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■gag SENTINELLE DE TUIBODALX, JOURNAL I)U 8 ME DISTRICT SENATORIAL PRIX DU NUMERO DIX CENTS. JOURNAL OFFICIEL LE LA VILLE LE TH 1 BOL A UN. ABONNEMENT:—*3.00 PAR AN VOL NO 29 Informations Locales. Accusation— Un», résolution our mettre en accusation le juge our meure en accusation le juge ÄSSSÄBS r*—— NOUVELLE GkoCERIE. — Mr. ierre Troué, ex-commis de la aison Rivière vient d'ouvrir une rocerie â l'encoignure des rues 'am et St. Louis. Ce nouvel éta- i lissemeut est pourvu de bornes ! s.ici.c ut ^ tont „„ni ______ lisscuicut est |»uur\ n fit 1 üoriius hoses et a tout ce qu'il taut pour attirer un nombreux patronage. , --------- " î REPM'SE\T»Tinx Dkamati itique se ! Representation UE.— Le Club Dramatique se roposo de donner dans le cou rant de la semaine prochaine, dans la salle Wueerlcy, une rejné sentatioii dramatique. Paimi les attraits qu'offrira cette soirée se trouve Le Mariage au Bayou , une' ! U* f" 8 'f Pd-attr»l-a. lt ™ ,1« j pilierto ire "e wtte so c,été. ! i Confirmation.—L e jugement Irendu par la Cour du 15ine Dis- 1 [trict judiciaire, siégea iu à Thibo Idaux, dans et pour la paroisse La Ifonrche, couda muant Blind Jack â dix ans de travaux foicés (dans la pénitencier de Bâton ! iliouge, a été confirmé par une dé Icisiou de la Cour Siqnême. Combat.— Dimanche dernier Ulescoqsâ plumes se sont battus Bâ outrance, en champs cl os. A près (ce combat à outrance, il s'est trou [vé parmi les spectateurs des coqs |â poil cherchant tous les moyens (possibles de pouvoir entrer en (lice. Mais la mère Prudence est in tel venue â temps pour jeter . un l|*eu d'eau traiche sur ces bouil [lauts tempéra m ment s. Tabac —Par une déoision ré MM'lite du Commissaire du Kciievn jliiteriie, tous le tabac coupé pa: Iles fabricants sera classé comme (tabac ( nupé fin â turner et comme [tel il lie pourra être vendu qu'eu (paquet de 2, 4, 8 et 1(> onces. Nette déeisiun sera mise ('il force le premier Mars de la p.icsente fniinee.et nous tn* serons nullement surplis de voir des (îctectires dé j jiioiieer ceux de nos marehaïuis apii vio'eront cette loi. Reduci'idn—A partir du 26 de -•mis jusqu'au 3 de mars indu Mvemenr, le prix du passage du Lafourche Crossing à la Nouvelle Orléans, nar le chemin «le ft..- de Orléans, par le chemin defer de (Morgan, est fixé à *2.50, aller et 'retour. Celte réduction est faite «fin de don lier à tout le monde la faculté de pouvoir visite la grau jde Foire industrielle des Etats tin !Sud et d'assister aux fêtes de sa [Majesté le Roi du Carnaval. Décisions —Dans la liste des (décisions dernièrement reudues jwr la Cour Suprême de l'Etat de W Louisiane, nous voyons que Ïoqs les jugements rendus à la wemière session de la Cour de Dis Met out été confirmés, savoir: Daus les affaires Pierre ltous- eau [j* Blaize Bourgeois ; J. M. Dai P* vs Victor Paye ; Charles p'raoçois Gaudé vs François Gan bé j Jourdain Savoie vs P. A. Thibodeaux; J. O. Toups vs Kdward Meegel. jugement eu fa ^e«r du plaintif. St. Valentin. —St. Valentin, lleyenu le patron des amoureux (tri n'osent point se déclarer ou ^ertemeut et des malicienx qui P e rêvent que plaies et bosses est gctoelleinent grandement fêté. fous les jours von* voyez du ma ' fin au soir une kyrielle de jeunes j f «» «o*p «ne kyrielle de jeunes j feus de jeunes filies, de petits farçonset de petites filles assié | svr le bureau de poste. Henreux *outceux ou celles qui . . ..--------- -- . . , : Kg et de Dobuclet,  la destita, j®« de Dibble, et â inteuter de* ti on vent bue valentine à leur adresse j ou »oit le couteutemeut sur leur fi ■ure, tandis que ceux qiril n'ont N*été favorisés d'une de ces mis pve« fout une grimace horrible. !—Le comité nommé jiar laCham (re pour examiner les comptes du trésorier, a présenté, mardi der pfj son rajiport qui conclut â la P*® en accusation de W. P. K«*I pttjuites contre Shaw et Ogle* î . _ n . . 06 rs 'J^ s ou s il r0v o j --—— | Ta conférence sur la loi élec le ayant abouti à aucun ré-sul I -- *•-- - -*■ ^voffiaientu'n 16 bureau de're s, tandis que les conserva- : Ss 5 S 5 J oraux T-r , , !__ 1, ceremonie, uuntiale connue : fSïASSï ssÄSi-a-iÄ. ,,.....,~ v v,c .ume rreiuentlial â \nm aS1 i>' 1 • » . ÏU 1 !a« e (, e sa rille, Josenli ('em 4 ^ r * i — ^ Cri HU Wall, de Uosiasco, i ... r '\, ".....""*•* «*-• Vismsco, ! . s * . ^ te cérémonie à laquelle a8a,staie,1 t de nombreux invités a !'l>artenant à diverses sectes reb ! ^tcuses, a été très imposante dans St* »""PHeité, et, l'allocution du 1 Rev. A. Lew. mii.isor^ a,. p " " L ? 1 Hiiociirioii Un {''''LÀ' Le ;'.U minintre du culte I , ae ite ' â - Brasl '« rtr , dont nous . donnons ci-après le texte, à fait ; une vire idijiression sur l'auditoi-i ,e - Cour notre part nous mires- i «OU* ,„u, I s '™» »U jeun» couple le» vœux les p us siucères de nmsoérit^ „? ,i . bonheur 1 * 6 1 I ! » , — * ——* ■* —...„ummu j M '" ! C H BM kpoüx :_1M™ Le peut i vous donner un idée plus belle, !, 0 .". lu ' r u » , luee l» 1 »* ''elle, 1 l,' 8 !' ol '!. <s . I>our e »"»'»eut soleil . u ' , ® le ". x : (,a ' ls le qnel vous ' * / u,> "y ( ' z 1(;I ) ( l»e ces quelques j' ai ' 1 ii/clesiiste . ^ , 1 1,u . lumô I Mllssa,)t ? i ! ' >auva,t av< '"' *»»« !«■*« ! "Top e«, • ^ ! »ou épouse «era connut» une vigne fer ! tile, 1 ornement de ta.mnison ; tes fils se : ront connue des plantes (l'olivier autour ! de ta maison uw ui„ c i -....... j plaisits dans le monde, car il était roi. Cet homme puissant n'avait besoin que de donner un signal pour voit ses désirs accomplis. Et pourtant, il n'était iin'un simule i er n invrn „..cfunr a * , pasteui de moutons, mai» 8a position s est accrut) dt) jour en jour jusqu'au moment où j il s'est vu sur le irône comme roi d'Israël. L'Eclésiaste nous dit : | "David était heureux <lan« toutes s'-s j ses entreprises, car le Seigneur était avec I lui. j Cette homme sage disait aussi : ! Que le seul moyen de parvenir j à son vrai bonheur est â celui qui j reçoit une feiiMue vei tueuse." Car. chers amis,une femme vertueuse, des enfants bien élevés sont un momie ; or, c'est ainsi que î'hom m» qui craint Dieu sera lient. j Oui, chers ep .ax, cette eeremo- j me est une «les plus précieuses pour vous, car elle vous créé une j vie commune, me existence no., j vede. Dans vos jours precedents j vous avez too |ours etc sous la .es | i l >OI ! sa " !ltlS ,ia > a *ents, ! i »> a,s »u.|oiird'U.ii vous quittez j i la «»»»•'«»» l»«f«Tiielle, vous formez j »"'* famille, sans savoir ' ee que l'avenir vous reserve ; Lt ce que l'avenir vous réserve ; Et il faudrait être doué (le peu de sens pour laisser jiasser iiu tel jour avec légèreté. Le but de cette cérémonie est de sceller lia contrat qui a été cou venu et dicté par deux coeu^s qui. v -----. . ■ â parti» d'aujourd'hui, ne doivent j en former qu'un seul, et conside-j i er ce lieu comme indestrutible, ( car il ne peut être rompu que par la mort. Or. jeunes époux soyez l'un pour l'autre chastes, constants et obéissants, sont pas seulement des devoirs imposés par la religion, mais votre conscience vous les imposent. "C est ainsi que vous ipi ttez votre fidèles, Ce ne v,a— ...... — S"" " ,è,e p "" r " ê, "' .......* i chll,r ! ' de la vertu, car c'est le seul qui conduit an bonheur. C'est imbus de tels sentiments ; que vous devez quitter la maison . paternelle, et vous souvenir que KbaVinoniè et la concorde doivent ruai moine reg^r entre vous. Jeunes époux, vous éprouverez ^ J^épôüi.'vons éprouverez j,j eK J,. a plaisirs, mes a coté de nes plaisirs, des peines que vous, ..r »»as encore vieil ne connaissez pas encore vien dront s'assoir à votre foyer. Ne vous découragez pas, mes chers run is, et mettez toujours votre cou fiance • n Dieu. Gar c'est entre ses mains que se troine votre « es née comme étant le depositaire de votre sort.. C'est pçmrquoi vous ne devez jamais oublier ^ respectifs qoe alliance o impose. comme ! ' Jeune époux, ton é.poawssrz comme : une vigne fertile, l'ociwm*»»* de ta niai soa...^ ... î ^ ten j r w Jebout j»ar elle même le jardinier doue doit pou-! j ^ sou soutien \ il es», c e ... * ..»* I»/»mm*» SOI! | rer comme «on esclave. Car son gezf bien, jeune éponx, que votre I compagne quitte maintenant ce ~-* n - '* hHr °° ,,r vonH servir d'époülTet pourvoi!tribner : a votre bonheur. Jeune epo .se, il S-^|^ ,,«r ,-..»» ràlf (>t nar votre tra ce : v.ar, jeunes epoux, n n*y a : lieu de, tel dans ce monde que la sî 5 ïïüS"JS "E Solomon le sage disait; i "Il vaut mieux avoir un morceau de i paiu sec a manger en paix et avec satis luction, que d'avoir d s tables rem»'!*— de mets 1rs plus tins entravés pa ! pain sec a manger eu paix et avec sati; diction, «pie d'avoir d s tables mnplii '!■' " u ' tsl, ' s i* h,s 11,18 vntmvés pu ! i'r " p!ir d es ! t Ma,s comme le gen: . .n 1 est '»'Partait, et que de »«»»s » «es propres de 'j"' 1 " ~ , *V i . J' !" <U ' <,n ' l °" r - (l<> ; ,eQ,,es e! '°," x ,,e « ,,l,nt,r «»tant <,u * l ' (,ss ' l),e a defférence de car i actè T 'l lli l )eut exister eutr'eux I »•='«''' .M». peut «,*,r entr'eux : 'i Bst le s '-"' le ventaljle mojeu de oarveniran vrai bonheur. I Si vous suivez les eonseils mie i Si vous suivez les conseils que i ! ! j H v <>us (loi'.ne, Dieu repeiidiii sur ! . i » / ^ : " S ! " l ,Mlx » la prospérité, sa be ! »''diction et sa miséricorde ! ^Que Dieu vous bénisse et vous conserve ; qu'il tourne ses re gards vers vous ; qu'il vous inonde de ses giaces et vous don ne la paix ! Amen / Benediction. NOtre Die i et Dieu de nos pères- 01» ! toi. dont la bonté est infinie, jette sur ce j jeune couple b-« reganU d^ ta pravidem ! jcc; fibs germer daus i 0 ir cœur les mois so is et le désir de comprendre,d'étudier, d'enseigner avec amour la doctrine de 1 Etre Suprême; daigne étendre ta main protectrice sur ces jeunes époux, veille sur eux comme tu as veillé sur leur ber à — * ,x,,,« .-»m ,om ,,ei i L ',' ii11 ' Si tes jeunes fidèles vieunent à , elianceler sur la route, en voie à leur se cours l'ange gardien tpii'conduisit le j.jeune Toliie. Applanis devant eux les j 'Mflieultés de ('existence. Dieu de misé riuorile J H t'implore dans l'espoir d'être | ^ les* tvt j mour des hommes I Amen ! I ! ^!, LC . L Sl ß . L y ( ' LU; E- ! j , .q.'liliifjr'P i <,,U y | OI,t | j Yor k commencent ^fidre'dre«^ • !liv ,,, II1:lis U f;|ltt rec»!; naître i j cette rumeur traditionnelle i j ., „ iH<J O'apiiïn-en.-o de fondement ! ,-et te année que les un Ces. Nous . , . I j lu . pelis Mis ,, as tle d'hom j im . ( lle Ninv Y ork ait jamais joui j d'm, hiver aussi clément (,„e end.ii | ci . ljA po.tion de l'IImison supé ! ri eur d'où les cHinpaguiea tirent I j lemsapprovisioi.neniei.ts de dare i n / a pas ' encore été prise «le cette ! auuée a UIie profondeur «le plus de i «i «.» ..... m....... , 0 pouces, ce qui est insuffisant | pour entreprendre les opérations j dp :!; 1 rec °J : te ;. q^eiques vingt mille ouvriers qu'occupent habi tuellement les soins de cette ré colte restent dans une oisiveté forcée, et les entrepôts des coin , (;l «r llies „/ 0llt , )as reçu mie S( . ule |i vre de til glace de cette aimée. n donc nas douteux si cette fLupéJatuie "^^thunudle se ! maintient jusqu'à la fin, que la <r|ace sera chère |>cndaiit, l'été de 1.S7G, car il faudra la taire venir des régions des bords des lacs et —' qu'ils paieront avec usure les I ÄÄ ÄÄ ! l'hiver n'a il reculé jusqu. A présent msrnrnasimm. livrera pas à d'invraisemblables ; cascades. j \ ^ . r otf des nfcrfs nistni , VOIE ° Eb NEGRES—IIistoi non'elle, ..it le Fujaro : II s'agit^ette fois, d un noirci "f*Te?. ! J a * *i L g zU 1 ; >1 ..L.l l L V'SZÏÏZ H 0 1g C . était îm moment du plébisci . » .» . ». diiits aux mues par un officier. Le nègre, A cause de ses galons, marchait en tête à côté du Heute lui deman marunalc e „ lete n C( na „^ t j e vaisseau qui d;| . —Comment voteras tu î — Je voterai pour mon commun <) • » 11 1 qui mange bien, qui boit bien et qui cogne dur ! ! L'officier eût beau lui expliquer q U 4J| ue s'agissait de choisir per • • ■ * -• te, à Brest; le navire était entré j la veille, et les marins étaient cou H ,,i» c * 1 «TV| sonne, mais simplement de dire ; oui ou non, le uegre ne voulait _ , . , , . : Quand arrivé aux unies on lm ; rien entendre. Quand arri . _ -------- - ..... piésenta dt*s bulletins portant siiu • nui. p! nnn il i <1** pa iPiii mangeait bien, buvait bien et co- j gnaittlm. . Et c était un nègre civilisé, gra (lé ,laas ,a flotte * * - * • MM. Schœlchcr, Laserve et Casse nous objecteront 4 cela que = fane encore, eu matière de loi élec ........ - : « voyrt !»> qui ont fait une reconnais ! sauce précise du Globe, voya geurs et servants de toutes les nations, surtout anglais, français et russes. Il n est question que i ajoutait les cratères, on irait i chittre très élevé. En effet, la , V te , ' ,, ésente ,lY„* . . . 1 ' 1 i j ; « J des volcans enflammés ; si l'on j sur une ÂTS* E j n, ex" mp c oîi " riaiior, par exemple, on i l» ent «ter ffs auceus' de l'Au vergue, du Velay, du Vivarais, de la Province du Languedoc, En Italie, une très-grande partie du sol est formée de débris de matières volcaniques. 11 en est de même dans plusieurs contrées. Les volcans principaux d'Eu rope, le Vésuve, l'Etna, et le mont FTécla lui-même qui est en éruption i en ce moment, et qui est en terreur eu Islande; sont des ! vol ? an ^ (, '»» e S™"' le Pj'issance ; | mais c est dans I Amérique méii diouale qtl'll faut aller trouver les plus considérables et les plus terribles. Ainsi, au Pérou, nous citerons : L'Autisana, dont la hauteur est de 5,840 mètres ; l'Aréquipa, le Cotopaxi, le plus effrayant de tous qui a une élévation de 6,000 mètres au-dessus du niveau de la mer. Le brasier qui domine ee vol can, perpétuellement allumé, res semble le soir â un immense fanal dont l'éclat est d'autant plus vif ! que la ceinture blanche et glacée | ( *e la montagne rétiéchit constam • ,U<<,,r ,H °' crat6reattei,,r presque la hauteur qu'aurait le i en" ÎU*» i ! ^. n.' ,[ ( poque a.la j ! 1 académiciens français , I quelle j mesiu aient nu degiedu méridien, j 118 lurent témoins <]*iihh érunrtmi ! I f i i , t V" < ' 1,,,nva,,tablt ! u f r ' 8l " vanr h ' s ^'' inmieuts i Line 4 ■ ïnüe M '" 0 } uhm \ Ui , |d um «l plustems liens a la ronde. ils furent témoins daine éruption qui s'de\a a .»00 mètres au moins au dessus du Cot opaxi. I Cette fois, la neige qui couvrait j .a montagne lut fondue générale meiit et forma un ejxxivantable : | Le ltM1 et p eau ravagèrent alors j C0lltriie . Les èn.ptions du Cotopaxi, fort fréquentes, sont as i,| ini . a r-7- 6 tle 1 UQ'inteur éloignée de ! »mT''*** ^ C °î° . L .. M 8 V MS f eln ""î s sez ordinairement accompagnées des plus épouvantables accidents. Le savant Alexandre de Hum boldt affirme qu'eu 1808, se trou vaut a Guaquil, ville de la répu blique de l'Equateur éloignée de réunis de 1-éruptiou et de l'inonda tion. Au Chili, il y a treize volcans. Les nombreux fourneaux, depuis «|A«sSS|iS»=SS " C i" 1 ! î?S 1 r.» j u 1 f nn gra,,d no(nh ™ j ,. n L'/ re,nai< l»e dix Citm.s îi ûd « Citons encore aux îles Sand wich, dans l'Ue « 'Haonan un vol ; can remarquable appelé Kérao T . a ^ ,é P rao ! *1*1!!..]!^ J. ^ tl e8 ! ... , , ; i . :— ciq> ton qn eu a «ionnée Lord By ion, i neveu i u ce e lire jioefe, , qui, ans e mois de juin 1825, commandait la corvette an glaise' | La Blonde portant a Haonan les restes du roi Rida et de sa femme morts l'un et l'autre à Londres. Le Calendrier. Le problème du calendrier a été pour tous les peuples de ra mener imléfiniiivement l'équi noxe â la même date civile. ( Quand on faisait l'année de 365 j jours, les 5li. 49m (eu nombres ronds], négligées à chaque révolu tion, jiroduisaient en cent ans 581 §k. 0,1 Î- 5 2[3h, quantity qu'il ! était imj.ossible de négliger. Eu ! „„ |l<miulc 11C ueguger, eilet, c ; était une difléreuce de .1 ^ .........: n *«* • i llliilliiill plus de sept siècles, dans les mois opposées; et eu moins de quinze i siècles, elles revenaient de non i veau aux mêmes dates, ayant par | couru daus l'intenTlI^'tons 'les mois du calendrier. C'était 14 l'ori ESBîrris jours, renaissait de ses cendres, c'est-à-dire, recommençait une : nées de 3G5 jours ou 1460 £âïâ!s,:J±s£>;:E jiusctile (lu matin. A l'origine .1« ! la civilisation, plusieurs pennies ". .. ......., . ' -e et\ îhsattou, plusieurs peuples Mi i ;i 1 f iist'tim txuir MiLn Lin. !.. i n'ont fait usage, pour rétablir la j correspondance, que de correc ; î ions sans règle fixe, et opérées de loin. Us ramenaient la concor ---*--------- - « *** «»V »«■ VyVMI 1 * j dance, quand elle était notable ment troublée, en ajoutant tout d'un coup quelques jours à une certaine année civile, comme on remet â l'heure une horloge mal réglée en touchant aux aiguilles avec le doigt. C'était un moyen imparfait qui convenait seulement â l'enfance des sciences. Aussi le progrès des connaissances et ce lui même de la civilisation ame nèrent ils les législateurs â près crire des systèmes léguliers d'in tercalation. Les principaux peu pies civilisés ou semi-civilisés des j deux hémisphères étaient arrivés â maintenir la concordance par i des moyens plus ou moins ingé ! i iiieux. Même dans le Nouveau ' U1CIJA . iu ,»u,c umis u? nouveau | monde, h s Péruviens et les Az tèques avaient accordé lannée ci vile avec 1'anuée tropique,comme j es anciens habitants de Mode et ; les A IllllOls. . ' . A Rome, ee fut Cesar, armé i au pouvoir, qui dota la société la- i tine d'uu calendrier fixe et régu | lier. Sosigèue, astronome d'Alex audrie, qu'il chargea de jiréparer I ce travail, emprunta aux Hindous! l'intercalation d'un jour tous les j quatre ans. Ce fut l'origine de 1 .....' 1 ——M«'cpuur j parcour ir les douze mois et revu , oir à la date du départ. Le calen nos années btssextiles , qui comp tent 366 jours. Ce calai.drier suji pose l'année de 365 jouis et 6 heu les, chiffre qui n'est pas très loin de la vérité. Les saisons se dépla cent encore, eu vertu (les 11 iuinu tes qu'on néglige chaque auuéc ; mais elle ne se mouveut plus que lentement, et prendraient la lon gue durée de 478 siècles, au lieu de 16 «le la période sothiaque,pour ....................... j drier de Sosigèue, promulgué par ! n/»...... ... ....\a . 1 / ......x . 1...... .< 'César, fut appelé,' d'après le pré nom du dictateur. Calendrier Ju I n eiL j U suffisait aux comparaisons â courte durée, pour lesquelles reu : les on avait occasion alors. Mais juaiul les annales de fa société ci vilisée se sont allongées, quand on a embrassé une série d'évèue meats, rapportés par leurs dates exactes, aeudar.t une jiériode de deux mille aus, les onze minutes négligées ont commencé à trou bler l'accord. En *131 ans, elles [iroduisent un jour ; elles en pro (luisent trois au bout de 393 ou à très peu près quatre siècles. Lors que le pajie Grégoire XIII, légifé rant {»our le monde chrétien et ci vilisé, voulut faire disparaître cette source d'erreur, l'astronome Clavius indiqua, comme moyen pratique, le retranchement de trois années bissextiles séculaires \ ! 'l uatre • ce qui ne de ces trois bissextiles séculaires sur (juativ, est celui dont se ser vent l'Eumpe occidentale et toute s=s 1 1900 qui seraient bissextiles dans j le calendrier julien, iront que 365 jours dans le calendrier grégo nen ; mais l'année 2000 en aura 360, e t, de quatre siècles en qua ; t re siècles, U en sera de mêmi de hl aernière année séculaire. Au ! la dernière année séculaire. Au ! «léfant de cette correction, les ueiitiiL ue cette cuneciiou, les équinoxes et les solstices se dépla , çaieut dans l'aunée civile, au i point ( j e varier de douze jours. | x Vie siècle. La réforme grégo XVle siècle. La réforme grégo îieune n'était donc jias inutile : elle n'est pas d'une rigueur abso lue; mais, malgré la faible erreur qu'elle admet encore, elle satisfait aux besoins présents. Dans son sermon du jour de ( ...... ...... ..... |W ... „„ j l'An, le docteur Gumming, de l'é glise protestante écossaise, a en-I gagé ses auditeurs à se préparer j à la tin du monde, qui doit arri 1 ! ver, selon lui, avant le mois de ! ! septembre 1876. Ji*ici lâ, les Juifs retourneront i - 7 . disjiaraitront île l'Europe! [On i |ieut.prédire cela aussi bien que le i docteur Com ming, saus être prô | phète comme lui.) Connue mesure de précaution, un riche Aqglais s'est hâté d'en voyer dans les mers Arctiques 15.(400 bon teilles, bouchées hermé tiqocmeiit, et contenant chacune uu abrégé de l'histoire du monde, depuis la créatiou jusqu'au 1er ,i,, T---------- "*'* u,uus :r£f 3 S 3 S"- s dation générale,) lJs 'èluSot'" .,n,»v.»lit« „iJu ... „ g .,l! '„5* I UULIUII generale, les générations nouvelles aient une chance de ...... • • savoir ce qui elles. s'est passé avant . J Mme. B. /%. JO.\US, ,, , ... i cSËÂÂS ! ainsi que ne l'muo et Solfège, donne! leçons A domicile, à des prix modérés, ï yS'adrewer au Bur-au de la Sentinelle. J. a. T roae" * Rue Market (Ratisse de Laeapère) Tbibodaux. LIVRES CLASSIQUES ET RELIGIEUX, Fourniture* de Bureau. Papier de Mumuue ARTICLES DE PIETIE : Croix, Clirists, Médailles. Chapelets Béui tiers, Images. Tableaux, Statuet tes, Cierges, ET COURONNES de 1 eke COMMUNION Galerie Potbographiquc au premier, jau. 22 1 au « JT. B UTIEUn. -U\ • Facteur de Coton et 8ucro f Harchaiid-Corami^ioiinuire Nrgociauten p^duiudo roue.t. Ko . M....... rue North Peter« ....... No. 53 eutre Bieuvdle et Conti, Xi.lk Orlkanh --- lol,s lt ' 8 V rtlrea et Uonaignation» sont «»e^P^en^aératmu. (no2ü u !---—j,---- - * M _ on ** MriM> * DOUR semence garantie de pre 500 b «..dre par Williams & gaude, 22 jn. 8f. 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