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jftfttittitti tie SkHiodau* Journal du 8 tne District SeOatori»* Publiée toilM 1rs Salué»*'' ■ F. SANC.YN, PrOprièt^r-Gêrant ßruK.u : Encoignure V***"' 1 * « I'atiiot. AI!UN^ ,l ' :> ' r ' 0» $3 0» J5 $r 50 ;»o ia,i,-s. 10 -.. semai imprimes (tills Myjdus liivt delai ,*t aux | Bu A 11 —(Pavane*........... ... Un Numéro .................. AWOM KS, Par de lu lignes -1ère insert o '■ •" •• dine *' e " " " Insert, add Zimtes les annul jes indiquant la profession et qui n'excédera pas huit ilignes par ail -d'avance. 10 00 ! Annonces de Candidats - d'avance 10 00 ff-sJ~Tonte annonce pie liée par interval les sera payée au taux d'une piastre par carré. .£ a 9"Tontcannonce dont le nomine d'in sertions n'est pas spécilïé. sera insérée iraqil'à 11 mvel ordre, ail taux ordinaire. ATKI.IKK TtrimiiltAPIIIOI'i:, Kiitahv Joh Press. Ayant, tout b* materiel nécessaire. 11011 - soinuies a .néme de mettre a exécution .,ms les om rages typographiques qui nous , seront coudés. Le< brefs d'avocat, cartes d'affaires, entöle« de factures, tickets d lia liitatiou. Idaiies, circulaires, etc., seront prix les plus modérés. téÿ*" Tous le« .Ions devront être pavé aussitôt la livraison du travail commande FEUILLETON Histoire Amoureuse DK DEUX COUPS DE COUTEAUX Suite. , On b'p sait pas encore, il est bien deiiietiré six ou sept minii'e« sou« l'eim, mais ou a vu des noyés revenir i de si loin ! Malheureusement nous j n'avons pas de médecin. —.Mai«, j'y songe ! J'en ai un, moi j dans 111a maison. -Gros Pierre, cours [ au paviilon et latnène mon ami lin ! gués Brynn, dis lui pourquoi. j Kn attendant 011 avait déshabillé | 1 enfant, ou le trottait avec di*« sac« à farine qu'on avait eliautfés dans le four du moulin. C'est égal, pafKa Bordier, fit Vin cent qui allumait déjà son insépara ble pipe, vous aviez raison. Ce mal lienreux garçon a été entraîné, lié. roulé en quelques secondes, je émis ces maudites herbes douées d'une intelligence maudite. Sans votre enr < 1 « je 11 Vu serais ) as revenu llyadortn beaucoup de roseaux ? — Plusieurs pieds de profondeur ! | et dans fontes les directions. I.esi lu-rbes se croise ut et s'enchevêtrent., i C'est 1111 vrai danger. B you venait d'arriver ; et vovaul j Vincent trempé d'eau, il accourut à j lui. i — I n t'es jeté a l'eau, imprudent ! ! lui dit il. je te reconnais bien la ! - Bah ! lit Vincent, ce n'est pas si périlleux qu'on le dif\ lorsqu'on tient la corde du père Bordier Hugues ciiuuuença a donner des soins h l'enfant avec nue science et une activité extraordinaires 'll von lut le frotter lui même, lui (le l'air. Tout parut inutile Les g,, ,t ,tcs de sueur ruisselaient déjà de son f out. —Laissez, I I VOll I • i. f H J , —Laissez, dit, enfin b* meunier, vons voyez bien que c'est inutile ! Inutile / vous croyez .donc qu'ii ! sort. ï .le vous dis „„si .... !... '■ raitêtre mort. Quelques minutes il'im morsion... Il y a des cas où des hum nies sont, demeurés une heurs sons ,l'eau, qui sont revenus a la vie. Je neveux pas qu'il meine , entendez vous, Bordier, et il ne moura pa«. Alors il recommençait, avec une éuergie terrible de nouvelles tenta tives, les frictions et le, reste. Les pay Sms l'admiraient. -sAllons, pensait Vincenten le re gardant faire, la bonté lui revient, il est guéri. Je savais bien que je letiie rai« de là. Enfin 1 enfant poussa comme un Ic . ger so ipir. Il y avait environ trois quarts d'heure qim Bryon le travail lait. t'e soupir se confondit, avec le cri do joie que poussa son infatigable médecin. —'Il respire, fit-il, il est sauvé. On .peut me remplacera présent, car je n'en puis plps. • Chacun le félicitait La mère de l'enfant pleurait en lui embrassant les mains. t —Sans vous, lui dit-elle, jene l'an rais plus. —Sans moi î lui répondit il avec Une sorte do regard effaré! C'est a Vincent qù'il faut rendre grâces.Voit« b avez pas à me remercier, Madame. Il lut arracha 9 es mains avec nu geste brusque. Puis, comme s'il crai .gnait que ces démonstrations ne se renouvelassent, il sortit du moulin et rentra au pavillioti. L'enfant fut bientôt sur pied. —Père Bordier, dit Vincent,voyons donc un peu comment l'accident est arrivé. —Alorgiiienne ! c'est bien simple! il se sera penché, il aura gli-sé, et voila ! En parlant ainsi ils étaient reve nus sur la passerelle. —Ce n'est pas si simple que vous dites, père Bordier ; il u'a pas glissé, c'est la rampe du la passerelle 'qui à cédé en partie..; la barre d'appui s'est brisée parc^ que le pi«|iiet ,| e «a pin qui lui sert.'de base était, pourri et qu'ily«t tombé —'foinlié ! Il était, encore à sa place hier soir. Pourri .'Je l'ai rem placé il y a un an à peine. —Ah .' voilà. J»* n eu sais pa.« plus long. Mais, c'est qu'il faut savoir. Monsieur Vincent, et tout de suite, parce qu il y aura sans doute une .enquête à cause de l'accident. Je suis F0 posnabie de cette passerelle. Iis examinèrent le pont et sa ram pe. . —Vous avez raison, père Bordier .„dit Vincent, votre montant en bois (»v-tehtDpj 1 ! n'ètaif. potpourri, il s'est je —Mais il était re teint par des cram pons ? -7-KI1 liifii ' les Mè.iBpomè 11* y sont plus. —C'est. qii'alon-: on Ivm a ôtés par malveillance. —.Qui peut vous en vonl ur ? —,Kst, ce qu'on sait jamais ? Des «léluleurs dont je 11 et veux plus mou dre le l»lé. mécliauceté île- liomuies ? -C'était solide, je vous l'alla me. j<* lie plaisante pas avec la vie des gens, —et l'accident de mon limmue de peine est toujours devant mes yeux. -Voulez-vous un conseil, père Bordier ? Taisez vous, ce n'est pas moi qui parlerai. Il n'y aura pas eu de crampons, et le liais aura élé ver moulu. On vous dira de renouveler plus solides rampe et crampons, et tout sera fini. Mais si vous entrez dans cette voie d'accuser quelqu'un, l'en quête judiciaire vous mènera si loin que nous m* savez pas où vous irez. —Vous avez raison. Monsieur Vin Ce Ut, nour ne dirons rien. -—Adieu, père Bordier, je vais channel de vêtement. Petit gredin, qui se imie sans dire gare, voiq'i mon pantalon du plus pur nankin passé an vert bouteille ..Que dua Violet te ? In* soir. Hugues annonça son dé liait pmir lendemain matin. Il pro m j t d'arranger le> chose auprès des | |i;ln . nts Vim-ent, se chargea de tout c(* qu'on voulut et promit de ré venir en octobre. - Nous clia«serons. lui dit Vin cent. Le père Bordier est un vieux ii clianl. Il a des terres et des ami« qui I ('S. |K*nll (MU \ « * t sont fermiers ; lièvres, p faisans, tout est 1 nous. Tu embrasse ■ a« ma mère, ujouta-t-il avec êmo tion ; j'ai tort, mais b* moyen ( l'a ban donner Violette toute seule ici ? File pèi irait d'ennui. Ainsi, c'est compris. Un examen ("il octobre, un travail pressé pour le conseil d'Ftat. une entorse, utilise i j j [ ! j ...... | 1,10,1 l M '"' | i j j ! ll'oll \ ienne pas me tout ; mais q die: cher ici. — ■sois tranquille. - Vincent.(lit Violette, tu devrais partir ; c'est mal de 11 e pas aller voir ta incre. Que pensera t on de moi r liez tes amis 1 —Certes oui, je voudrais partir, mais j-* ne pourrais alors revenir que dans trois mois — je ne pourrais trou ver de bous prétextes. Ht d'ailleurs pèie ne les accueillerait pas,fus sent-ils excellents. —Trois mois ! alors reste, Vincent, trois mois c'est trop long. Hugues Bryen s'en alla ainsi et tint .-a parole. Il persuada le bon notaire. Celui ci comprit, peut être ce dont il s'agis sait. Mais sachant, par expérience personnelle, la part qu'exige le feu. il voulut apparemment la faire large. Malgré les soins, malgré les inquié tudes maternelles, car quelle mère in* se lut point aperçue d'une scmbki ble préoccupai ion ? Hugues, loin de Violette, s'absorba dans une mélnlirn lie atone, dont lieu ne put le sortit «Ine lui même, et. les efforts qu'il lit pour y parvenir furent trop souvent inutiles, — (lest un garçon qui travaille trop. trop, disait sentencieusement la bourne du notaire Delattre. Mais tins si, voyez le bon exemple ! Mon fils était un vrai paresseux ; grâce à ce brave Hugues Bryon. lit voila (lève nu pioclieur ; la preuve c'est qu'il lit* peut revenir en vacances : il e-t le conseil d'Ktat. — Diable ib* conseil d'Etat ! répon doit, le notaire avec une moue plai sante ; en vérité, les conseillers d'E tat devraient bien attendre. I * ........... 1 1 t * 11 11 I lin J,, ' travail i »ressaut pour ! V U ''.I"leni'.s vacances, que les '■ etudiants en droit aient en les leurs. Les jeunes gens du pa v i lien Bor dier écrivaient souvent. Il y avait d'abord l'amitié, puis mille recoin mandat ions. On voulait etro tenu soigneuse ment au courant, parce que. disait Vincent, '-le père Delattre est plu« madré qu'on ne (Huit, croire et qii'nu voyage est vite faih et qu'un [mal heur est bientôt ai live." Violette n'envoyait que des protes tâtions d'amitié et de petits racontars villageois ipii eussent charmé, par leur naturel, un esprit moins prévu nu ; mai« ces récits, m» laissant que trop percer l'indifférence e» fait d'a mour, exaspéraient Bryon. Lu mois mour, exaspéraient Bryon. Lu mois apres son arrivée, la lièvre qui l'avait saisi m* le quitta pin«. Il commença à tousser, se plaignit (le jtniiils dans le côté qui b* faisaient souffrir et le privaient do sommeil. Il ei.t quelquefois b* dèli ere, et saniere apprit sinon son se cret réel, du moins qu'il aimait- d'un amour sans espoir. La pauvre femme garda cette iuvo 1"ntnirt* confession entre cuir et chair Elle se tut, quoi qu il lui en coûtât Un jour qu'il souffrait davantage cependant elle m* put s'empêcher «le lui dire en le regardant avec des yen.» pleins de larmes : --lu lie peu x donc l'épouser, mon entant, que tu te désespères ainsi ? 1 J ai parle, dit le jeune homme en se diessiint «ni* sou lit, les cheveux droits sur la tète d'épouvante ; «i j'ai parle, qu'est ce que j'ai dit ? -Bien, mon enfant, rien, j'ai coin pris a ton désordre ce dont il s'agis sait — IU me trompes, ma mère, je vois que j'ai parlé. Si tu ne me dis ce que,je n'ai pu cacher au plus pro loud de moi-meme, je m'imaginerai des choses alli ruses. Je te jure que je me tuerai tout J à l'heure L'idée que mon secret n'est plus à moi me rend fou. Il s était jeté a has de son lit et .malgré les efforts de sa mère qui le croyait en proie à quelque nouvel accès de fièvre chaude, il commen çait a s'habiller. --Calnic-toi. mon cher Hugues, di sait la pauvre femme, calme-toi, re mets-loi j». te jure que tu n'as rien dit. Je ne sais rien ! J'ai cru que tu étais amoureux, et que e'étais la cause de ton mal. —Tu vois .....pie j'ai parlé. Si je n'ai rien dit encore, je pourrais parler. J'aime mieux te quitter et m'en aller d'ici. J'aurais toujours la ., — i crainte que son nom ne n'échappe, j qu ou ne sache ce que je veux qu'on , ignore. Laisse-moi partir . /, .. i zl ( OHtnmer. Programme <le la Convention Dcüitoctate-Niilionnlc. Nous.délégués du parti démocrate des Flats l 11 i s assemblés en convent ion na tionale, déclarons que l'administration du gouvernement fédéral a le plus gland besoin il une réforme immédiate. Nous enjoignons aux candidats désignés par cet t e ci m vent ion et parle parti dans chaque Kiat de faire tous leurs cftorts pour amender la réforme si néeesaire ; lions in\lions nos enneitovelis de Imites les anciennes organisations a s" joindre a nous pour nous aider à remplir ce grand et present devoir patriotique. Au non delà démocratie de. tout le pays, nous proclamons de nouveau notre foi dans | ;t p.-nminriice de. l'Union fédérale ; not re dévouement il la Consti tution des Etat-Unis et à ses amende ments acceptés partout connue till regle meut délinitildes ditfércnds qui ont en gendré notre guerre ci v i le. Nous procla mons une ciinfumee inébranlable dans la du sclf-gou \ eminent repuldi pt-rpcliiiD eaiu. Dans une obéissance absolue au vu -1 du lu majorité principe vital de la république : dans la su] réiuatic de I au toi itv ci v ilc mu I a 11 toi il é mill ia ire : (laits ia séparation entière de l'Eglise el de I Etat dans l'intérêt delà liberté civi II* et (le la libel té religieuse ; dans l'éga lité (le t, sis les citoyens devant des lois just da.il s'nôusM.y .»lis lespins iiohes'lDiït (l('(t*MÎ .itllUM'Sfl I! in* il ist 1 >i ri* :ii ii il.-n î ber.é i n d i vTd u o M ,* q ne' m ■' "»loi \-e m** ob 1 ! - r eu l ien des lois snmpllia 1 res; dans la vei ' .................. . •l" ulu ' ss "' M'"' celle-ci puis.-'* conserver et «mnsmettre ees conditions d*- bonheur a ses descen-! de cent années d nue histoire accidentée Mai« tout en resserrant les liens de son Union et eu défendant la grande charte de ses droits un p* uplç libre est tenu de se 1 appeler (pi'illie vigilance étemelle est. la sail regarde 'b* la liberté. La refoi i.,o es. indispensable pour faire renaître dans les ('(Cars îles citoyens l'amour de l'union ; pour nous mettre a l'abri du danger d'une cent rali -at ion corrompue (pii. apres avoir iulligé a dix Flats la ar p; cité et la tyrannie des carpet-baggers, a élé nue cause de gaspillage ef de «Validé parmi I'*s ollu-ins incapables <lu ipnivn Dement i et le rai lui-même ; qui a en^en* «lié «les a* l min ist rat i< ms em rompues < lu lis les K fat s et finis les niunieipa 1 1 es et a paialys«* 1 imlu-trie La réforme est né eessaii e pou r et u I>1 i r n n<' moi t nu ie q il i me r te la eontiaiiee et ramener le eréilit : et poni inaintenii riiomienr national. Nous deuoiieons l ins u-t«pii durant ou/.e ait', u'a pas permis « i • • faire bon n,-u. a la proue sse inscrite sur l.-s billets ega, tender- dont .-a v aleur change dans les mains du p uple. et qui, u ayaiif pas fl»- r.uiiftus. restent comme une preuve que l'engagement p: is au nom de la nu tion acte v iole. N Oils deuol'yous I ' i lu pré voyance qui. en onze ans (b* paix, a arra che a i peuple, sous la forme de ta\, s fé dérales, treize lois le montant des billets legal tender- et guspi i lé q un t : r fois cet te soumit* en dépenses inuti es, sans accu mule!' une re-erve quelconque destinée au paiements de ces obligations. Nuns dénonçons rimhéeililé linanrièn* et f umio alité du parti qui. eu onze ans de paix, n'a pas fait un pas vers le ra chat, tpi il a. au co. »train*, empêché en gaspilla .t nos r<*« ourc'S, »-u épuisant f<> 't le surpli s de ilot e revenu ; qui, loi" eu .muoneaiit. cliatpie année, son "lientnui de i ; i .i» tulle les paiements en ; • ulliive', p.irmi lesquelles nous ri tenuis la elau-ede laebat de la loi de i-?ô »•a»»- ' »im* nous dénonçons ,-t dont ! lions.leuuimioiis »«■ ".pi'cl; "ons exigeons i an s.vstem*' .l'idien ux d aehemin,-nient ! I' :n 1 "' ceo ou.irs publique«, par des re- : rramdiem,mis. "lie else) an.-sage politi j .que .mau.- aere qui mettent la m" ion a ' especes, v a mis, .pie aune,* de non- ; volle« entrave«, farmi les,molles n......à 1 . , ■ . . . . . , iî;;u inr n ji tout b* ni*»n«!t'q»i t-l Hecst narlaitemcnt capable et parfaite-.„lent ' I es « s Iiromes-es ' le est parfaitement meut prête a T nir to .iess s jiromes-es | SMr lil ........... ....... créanciers qui ont | droit au remboursement Nous e oyons ipi t.n tel système bien conçu et surtout rcmi« à des mains com pét êtes pour être exécuté, sa; s créer à aucun moulent nue rareté artilii-i- lle de papier-monnaie, sun« jamais al u-mer l es prit publie par nu retrait de ce vaste ins trament decrédit, (pii sert aux transae t ion« de Pô pour cent de nos affaires; nous croyons qu un système franc, publie, et ipii in-pin* la i-onliaiice générale, produi rait. dè« le jour où il serait adopté, un soulagement immédiat a toutes Us bran ches de notre industrie épni-ée. et re mettrait en marche I s rouages du com me ec-ib-s ma nul.-.et m'es et des arts tnéca piques, rendrait du travail aux ouvriers, et renouvelle)ait, dans toute sa sourc, M national**, la pro-périté du peuple. La ré tonne est nec* s-air** dans le montant et dans la pereepl ion lies taxes fédérales pour allia ebir le capital de tonte pani que. « t alleg r le fardeau (|«ii pèse sur le travail. Nous dénonçons le tarif actuel U vé sur ]ires(le de looil articles connue un cltef (1 (l'iivre d'injustice, d'innégalifé et de faussetés; il donne nu revenu diminuant et non augmentant chaque année ; il a appauvri nombre d industries pour en «ubventioner (piclqm s unes; il pidhiliit.e l impoi tat ion (pii pourrait acheter les produitsdu travail américain ; if a fait descendre Le emittieret- américain du tue m fr rang à un rang inféré ur sur les mers : il a écourté les ventes de fabri que« américaines à l'intérieu*: et à l'é tranger ainsi que. les résultats de Uindns trie agricole américaine suivie par la moitié de notre population ;il couteau | duetion et ruine b s fruits du travail ; il encourage la con cii'P*. favorise la fraude et trebande ; il enrichit dus otlicicrs inliilt* b*s et cause la l»u .ipii routc d iiouuctes négociuiits Nous demundmis que les droits de dntiam* soient imposés seule ment, pour lu revenu. La réforme est nécessaire dans l'échel le de« dépenses publiques, fédérales, d'E tat ci municipales; la taxe fédérale s'est élevée de lia.000. (Mill en or en l'Iiil à $4511 0011 , 0(10 eu circulation de papieren l«70; notre taxe général*! de $ 154.000 (lot) en IHlo à $730.000.000 en circulation de pa pier en 1*70 ou eu une décade, de moins de cinq dollars par têtu à plus dé 18 (lui lars par tête. D puis lu paix le pi qplo a payé aux col lecteurs de taxes plus de trois ibis la dot te natioliMe et pin« de deux fois cette somme pour le gouvernement fédéral seul. Non«demandons une rigoureuse éeo munie dans chaque département et de la part de tout officier du goitverneinent.La réforme est nécessaire pour mettre un ter nie aux concession extrav:igent<*s de ter res publiques qui en ont privé les vrais colons, par b* parti au pouvoir qui a gus pillé v!IH! millions d'acres pour les che mins de fer seuls et qui sur un total de plus de troi« foi« cette somme a disposé de moins d'un sixième directement pour les laboureurs du sol. Lareforme est née s«aire pour corriger les omis-ions du Congrès républicain et les erreurs de nos truités et de notre di plumât e qu* ont piivé nos concitoyens d'origine étrangère de la protection de ht citoyenneté américain*' et ont inos frères dit Pacifique aux b corsions (l'une race ne venant pu« de la même grau ,|„ sonehc, ut a laquellu est. refusée la ei expose j trsions i «* "** ai» I toyenneté pa 1 ni la naturalisation, comme n'étant ni accoutumée aux traditions d'une civilisation piogTessive ni exercée à la liberté sous des lois d égalité Nous d ennuyons la politique quiéear te aussi b s Allemands, amis de la lierbté, et autorise le renouvellement du coninier ce coolie pour les femmes mongolienne« importées pour un but immoral et les mongoliens loués pour exécuter un tra vail servile. Nous demandons des modifient ions an traité avec l'empire chinois ou une légis lation par le Congrès, dans I-s limites constitutionnelles, qui empêchent, l itu portation ultérieure ou l'immigration de la rac* mongolienne. La reforme e-t nécessaire et ne pourra jamais être effectuée qu eu faisant de cet te question la question prépondérante des élections et en la mettant au-dessus de-deux fausses (pies 1 ions avec b-sqiiel le-' la plupart des innefinunnii es et le par t i < 111 i estai! pouvoir cherchent ;\ l'étouf fer ; fausses questions avec b .«quelles iis rendraient plus ardent l'esprit, de secte dans les écoles publiques dont l étilblisse ment et l'entretien appartiennent exclu sivement aux divers Flats, et que le par t i démocrate d chérie« depuis leur fonda t ion est qu'il est résolu mai lit en ir sans partialité ni préférence pour toute élus se. secte ou croyance et sans faire eontri tmer le trésor à l'avantage d'aucune et la fausse question par laquelle ils cher client à rav iver le feu de la haine section nelle entre des populations alliées antre fois ef séparées contre nature, mais ré 11 nies m dnteiiant dans une république in 1 divisible et une commune destinée. La réforme est nécessaire dans le set vt i 'f*'' LVv Ki'ience prouve que i'„i, ne j Iivt . g, ],. S( „- vi ee civil est soumis à de« | changum-nts à chaque élections et s'il ici* ' ..„urte récompense du zèle de parti, an lieu d'offrir des postes d'htm near réservés a la rapacité éprouvée et conservés a ceux qui sont fidèles dans les emplois publics, et que la dispensation du patronnage ne devrait être ni une taxe prélevée sur le temps de Ions nos hommes publics, ni fins! ruinent de leur a'uliit ion. Ici encore des professions de foi que 1 événement a démentir prouvent (pu* le parti au pouvoir ne peut opér ne réforme pratique ou salutaire. La l'étonne est nécessaire meine encore les pïlls élevés du serv ice public. Le président, le vice-pré sident, le«' juges, les sénateurs, les repré sentants, les membres du Cabinet, ceux là et tous les antres dépositaires de l'au torité sont les serviteurs du neu pie. Leurs < niplois ne sont pas des postes avat"a g**ux et p* ivés, e'est un inendat publie. ,,l,Is'.(âns'b-s ran'-o - ^ ,| es Représ,*ntauts.faisa»t trafic du régie , IH , nt dans s,-s fonction« de o.-êsi.leot-^b. pouvoir ne peut opérer aucu ! (»»-•itioin* on «:i!ol-»iro truand les annales de cette République sont ternies parla censure d'un Vice-Pré sidcnf, d un cx-Orateiir de la Clianibre I{,. v ,*nu ; d'un sêc'réta'ire Ile ; mis en accusation j.tmr liants ! ,-hoiv p iblïc d'hoiiimes honnêtes dans i le« rangs d'un autre nnrti de peur p, ! ma'adie d une oigani ation pobtbiue ne : gagne ],* corps entier j Ft si nous „'opérons aucun elmum ' ment ,1 limnim s ou de part i. nous P' meut dans ses fonctions de président: de tMiis Sénateurs profitant secrètement de leurs votes coin m es législateurs : de cinq présidents îles principaux comités de la dernière Clianibre des Représentant.« coin promis dans de« tripotage«, d'un ex-.Sé créta" • du Ti ésor falsifiant le« comptes des deniers publies, d'un ex-avocaf-géné ral faisant un emploi i' fidèle d,, 1 argent de l'Etat, (l'un Secrétaire de la murine qui s'est enrichi, ou (pii a enrichi m*« amis en prélevant un tant pour cent sm les l»r.»lits des s.minis-'ioioo.îi-..-: les profits des soumissionnaires de son d. '.artcnici". d'un ambassadeur à r,< mires, censuré pour une spéculation véreuse, du secrétaire privé du Président (•(■happant à giandj». inc à une condamna t ion comme complice des fraudes «ur le la guerre ; pou .1, s malversations qu'il avoue; c'e-t 1 une démoust. atiou complete que la pre mière mesure à prendre doit être le ...... 11 'i"" »»*1 VU I I I i , IH'IIÎS pomums venir à bout rli.i!u*, dans les niesm-es ni d'au,une rétôr ' n u. | me | Tous ses abus, ees torts, ces crimes, ré s il « t ; 11 dt* c <*izo a ils «U* prêponilêra m-r du parti républicain, imposent la nécessité d'une réforme, nécessité avouée par les tépnblir-ains eux-mêmes. Mais leurs ré formateurs ont été fiat tus dans la con vention et éloignés du cabinet. La masse des honnête.« électeurs du parti est im puissante à résister à quatre-vingt mille touetionnaires.'a leurs chefs et à leur meneurs. La réforme ne peut être obtenue que l»ar une révolution civile pacifique.Nous exigeons un ch mgeinent de système, un changement (l'administration', un chan gement de partis, pour arriver à un elian gene-nt de mesures et d'hommes. Oosin opoltan Restaurant. Il, Lie/ U».../iVçi/o/ Streit, .V. O...LJ, 13wJ5 llnli-e fanal et Donaav LOLLS CHAPLAIN. Puociiiktaikk. .Ou t*ouve dans cet etablissement tout ce «pie la saison fournit de plus diéleat et toute espèce de » ins de eUoix ; tout ce (pi il faut pour soirées et mariages, etc. Il y a des salon« particuliers et îles chambres élégamment lue louer à la semaine et au mois. Les Planteurs et les habitant.«: de la cam pagne qui voudront honorer cet etablisse ment de leur patronage y trouveront des chambres et neu nourriture bonne et copi euse é $3. ili) par jour. £ ÿ"Les portes du restaurant restent ou Ifjju'tes jusqu'à minuit. 15 u. 73 FENïUOX FRANÇAISE, ia«.. 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