conditions spéei-| s dans bavis de cette vente, URYDE Police. —Le Jury de ice s'est assemblé lundi der r â la Maison de Cour. Parmi mesures adoptées nous en re rquons une des plus impur tes.Cette mesure »{rapport â la lection des taxes de paroisse. 0 UVEL AN—A part une peti échanffourrée, sans résultat fa ux, qui a eu lieu dans le café Toutes les Nations, le nouveau r de l'an s,est passé très trau illement, malgré l'esprit que ains de nos concitoyens, d'ail rs très bien vus dans la sncié ont dépensé eu cet cireonstan TaXES —Le Collecteur des ses annonce ou il est piêt â re voir I« "lontant des SA-.'« , «r l'annee !S,b. De pins, i! im * , les contribuabli s qui doiviml j s taxes pour les années I.S75 et j 71 à venir les régler immédiate j nt. s'ils veulent év iter les Irais ■ saisie et oenx dVniegistieiuent 1 bureau du Beeorder. J ^ j (J..,,,.,,, umvrnnTT jj rklIREE DRAMATIQUE. Lik : — Uni 1 amie soirée dramatique* aura ■n mardi prochain dans la «aile r fl rcrley. Le programme de rette irée se composera do deux char antes comédies et d'uni* chan nm'tte comique. Les personnes ti désirer honorer celte repré ntatioii de leur présence, agi nt sagement à ne pas atteiiiiie dernier jour pour se procurer ur siège. Vente Volontaire —Les hé tiers de Joseph Walker ven ront à l'enchère publique, sur les eux, le 22 de ce mois, un mor n de terre situé sur la rive roite dn Bayou Lafourelu', a ize milles en bas de Thibodaux, uraut deux arpents plus <>n ins de face par quarante de pro iideiir,aux conditions saivan-) « ; La moitié comptant et la ba j snce â douze mois de crédit repré nte par des billets hppothécai sâ la satisfaction des vendeurs. Roulaison—L a roulaison est rniinée et quoique le résultat it été satisfaisant, le rendement urait été cependant plus considé able, si la majorité des habitants '.fiait moins fiés aux prédictions .professeur Tice Dans le début » cannes rendaient peu, mais à esure que la saison avançait le ndeineut s'améliorait. Anjoiu ui encore sur l'habitation Imii V alley où il y a des en lires à '1er jusqu'il la fin de ce mois ci, ® obtieut |>rès de 2,500 livres â arjieut. D'après cela, la recolle cette habitation, une des plus nsidéialile de la paroisse La relie, atteindra, dit ou, 1,000, de livres de sucre. Centenaire.—A l'occasion du iiteimire, les cloches n'ont pas é mises en Dranle eernme dans principales villes du Nord, onobstant "la Thibodaux Cornet nd ayant compris qu'il était rie » devoir de saluer l'aube de la Ntiême année de l'Indépen »»ce des Etats-Unis, n'a pas 011 - ié cette marque de respect â la ' velle année. Vers minuit, cette Qbp, est sortie et ses triotiqnes ont annoncé an peu ne U narion d^ioinnre^'Tibïes rie jour natal d'une nou U Q „„; «e année. Pour notre part nous créions les membres de cette station musicale de Fatten ^•ÏÏT3?n." n..;.. «t igué en cette occasion. Informations Generales. _ u C .,lifm„i„ produit S,000, : oui) ,1„ K ,,l„„ s ,l e vin», « elle 1 • ' neu consomme que 1,500,000. —L'exécution de Coleman est ^ ^ fixée au premier * vendreiîi ' anrès IJ • — _ * ' l'ajournement de la Législature. — Garnier a battu Sexto» dans une partie a trois billes. Mais Sex ton a battu Garnier dans une par j tic à quatre billes. L -M-. Pe, t!f r . J-"*-. de Doualdsonville, a abandonné à ,a - fmuille ' ,t! °- Ten 'o, le mairt ' mit, le salaire de sou ° flicP ' —Le Col. Geo. B. Johnson est Io Auditeur des comptes, —Si le message du o-ouvenienr Kellogg, â la ^ Lé "»sla turc ne' brille pas par l'exactitude des comptes, nommé par le gouverneur en rem placement du Rev. Clinton, dé missionnaire. faits qu'il relate, il se distingue par sa longueur. —La question religieuse ; con sidérée dans ses rapports avec les élections présidentielles, est ton jours â l'ordre du jour et la presse y découvre incessamment de nouveaux aspects. —La compagnie de la Loterie .1.. I» I..,msi:5o ..nimm,' que 2î>me jour du mois d'avril, elle procédera, au tirage d'une autre grande Loterie semblable à celle qui vient d'avoir lieu. —Dans la lecture publique faite â New-York par le généra! Dix. Celui-ci a traité la circula tion de choses scandaleuses. Il la vorise nu seul terme présidentiel de six ans et s'oppose â ce que les juges soient électifs. t ., \; i i, v :q. 1( i„ p x "ville é „ r u . 1 Mt-n.h .in», mis. Leid» a envoie un mes-mge an Const, re '.iMi. ni.Mi* au pi "Jet da ^enobsimit sou opnu-dtion les membres du Conseil ont adopté | îll( |*>vi ^ —^ Memphis, pendant qnc (jeux avocats ('talent engages dans une pii se d--c ( »i-j>s devant la «•<»ur nimineüe, un prisonnier emmenotté »'échappe au moment 0,1 était occupe â sepa jer les (leux combattants. — I! y a eu un soulèvement dans la république de Lihe ia. Les eolTcspondauees particulières (lisent qiu*. la (j'iestioii de couleur est une cause, (ie séiieux embar ras. Beaacoai) de citoyens n>pro client â Roberts de »'être pas un africain pur sang. —Le lancement de la frégate Trenton -n'a pu avoir lieu malgré . . les efforts oe plusieurs centaines d'ouvriers. Elle est restée immua ble sur le chantier de Brooklyn. On attribue cette mésaventure au suif auquel le pourvoyeur avait mélangé des substances crayeuses qui lui enlevaient ses propriétés police. En vertu de cette loi, les coinmissaiios de eette institution glissantes. — Le gouverneur Kellogg a promulgé la nouvelle loi sur la ont eu une séance spéciale dans j hiquelle ils ont renvoyé tout ce qu'il y avait de plus respectable pour garder des hommes peu ou point considérés. Cette mesure a soulevé l'indignation générale. —Le traité d'union postale gé néral est exésiitoiie en France de puis le 1er Janvier. Le tarif est de 5 cents par demi once sur les lettres, de 2 cents sur les cartes postales, de 2 cents par journal n'excédant pas le poids de 4 on ces et de deux emits pur deux onces sur toutes les autres ma tières mnprimécs et sur échantii Ions de marchandises. _La Legislature du Mississip p ( j„j ;l »»ponté démoera jj' ( j eS s tiers, a élu .lui. ... -, Stone, président temporaire du Sénat et IL M. Street de Pren tiss, orateur delà (Jiambie. Le ä n Ä élection et grossit des incidents concernant la campagne electo râlé» On parle de le mettre eu ac cusation lui et son lieutenant. —Le message du gouverneur Tilden insiste longuement sur la situation financière du pays, coin me étant la cause de la depus des affaires. Il dénonce les l la lesfauration il'iine «r.ulation I pour" b's ' tl.éoriatîs qui, P »i»iès i onze ans (le convulsions saus res ! tau rat ion cherchent maintenant I ,ti„i. cherchent mamteliaiic i tarnation ( m r< ™ | cette restaura.ion dau ! de couvul-iou. li f|it qu'A i ims V w .„v,.lsi„„ «ans .. re.our j au payement en esjmces. nt Faits Divers. Les Briques.—L a question de savoir si bon devait bâtir en bois ou en briques dans de certaines j limites de la ville de Tliibodaux j il C ' u : ,b ' ci,lée ! ,iU ' 1,4 résultat de bé ! l(il*t f/lll t O t 1 I I / : Al /(ill t il (liLkt Ollll k? , lection tenue, à cette effet, sons la présidence du Maire, assisté de troi» propriétaires. Jl y a eu viug't j sept votants, quinze contre le rap pel <le l'ordonnance, <jui détend de bâtir en bois et douze pour le j rappel de cette même ordonnance. , ! Six propriétaires, trois résidant à ! Nouvelle-Orléans et trois â ; 1 Thibodaux, tous également inter- j 1 «b'^tion, ont ; ne « l, » e lle sc l'^sei.ter au poil. ! j ___________ ! Une relique precieuse —On J nous rapporte un fait singulier I I <iui ' t " ut ( '" P ai ' illssallt être un ' chapitre des œuvres du dianoine Sd,,uuU 0,1 <le r> <' r< l ull b n'en est Vierge ù ta chaise, pas moins très exact. Un négociant.de Paris, M. O.., avait depuis de longues années, dans un salon, un pastel, une ! (pie ses amis ! t avaient souvent proclamé un chef 1 d'umviv. I Dernièrement, M. C... avait i fait coup sur coup des pertes ■ assoz importantes ; â bout do res i fî?'".' bie " i ro » ,t,e WBI,r , a 'endre certains i ob j ( 'D d art et de curiosités qirii POj^dniL . .. . . La Vierge a lu Chaire faisait partie de ce lot de vente ; il tut très étonné d'apprendre qtbou n'offrait que 50 tr. de cette peintu re. Furieux de ce qu-il croyait être i une mystification, M. C. fit repren I dre son tableau ; une fois rentré J eu possession du pseudo chef ; | d'œuvre, il le jeta â terre et se mit ! i ;i piétiner dessus. A son tapage. ! ih. f.miUe accourt, M.C..... bon I emi.orteimmt s'imii j (ii , , >u * tM! ."„'p' , t r \!" ! r â sa place, .1 i i,.,; u 4 ' 1 ;îVinl î''<nber, <'t il se liais i se pom essayer de réparer le de j gib: quand, tout 5 coup, â travers | jes déchirures dn pastel, il a pei ; nne liasse de billets dt* ban ! <pie... il v en avait pour cinqnan ; p. .„jm* fAues. Iis avaient été pl» | | ( .g H j a n n vieil oncle qui avait j fait cadeau de ce tableau à son ! »(»veil, en lui disant qae c'ctait un I Désar et de lo conserver précieuse i RB'Rt. j , 9 ._____ Dans un curieux travail de ' j , ' talion de mine, est par 1 1 1 Simonin, sur les mines d'or et. : d'argent aux Etats Unis, se trou vent le» deux curieuses anecdotes suivantes : Toute découverte, toute exploi instants la cause d(i fortunes inespérées. ('es fortunes, quelquefois, s'é croulent comme elles sont venues, instantanément. C'est un tableau des Mille et une Nuits. Au Chili, les frères Bolados, pauvres aiders, découvrent une mine d'argent,en tirent 3 millions et d* mi, perdent tout dans le jeu, la dissipation, l'orgie; la mine S'é puise, et-ces millionnaires d'un jour iront jilus mêmes leurs ânes j po»r reprendre leur premier mé tier ! Sur les gites d'Imile minérale de Beun«y!vai:ie, celui qu'on ap pelait familièrement Johnny, (]iie tout'le monde acclama un jour comme ieioi du pétrole, et qui posséda un moment 100 milliou*, celui S;i se vit bien vite uriné |>ar des folies que nul n'a égalées ; lui qui donnait comme gratification à son cocher les chevaux et la voî ture qui venaient de le conduire, se trouva fort heureux.â la fin, de trouver un emploi de portier à ee même théâtre que, la veille, â Oil City, il avait monté â ses frais. C'était dans une petite maison dos tau bourgs, presque ;i la cam pagne. lieux ouvriers, le père et la i » causaient ensemble, tout ■ '""•."'«»s*« J Tout â coup l'homme dit : j —Femme, qu'est-ce que tu as , , iail8 muVm . rte | a petite ? , _ Milis moil aini ... tI1 J ais qne nous ne sommes pas riches en ce moment----je lui revaudrai cela j l'aimée l^>'' i 'a 1 a''--■ A (e monnii. l ntant. accoui ait j toute jojdise dans la chambre. j aussi ^ . petit moineau qu'un coup (le veut avait saus doute rabaUu dans la cherninee et qm s était blotti tout cneinuiee er, qui s*eiau niorri tout * .■ , , . * * ' * 1 , fil^le ; ^......^ i ..................... ........ ; BOWpnù, ' 11016 1 c ' le moineau est resté de la maison. Le Sud fournisseur des Etats Unis pour le bois de cliaiqpente. j On sait que Chicago est le plus j graud marché de bois de charpen ! te qu-il y ait aux Etats-Unis, et , » kiktl I* . A . II. jt . 1 . | .1 1 1 k *11 /A 11 I a \ .. 4 A . . n peut être dans le monde entier Le montant en bois de charpente j expédié par Chicago eut actuelle ment de 1.100,000,000 de pied», En supposant que dans tous les j Etats Unis, on en consomme ou , expédie 5 t'ois autant, cela tait une consommation annuelle de 0,000, ; 000,000 de pieds. 11 n'est donc pas j étonnant que le pays se déboise ; rapidement. Cela est surtout re ! marque dans le Nord et l'Est, et ! bl, ' n (k ', s ^" s coim.iei.çmt a jeter J fV erc J UÏ A s ' M als l nis allaient I eBe épuises de bois de ' V/ ai t |K ' lUt> ' conu,!e V() " t " Hre lo f Lt, '— du A. me. du Michigan et ! rm neun ! bulsées du Wisconsin, par exemple, les quels ne peuvent guère tournir la quantité voulue pour plus de dix ans. On a trouvé au Sud cette res source. En dehors des terres qui au nord et â l'ouest,il n'y a guère «pbiine vaste contrée en forme de ceinture (pii laisse subvenir aux besoins des Etats Unis et du monde; ebe coin i ,l ' 0,lce sur les boItls (bl R*' 1 K* du i ,'.n2 S,* JS»' lA'lZIfKi elle longe la côte, la Floride et les ; bords de l'Atlantique jusqu'au nord de la Virginie. Dans toute cette étendue, elle a généralement une largeur qui varie de 50 a 200 milles. Elle produit presqu'unique ment des pins jaunes et couvre à peu près 100,000 milles carrés. 11 est remarquable que cette vaste contrée est sillonnée de très nombreux cours d'eau, le ! k>11 " desquels précisément s'élè ! et>s l ,|! Deres et ces cypriere■$. I °" l l U, eM de ce que |l, " lv;llt produire l'Etat, du Mis ! sissippi, au su.l du chemin de fer i «»•; Vicksbiug et Meridian. Ce dis trier, est couvert d'â peu près 20, 000 milles carrés du pins. En ud | î'*,' iliSln,:l reuierme _ envi 11,11 ■ *, 0 - 0,000 acres de pmières. uii-îtiuit (jii'il i.iilh* J.inil) inilîes cam:» a la '•onsDinatiun des fer mes, il teste 1H.0HU carrés â i'ex jiloüatioii commerciale. !£*»«îaiit en A 10 arbres de 15 pouces ce dia mètre cr an delà, cela fait un to laide 1 lo,2(K),00U. En moyenne, chacun de ces arbres produit 500 pieds de blanches ; en tout, 57, 000,000,1)00 pieds. Admettant en suite que les cinq autres Etats en : l ,,l "J , d M ' |, t ain anr, eeia feit une production de 315,000,000,000 de pieds de planches de pi::s. Nous avons déjà dit que l'exploitation générale pouvait s'élever â 0,000. 000,000 pieds. Il faudrait donc 52 ans pour épuiser toute cette vaste étendue du Sud. Or. on es time. que ces terrains peuvent s apporter tous les 25 ans, la même quantité de bois de charpente. La punie du Sud^ dont, nous avons parlé, jieut. donc subvenir aux be soins actuels, sans s'épuiser. —Propageteur Catholique. i O. A. U. La fameuse Société O. A. U., Order of American Union, dont le llerald a dernièrement révélé l'e.x istence et ies statuts, n'est nulle ment un fantôme, comme on a pu le croire, mais un corps parfaite ment compacte, solide, ayant un but et une organisation exacte ment definis. C'est, eu un mot, une institution â base religieuse, ou plutôt à base d'antagonisme religieux, destinée â faire entier la religion dans la politique. Mis eu demeure de s'expliquer par les indiscrétions livrées â la publicité, M. George Weeks, pré sident du comité exécutif de la Société, a publié le manifeste suivant : Le comité exécutif national de l'ordre American Union croit de voir promulguer un sommaire «les principes qui dirigent et stimu ientles actions <1.7 ses inemlïn"s •>■« ">• : Amplement laissant K nnesri. n j ( S r de leur re ! jet au jugement et â la discrétion 1 ffe chacun. Les points soulevés par cette i enonciation de principes ne sont i ni nouveaux ni extraordinaires • Il n'argumente pas pour défeu dre ces principes, et il ne s'excuse pas doles pratiquer; il les expose questions sont aussi vieilles que ! linUdëuriques? ^ ^ j 1. Nous acceptons la Bible ^ comine base de toute entreprise comme base de fonts .».i j u ', UC/ lu lte eutr < prise , moi ale, religieuse, gouvernemeu '«lo et édueati,ni,elle. Uot . rw u l'P ul j îoebranlable a la coustitutiou et patriotes, réfléchis, pays avec, au gouvernement des Etats-Unis et des divers Etats. 3. Nous demandons que le sys têtue présent de notre organisa t ion gènéiale non -sectaire d'écoles libres soit maintenu intact. 4. Nous prétendons qu'aucune portion des fonds publies ne de vra jamais être employée à l'ap pui ou maintien ibuue école ou institution sectaire quelconque. 5. Nous sommes opposés à une intervention quelconque dans les affaires politiques par un homme ou un groupe h'homnies agissant au nom ou par ordre (l'un corps ou d'un pouvoir ecclésiastique quel qu'il soit ; néanmoins, nous ne faisons la guerre à la croyance religieuse de personne. Les objets et les buts de notre ordre sont peu nombreux et sim pies, et nous leurs donnons la pu blicité. Les voies et moyens de conduire notre entreprise, le« nié tliodes par lesquelles nous nous proposons d'obtenir le résultat désiré, sont notre propriété spé (riale, et nous entendons les gar der pour nous. Troisième terme ou un seul terme—Démocratie ou RépubU cauisme—Monnaie métallique ou fiduciaire— Whiskey crooked or .straight — sont entièrement eu de hors de nos visées et de nos pians et n'ont aucune part de notre attention. Pour soutenir et faire progrès ser les idées plus haut énoncées, nous nous proposons d'employer toutes les mesures légales et cou venables, â tous les moments qui nous sembleront propices, avec toutes les personnes qui travail lent à leur triomphe, et eoutre toutes les agences qui cherchent leur renversement et leur destruc tion. Gomme pour le passé nous demandons et nous espérons reee voir pour l'avenir !.t coopération et l'aide de milliers et de milliers d'hommes robustes, vigoureux, aimant leur une ardeur dépassant celle de parti, de secte on de clan, il y a dans ce manifeste des aveux précieux â recatdliir, et l'opinion piibiique les appréciera à leur valeur. Nous acceptons la Bible comme ÄlÄtTXÄ ca t ion n elle. Il n'y a pas â s'y tromper ; il s'agit bel et bien d'une sliciété se-1 erète visant l'établissement d'une religion d'Etat avec toutes ses conséquences gouccrnemcutales et edueaitonnelles, et l'on jugera de la portée de cette institutionell la rapprochant de l'agitation reli gieuse dont les déclarations du général Grant ont les premières donné le signal. d^Vilidustrie, des 'mssourcês^" et ; du génie de notre peuple et des n oimi< nui i- inrHciim-i.iif iVnv Une Idee Excentrique. Le llerald publie dans son édi tion du 21 les très judicieuses ob servatioiis suivantes sur l'Exposi tion du Centenairo : Nous espérons que l'Exposition du Centenaire â Fliiladelphie ne dégénérera |).ts en baraque de foire ou en eirqiie.Dans une affaire aussi importante pour la nation, une variété de conseils et une multitude de suggestions sont dé si raides. Un correspondant tantai siste conseille rt'«l.,uner les osse UUIltS lit, Washington et (le Lill t coin et de les exhiber â tant par tête non r se nrocm erles fnml* till, pour St pl »curer ie» tonds I nécessaires tl 1 aclieveiuout du UlO 1 uiunent national sur les rives du • Potomae. Un autre propose d'a (dicter la maison dans laquelle est né Greeley, pour la transporter' sur les terrains du Centenaire. I! est aussi question de faire du coursier monté par le général Sheridan lors de son fameux ga lop à Winchester, et qui est main tenant au vert dans l'Ouest, un moyen d'attraction. L'a van tage de conseils de ce genre est qu'on peut les multiplier indéfini ment. Mais si nous rions lançons dans cvs affaires de "figures de cire," de "vieux habits" et de re tiques," il ne restera pas de place pour une exhibition honnête. Le Patent Office peut étaler quel qties reliques, en vue de donner un nouvel intérêt à certains dé parlements, mais il ne rant pas encourager cette tendance au de la d'une certaine limite. L'exposi tion doit être une représentation u -, ! 1er science, habilité et esjtrit d'entre prise. C'est un vaste drain]) ; tel lenient vaste que les administra leurs auront à déployer toutes I i " - ------' ; leurs ressources j»our le couvrir 1 particî!(*inent. Il serait doue sa ,r e j de dissuader les exposants ce sor i tir de ees limites définies. L«'Sj' ■ gens n'iront pas a Philadelphie! pour voir un habit que Washing ton a porté ou un cheval que Sheridan a monté. Mais ils se font heureux de l'occasion do voir ee que l'Angleterre et la France, l'Espagne et IAmérique, ont fait pour les progrès de notre génération. Maman est en train d'acheter des chaussures â Madelon : Petite mère chérie, murmure tout bas l'enfant, prends-les moi trop grands. —Quelle fautaisie / interroge la mère. —C'est que, je vais te dire____ c'est à cause du petit Noël ! Avis sut 4'onfribiiablcM. ßlliEAi; IHT CoM.ECTKlTH DETaXKS d'ETAT Purnisse de Lafourche. Thibodaux Lue. 7 Janricr IS'ii. pour l'année 1876 étant maintenant dues, je suis prêt ü en recevoir le montant. Les personnes qui doivent des nuées IWH.-t 1S7J i pu les frais de saisie ut d'inscription, en les ré glant immédiatement. HEX A. CURTIS, COI.LKCTEUU DR T AXE S Paroisse de Lafourche. 4 .1. KAnilDII.A, X* • Facteur de Coton et Sucre, Rai-cliamK'oiiiinisNioniiairc Négociant en Produits de l'Ouest. No. 53.......rue North Peters.......No. 53 entre Ilienville et Conti, Xlek Oklkans Tous les Ordres et Consignations sont pramptemeut pris en considération. (uo'Xi la F. 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