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SENTI NELL I; S DE THIBODALX, JOURNAL DU 8 M1 DISTRICT SENATORIAL. l'iux DU NUMERO :—DIX CENTS. JOURS AL OFFICIEL DE LA VILLE DE T1I1BODAVX. ABONNEMENT:—$3.00 FAR AN VOL TltlHODAUX, T.—, SAMEDI 26 FEVRIER 1876. NO 30 Informations Locales. Aaiatf.urs.- Une nperbe ^easion^our faîre une bonne affaire se présente actuel ement A Houma. Mr. J. Petit ni olas désire vendre, à des condi ions très avantageuses, son ma .gasin avec tout son stock de mur cliandises, pour entreprendre un autre genre d'affaires. Ce niaga autre geuro o-auaires. ue maga sin a la réputation de faire le plus d'affaires delà localité et d'être le mieux achelandc de la pa roisse Terrebonne. 2 t. ■ ■ ._ AMENDEMENT.—Le bill amen! diint Pacte d'incorporation de la fille de Tliibodaux à été adopté ----- -Il x Mlle de fhibodAux à été adopté par les deux chambres ; il ne lui manque pins que la signature du gouverneur pour devenir loi. l)'u i'- 1 '-'-" des Maires et Aldermen qui avait kSsäS le. Ce changement évité a In ville mie dépense annuelle de Iras 4 quatre cent piastres. CANAL IIarang—L' esprit d'oïl | (reprise de certains habitants ,1e OeP^rHurliiR f teml^nun' n''* i Octa\e LLirang, tend jour n,die ! ment a rapprocher les distances, ! U» planteur, résidant h cinq milles e ,î" a«» dessous de Lock port, du maLiu et es^m'iHla Nou ! relie Orléans â cinq heures du soir, en passant par le Canal lia raug, situé A six ou sept milles en aval de Lockport. p. mtTO tv ,.>.i . Âïfi résulte qnt la dernière récolté de «ivre a été dans les paroisses coin posant le huitième district Sén.,_ lorial, de 3G.7G1 beaucauts de euere, âG.OGG galons de mêlasses, ee repart issa n t comme suit: I.. parroisse Assumptlon. 15,047 beau cants et 22,088 gai. de nu-lasse, celle de Lafourche. 10.GÔ2 Gts. et lô,7'.LS g;d. de mchi'-scs, et celle de Tern-bonne, de 11,002 hts. et 17, 27t) ga 1 . de lucl .-s.-. Dans ce même district, l'Assrmptiou a produit 10,131 barils de liz. Lu fourche 41 ,(mO, et Terre bone 2.200. Representation Drama ii qi'K—Ce soir aura lieu, dans lu - - -..................., ........... Mille }Yavcrlcy, une glande soirée récréative au l.énifl' e «lu ( ' ! : 1 1 > •Dfiiiun tique (il* Lafomehe. Le program me eu est des plus variés; ! il se eu in pose de l'amusai.te pièce; , Ije Mariage au Bayou, de deux' djansoiinetles. Jadis et le Mar chand d'images et d'une farce i ut i tulée : The Model 'tradesman, il y aura en plus le Cercle Je l'Har monte et la Ht. Joseph's R. C. Band qui exécuteront les morceaux de musique les plus en vogue. Pour de plus amples renseignements, voyez les programme#. Combat. —Dimanche de. nier, chose extraordinaire, ii n'y a pa» «u de combat de coqs ; mais les amateurs de ce genre de specta des n'ont rien perdu à cela, car ce même jour, an bout du pont, rive gauche du Bayou, vers cinq heures ilu soir, deux cents pci* ; mm lies, an moins, s'extasiaient de vaut un combat entre un noir et : nue noire. Malgré la vigueio ap- j parente «lu premier qui frappait ! à bras racoursi et drn, la dernière j à terrassé deux fois son adversai ! . .................................. jre et du dernier coup de poing lui |»fait piquer une tête dans le fossé, f bu grand ébahissement du nom breux public, témoin de cette U.ntte. t, _ , . ... . . . - Uo . ' J °]' r u RE |tT d# «. *7V" io 1 «Ï?! ! Lglise Sainte Ma le, j AHcelaiid, aura lieu sur le terrain appartenant A l'Eglise. Il y nuta , Wm amusements et des jeux de » trrthmi i sssiitsssZ" . ts les plus choisis et servis par W dames les plus respectables et mieux connues de la paroisse, our le transjKn't «les visiteurs ré idaut le long du Bayou Lafour | Capt. il n St, John â mis B bateau â la disposition des -Disateurs de cette fête- Ce ........... , a.. UC u iir iukv. teau partira de Tliibodaux de in entre midi et trois heures et ïr ( tl'Ä" S.Ï 1 :; mm Informations Generales. arrôtVen'^Merre i,18l ° W * ** elections qui ont eu lieu e lo, au lexas, ont été favorables aux démocrates. — L'immigration chinoise dans la Californie a été P in dernier de 17,144 personnes ' dernier «le 17,144 personnes ' ; r . . —Bc meutrier du Chevalier Du yr >ls t H Bianco, Stopp dit Carl v °gt, a été condamné à mort. Il 8*est pourvu en cassation. —Il se fabrique journellement au Etats Unis 48 millions d'énin g'es ; il s'en importe aussi n not i «IHUUlia UC »II P 1 «'« 5 il s'en importe aussi quoti diennement 28 millions, et il s'en 1 perd-joui nellement 7" millioi s : „ " " "° U *" ! : : ,T' e /.' iveMogg pour solliciter I : j —Le succès jusqu'ici obtenu j |m.r le système des jetées du capi : taine Ends à suggéré à des ingé j j nieuis l'idée de l'appliquer A la construction des levées le long du ■ j Mississippi. 1 ~ Da " s une ^ance du comité ! central du parti cous-rvateur et démocrate ,1*1 l'Etat, tenu le 10 février, S. W. Fattou a été nommé j ( président, Albert Voorhies, vice- ! ,,,ési(lel,t et P - J - Sullivan, secré i le Sénat Fédéral est entré dans i «*• - «*««••* i j —Les marchands qui ont â j New York le monopole du coin \ Mierce de la glace, viennent ,1'en d<mb!» r le piix. 60 cents pour UK) livres pour les particuliers et 40 cents pour les établissements qoi en finit une grande comsom présideut et P. J. Sullivan, secré taire. | . . I Lilliugs qui jouit d une eer- j tame notoriété dans la Louisiane, J nommé juge de district de eet i luat par Grant et continué par matioii. —Un français, Mr. (réuni, éta bli an Canada, vient de doter ce pays d'une nouvelle invention. Il fabrique du papier, non plus avec <'t de I berbe. Il a refusé de ven dre son brevet #200,000. Le non neau paitier est quatre fois plus fort que Faneieii, jieaueoiqi plus doux, plus soyeux et coûte moitié moins, —Mine \ ietoria Woodhull a donné, dimanche dernier dans 1 '« Sr - Batriek une eonfé la salle St. Patrick une eonfé ren ce, «1 laquelle assistaisnt. beau coup de curieux. Le sujet choisi par la conférencière était sur la pureté que l'homme doit conser ver à son corps pour en faire le temple de Dieu. , , veut plus du e qu'on lui —Pinchback ne rôle de marionnette fait jouer, et il menace, si les ré publicains, ses amis, persistent a en faire l'appoint de leurs com binaisnns oft sa personne ne figure que comme ou en cas, de passer aux démocrates et d'entrainer avec lui la masse des gens de ! couleur des Etats du Sud. I ", „ . !' JV, t> 10 , f, < sM om - lomp, g i a . M P l. , s j avant pour président Wm Hardie, i viet'-|)tévident B, Parks, pour secré P taire B. II. Roberson, pom Tréso Her. Rev. H. F. Tayio'r. Les offices de Foreman, etc —....... .......... ....... ......... restent vacant jusqu'à coque cette compagnie ait fait l'acquisition d'une pompe. 1 ' .... .................... ' —La déposition de Grant, faite i devant la Cour Suprême des Etats ! Unis, est naturellement favorable 1 i i a» général Babcock, impliqué <'*"« tes framlw «le Whiskey. Un témoin ifui avait »iispani lors j (Lu q procès intenté contre une . 1 , i;,....,..,. a,, o r t (1I1 : S t , t 4 à ^ntentimi de re ve i e r tout ce qu'ii sait sur les *»*■* *'« Olj «oit q.» - ==• ==■«= : _Le Lord Grand Chamhellaii j du Roi du Carnaval, a donné ] ordre â son Suzerain W.P. Kel j joivjv de faire fermer tous les bu-1 re " ux d u département de l'Etat, ^ l'occasion de l'entrée triomphale : de Majesté dans la Capital«*, j j e Secrétaire privé du gouver | , , . .....i..: ... ^cncuiwr |G ne «*•« ' nei)r }l répondu «jne 'l'orflre «le sa majesté sera dûment obéi. -r« le. SSgÂ:-S«®S Bis Faits Divers. Pompiers.—D' après les rap ports qui circulent ici, l'anniver sa ' l '<* des Pompiers delà Nouvelle Orléans sera cette année-ci eélé bré avec beaucoup d'éclat. De snu !! ,s l ,rt M M,ratifs sont déjà faits < ' antrt * s so foMt enooie P 0111 ' donner, à cette fête du 4 mars, un 1 «« *om emou- pom donner, a, cette fête du 4 mars, un cachet-de grandeur imposante qui surpasscia tout ce qui a été fait prêcedcmmcnt.Chaque co'mpagnie <1 " Departement a déjà engagé sa bande de musique, et, grâce à la Cl,l,eurrelHîe t elle a été à même de } n,llvoir contracter avec les meil eures organizations musicales de , /Pf t , * tm L;1 Ao < est assure les set vices de la lin ^rnet Bank. r __ | —Le('ol. Loan. Riirîiitendant ; de la I'olice et le Cant. Gray, ont A à..' ______ t , _ • . . ' . SSSSSiSr 5 : pi is de Cour par le juge Adam, Un writ d'habeas corpus a été ob teuu du juge Cullom et les prison niers ont été relâchés. , r • ! (1( , lelïlv siliÂ''d-.^ ; tée Bayou Grosse Tête, tévrier 18. 1 187G. Hon. IF. P. K< U,hui. qouvermur de l'Etat Je la Louisiane. j Cher Monsieur-Avant perdu , tous no s mulets et chevaux et tous tues mulets et chevaux et sans argent pour eu acheter d'au | très, voulez vous être assez bon <K- m'avaneer une paire de mulets I e t ,] e | 1>S expédier A mou adresse .- ! JHck Shalerharn , Bayou Grosse j Tête, au soin de J. L. Barker, Fia | quemiue. i . . , ( n nous a promis une paire de mulets et quarante acres de terre. Si je puis avoir les mulets, j'aban donne mes droits sur la t* rre. Pour reference s'adresser à T. il. Allai ii, VV. Pag-, NV. W. Wimrton. Très respectiieuscment Richard Shalerliorn. W ai d, paroisse Iberville, Lue. • __. '____ Fit* IX est b* 200è:no sqcccs | senr de St. Pierre. 11 a été élu j i l'l SW*- ..........». ' sequent dans la t Huitième an née de son pontificat li a 84 ans, étant né le 13 mai 1782. Le Sacre Collège comprend actuellement öS cardinaux. Le nombre total des patriarches, archevêques et britannique. Recette pour trouver un MARI —''Plus de sens commun et moins d'espiit ; "Plus d'occupations utiles et moins de musique : "Senn™ u» : .,-Miràd» ™ e et mo j„ s | os j l,/stères Je Paris- ! oRaccommodeUsis ,-b,.mises J ___ ___________ _____ ! eflraiëirt Ïa"'b(mrse7lerëàtidrdàts I an mariage ; 'Raccommoder ses chemises et ses bas et ne pas faire -le brace lets ; • ( "Lire la Cuisinière bourgeoise et abandonner les journaux à la mode ; "Ne pas étaler des toilettes,qoi manage j "Prouver enfin aux bonnes | flu'il trouveront un aide dans leur j j épouse, et non un embarras." i 'o,,.,.;., . . . P oo\- ii„nm!,) L i >1 r < , U 1 l ,>!1H ,U .f ,e 'li n," T ^ üamlulatu ' . . | L '» proprietaire, dans ses ms- | i trnet , 10 "' s tle üu * l ' iU1, ' 6e > » 1 ! 80,1 J'* 1 ll,It ' r : ! 1 , " buit0 ;; r ' 8Prvez vous beaucoup i ce mot j , t . fermier s'en va d i'bnrmacie" du village . — louvez-voua me donner du j Guano t... Que diable veut dira latin ?... Le fermier s'en va droit chez le : j Toutefois, se gardaut bien ] uioiitrer le bout de Foreille dé j iotior.i nce . , Du guano ?... il ue m'en reste l»lus une boite . Mais ; j-en forai ; : xais suite à j »•*»» correspoudant, qui est le pre i | uuer confiseur de Dijon. | i Du guano V..Û ne m'en reste ........ . le plus «u», «don 5 NDE.—C'est nil Tent. essieu, SSgÂ:-S«®S saa La chienne de Livingstone. \ On lit dans VEvénement: Hier est arrivée à Marseille, et demain sera à Paris, une voyagen eélé sequi mérite, certes, d'être pré De seutée au public parisien.—Cette voyageuse est pourtant une chien 0111 ' ne bouledogue, tour, simplement, un et même une chienne oui est loin ne oouietiogue, tour simplement, un et même une chienne qui est. loin qui d'être belle et de race immaculée, fait Mais elle a appartenu au doc teui Livingstone, et a fait, sur ses sa talons, plus de G,(MK) lieues dans la rintérieur «le PAfrique. Après la de mort de son maître, elle a été achetée par nu riche négociant de de Bombay, sir Samuel Mutiroë, le —..............- —..... < quel l'a d'abord conduite aux lu des, «l'on il l'amène aujourd'hui en France où ses allai J l'am.el en | lent. ; Mabel, tel est le nom de l'an> ( * st âgée de sept ans environ Ub.,f ...... K.... 1... t.1...........!.. France où ses a flaires 1'appel f : SS3S ; 1S noires, courte sur pattes, iiu mu «'-au noir à l'intérieur comme à l'extérieur, et dont la mâchoire , inférieure dépasse d'un bon centi ! mètre la supérieure. ; ilvait »««« »'bis lors,pie 1 le 'Joctenr Livingstone la reçut ; ,cetulD.Godtiey,le,clictdeinu si 'l"v (| es UR { ,mvds, Uii en fit j **")**«• Aussi le docteur bapti , ? !, . u 11 sa <,, . ne I " ,K * »«»» ,le et ^ .lounc (Fnlfrey à la et , ■ • , | lo L,s ce èbre de ses \ aises. A un an, Mattel commençait ses I voyages en Afrique, où elle a eu. .- ! t*ès certainement, les aventures j l es plus extraordinaires qui soient | jamais arrivées à un chien. i BUt* a, en effet, étranglé un roi, fait des lieues sur le dos d'uue autrHclie et commencé à cuire au ACici le récit de ses trois uVeii turcs, que je choisis entre cent: '•Eu 187ü, le docteur Living stone, se trouvant aux environs du lac Nyanza, fut attaqué par un tiibu de nègres au nom • 1 u .. > ! Livingstone était très brav e et j pa.vmt toujours de sa personne. • | Âiissi, anplus fort de la mêlée, j n-çut il sur la tète un terrible ' . 1 mouvement. i Quand il se réveilla, la premiè ! re chose qu'il vit fut Mabel, déjeu ! mint avec appétit de l'épaule du j sauvage qui avait failli si bien j tuer son maitie, et qu'elle avait X.ZL vsirirr « w )rr s " ! - °' ' ét 1 ,tü ÂI:, J HSte »»*» ''»'M'Ig-s qu'un tronçon d'épaule te mâchoire. Grâce â cela, les noirs avaient pris la fuite, car celui qu'avait si proprement envoyé dans l'autre monde la vaillante Mabe 1 , était le roi de leur tribu. Quand le docteur fut assez bien revenu à lui pour rappeler sa vait „lus „„'.n, truiiç.iu il-cpanlc <I,i côté droit, .lfctefeut ,.„b iiolt ! gestion. j n ^ , Quoique n'ayai.t ner, en appa lence d'une ebienne de chasse, [ Mabd devient positivement folle | m ot qu'elle flaire la, trace du moindre gibier. Aussi s'affolait- , ;! e soiu e»t eu Afrique, et un | | J ,,UI > **ù 'ujant passer un autrii j ' 11 '- s ùlança t-elle d'un bon énor j me sut son dos et s'y cram loiina- [ t-elle solidement avec ses tormida ; »es crocs. . , . . j L oiseau épouvante prit la lutte j et se mit à arpenter le désert â , eu, am bees tlesonloiinees, entrai | u tut sa ténacité cavalière avec | | u»e \eloctteque triplait la terreur, j 1 UoojTiisement la troupe de Liv-1 ! J )Uü ^ Hva,t ohevaux, et ou donna la chasse â l'autruche. | ,,e hlt< ? u Jeux heu ! res qu'on l'abattit sur le sable. - " " J le paiaissait [>as du tout a îgoee. o.et tu.utiien,int, comment la ; \ o.\ ngeuM* commença, un jour à r*il 1 r**. 4iii Hur • . j c u * r « «» tour : ...! »- "2 . , • 1 lint ' 1 » octeui. Il était ne ; «t se nommait Pietro Yi * ! i A l ,r «* uue existeuce de plus hé ! | croc î es, »ni cours «le laquelle j i U avait «te. neiiihiiit Hmv .„.m« ! anthropophages il fut très bien | reçu par le. roi du pays, qui lui le docteur. Il était ne à .......", »iÄÄte ............. i . ^ e» 77ÄS ®Â-,tï;3 Aussi crut-il régaler Living stone en lui offrant ce plat du |»ays. Mais, naturellement, le doc leur refusa avec horreur: « <!»*« &nt, im dit le Napolitain. Je viens juste/ meut «l'attraper, dans notre cam peinent, un gibier dont, vous me direz des nouvelles !.. tem-^ntendit 'des 6 cUs^'iftrenv 11 :. Us <IS '<» r < UX. (-/était le gibier qu'on venait d'in ..... - , (1 <I1|wfl „ . v j ,, - , , ' ! ? ue . MabeI D'>ss e .I« fous v ^" ,u M 11 1,11 »ciidii u ni ÂiïÂîar Ce gibier, le docteur reconnut sa voix----e était Mabel ! Inuti le de dire qu'il 1'urraclia précipi | tamment à ce commencement de cuison. Je crois superflu de vous dire I T K . ' uantM P rt -s?.eile tous les ta i ,eilts d'un einen qui se res|»ecte elle rapporte, fait la belle, porte des paquets, et, si elle ne joue pas an domiros, c'est qu'il n'y en avait pas dans le désert où s'est faite son éducation. Je dois à la vérité de constater qu'elle ne semble pas du tout re gretter son nzaitre. et qu'elle ado re son nouveau propriétaire, sir Samuel Mouroë. Histoire d'un arbre.— C'é tait un orme. C'était l'orgueil de Boston. On ne sait pas à quelle profondeur ses racines péné traient le sol, et la date de sa nais stance se perdait dan« la nuit de la tradition. D'un consentement commun on lui donnait plus de 200 ans. Il était situé dans la céiè bre promenade des commons, au bord de l'immoitelle mare aux grenouilles. Sa notoriété remonte à l'époque du décret bannissant les quakers des colouies s„us peine de mort. Il faisait alors l'of tiee de gibet, et bien des qua kers réfractaires ont eu l'hon neur d'être pendus â ses bran ches, notamment William ltnbiu son, Marmaduke Stevenson et Mary Dyar. C'est an pied de cet arbre que fut fusillé, eu 1070, un la colonie de Massai husetts. C'est sous cet arbre, dit la légende le jeune Phillips alla atten dre le jeune Wood bridge, et le transperça de sa rapière. Eu 1784, eet arbre vénéiable fut baptisé "L'arbre de la Liberté." Plus tard ou substitua à ce nom celui de "Grand Arbre.'' ! celui de "Grand Arbre.'' j Pendant le cours de Sa longue j existence,leGrand Arbre a essuvé bien des orages. 11 les supportait té. Sou tronc eu était devenu tout creux. En 1832, un coup de vent fit ployer sa tête superbe niais la municipalité la releva. En juin 1800, une tempête impitoyable en leva toute sou écorce. Eti septem bre 180!), un coup de foudre l'ain outa d'un membre. Imlépendam '■*? f™" 1 ? rcv '* 1 ' 8 - ! ""'* ton . f "' lon g em P 8 âomo.s a j de basse indignités. Les vaches de Boston venaient ruminer jour „ellement autour de lui, et le [ feuillage des branches basséf n'a | va it rien de sacré pour leurs dents profanes. Un décret du , maire Otis. en 1830, mit un terme | ^ ce t avachissement. En 18Ö4, le maire 8mith fit entourer F'irme j géant d'une clôture octogone. [ Dette protection semblait devoir ; mettre sa vieillesse â 1-abri des j tourmentes. Sécurité trompeuse I j Le terrible coup de vent dernier , a été pour lui le coup du lapin, Uu silli . strti uia(1 ueme.it s-est fait | entendre. Le troac «le l'Arbre de j | a Liberté s'ést rompu à la base, et son branchage a jonché le sol vaseux de la mare aux greuouil | i e8 . U était 7 heures 17 minutes.. ! La nouvelle de la catastrophe 8 / e8t répandue avec la vélocité ,p u „ cablegram me. A 7 heures 19 minutes, ou comptait 250 Bosto ; niens, sans parler des femmes et des petits enfants assemblés au 1 ..... .. . jtour de ee grand débris. Et le """euanA . " om . l,re » «'"j 1 ""». été «ote»«. r .ui seu.unuoi u™ cuue», unu {„nf simplement pour en faire des bftehes. Mais le lendemain ! une faille de police a été instal ! |é e autour .1e ce qui restait de j FArbre de la Liberté, et ses n ! ... ». ... * . . | VhéZllm"^ îï c / etrtit 4 qui en emporterait le« iSK^jriRÆS^ÎfgïE tollt sim, »lenient pour en faire i uu ärr* lléll,Bt *, «lont l'art saura en ex S arÂ'î OJS ÄS Mme. B. I | _ Professeur d'Anglais. Français, Espagnol . ainsi que, »le Piano et Solfège. donnera des ! --------------------:__________• A. A. thonf j Une Market (Bâtisse de Laeapère) j Thib»..iaux ' *- TVR ®f ( ' LAS SKjCES et religieux, i loxrniturcs dtllurmii. r„pier,le Musique. I articles de pietie: pelcts Béni Statuet tes, (Merges, ET COURONNES Dt. 1 ki;K COMMUNION . '»»iiuu.o un rirais : _ | Galerie Potliographiqiie qu premier, ,a "' ~ 1 au 4 .1. B U HKMIN, A • Eue U* u r île U 0 1 1 M 1 ft Siu-re, M iireliu ml-ConiiulKhionn aire KT Négociant en Produit» de l'Ouent. No. 53....... rue North Peter».......No. 53 entre Bienville et Uouti, Nllk Orleans Toils le» Ordres et Coimiirnations sont prjiupteiueut pris en considération. (uo!Â) lu Riz du Kondura». pOUR SEMENCE GARANTIE DE PUE I niière année. 500 Bbis. A vendre pa r WILLIAMS &. OAUDE, Laloiirche Rice Mill 22 ju. 8f. Lafourche Crossioji. J?* ODF.I.L &. WRIttHT, tlnrebandi» 4'ommlsHtoniiaLrcM 04 Une Decatrur. Nouvelle-Orlenu». 05 RIZ. 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