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H 1 Ti i JUUIJ JOURNAL DU 8 ME DISTRICT SENATORIAL ■9 PKIX DU NUMERO DIX CENTS. JOURNAL OFFICIEL DE LA PAROISSE DE LAFOURCHE ET DE LA VILLE DE THIBODAUX. ABONNEMENT:—$3.00 PAR AN VOL. XIII. THIBODAUX, L—, SAMEDI 10 NOVEMBRE 1877 N0 15 Informations] Locales, B BAYOU.—Les eaux du Bayou monteDt, et*!si elles montent en core, noosfaurons? prochainement la visite dès steamboats. ------ Nomination.— M r. S. T. DeMa «dé, a été nommé constable de la Gourde Justice de^ Paix dn Second Ward, par son Excellence j^jeaverneur Nicholls. ,, T TAXES de CORPORATiON.-Le Collecteur de laxes d^R* ]a ville de Thibodaux, à collecté pendant le mois d'octobre, la res pectable somme de.llSGq-OO, Ferries.—N ous appelons l'at tention du public sur la vente du fermage des quatre ferries (le la paroisse. Cette vente aura lien, devant la maison de Cour, à Th il» odanx, le samedi 1er jour de dé*» cembre, 1877. DECES. — Cyprien Dufour, na tif de Frauce, exerçant depuis nae vingtaine d'années dans celte paroisse, la profession d'institu teur, est décédé après «pielques heures de maladie, Ses restes ont été ensevelis daus le cimeiièie de l'église St. Joseph. Ariel Plantation.—O u nous ^ ___________________ infômeqûesur l'habiVation Arid. propriété de Mme Ewing, dont la - ^ X,T èulture est confiée à Mr. F. W {Seymour, des souches ordinaires ou rendu un boucaut et quart i'ar pent. Que peut-on deuiundei de îuieux pour la saisou ? Construction. — La Compa gnie des Pompiers Thibodaux So. 1, et la Compagnie des Echelles Home Hook de Ladder Xo. 1, preueut des mesures pour con struire à l'encoiguure des rues Green et Thibodaux, un édifier* à deox ou trois éta-s qui sera suris contredit, ie plus bei «iruc ment de la ville «le Thibodaux. floutah ! [R)ttr les lNynpiers. Ecoles publiques. — La pa roisse posseue acctuelm.nent nugt-sept écoles publiques, lre^^ queutées par euvirou mille éco liera ot desservies liar trenb.^uu rrgauisées çbe à la satisfaction du bureau des écoles, qui de son côté, no i\é glige rien pour faire prospérer • -• * ■ - -------- .cette institution, la plus impor taote et la plus utile. Pompiers. — En attendant qn'une loi vienne imposer à tous les commerçauts et trafiquants de cette ville, l'obligation de fer mer leurs étaplissements le saint jour du dimauclie, la compagnie des pompiers Thibodaux S°- 1> aura sa manœuvre mensuelle de main matin à l'heure habituelle, et tous les membres de cette com pagnie do létérans se feront un devoir, siuou uu plaisir, d'y l )ar ~ ticiper. Petition— O n fait signer dans la paroisse, uue petition pour de mander au Jury de Police, qu'il adopte uue ordonnance pour faire fermer tous les établissements Commerciaux le dimanche, pria cipalemeut ceux où l'ou débite dés liqueurs spiritueuses. Cette pétition, comme toutes les péti tions qu'ou a déjà fait circuler et qu'on iera eucore circuler, se cou ▼te de Biguatures ; on ne refuse jamais nn service de cette nature, mms '«MÎgorei 'Ta^sigimlnre d'uu mnd nombre (le ne. S(iiines oui - 'T... 0 . 1 , , U.'. L, 1 «i, Li i>étuion. e *V . si que va le mande . ' ( '- 1 - ïe SSi :: 'trom 'ndnv zc ^ " 1 • 1« tetraugemeut. j •-- j Roulaison.__ Les travaux de ïoolaison ne marchent pas encore selon le désir üe la majorité des habitauts. Non-seulement le lens dement est médioçre, mais la fa : brication du sucre est difficile et défectueuse. Ou ne voit pas coin me les aunées précédentes, les et les sucriers exhiber planteurs les énltati 1^8 échantillons de leu« produit. Cependant tout espoir n'est pas encore abandonné, car depuis Quelques jours, quoique les rap I»rt8 à ce sujet soient con tradic loirs, les phiuteurs qui viennent je commencer trouvent une au,ré Boration assez sensible dans le »ndement. Quoiqu'il eu soit, nous z°v M rrx T ,ris Ore, d'ici à la fin du mois, cer tains planteurs se vanter que feors cannes out donné deux ou $rois boucauts â l'arpent. Houvcilc>i Uiver^o. Wm M, liurwell â été nommé 1Sl,rweM â eto «ommé eurt? fï>srienr des terres, â la Non- j velle ~Grleaus. — Le 29 de ce mois est le jour d'action s de graces fixé par le Président Hayes, _ La paroisse de St. Tammanv doit payer toutes ses dettes cette anlK^tlm \Ztev 'un^lus de $'>090 1 —L'assessemeut des nropriétés la Louisiane, pour l'année 1H77 est tie quelques millions plus élevé que celui pour l'auuée pre cèdente. —Le bill de l'honorable Ran dall L. Gibson, pour la réparation des levées du Mississippi à été lu deux fois et l'impression en a été ot donnée. — Le grand Jury de la paroisse Union a formulé cinq chefs d'ac-! Timble cusation coutre le Juge a propos de détournement de fonds des Ecoles publiques. —Le fils du trop célèbre Tom Anderson à eu le malheur de tomber de Cheval ; il s'est tra cassé Ja clavicule et a reçu plu stems contusions, _La paroisse >3t. Mrtrie pos-j sède une compagnie d'Assur -.nice Mutuelle, et celle compagnie est destinée a devenir très solide, si 1( ' s habitants prennent des polices d'assurance. T e r'rimîiwil ilo 11 »»•> r,,i7i rS?Coàn& il t.K v. ' limiimuix ; il y « ,, w quiuzahi« » I. ^ rt »» de prisonniers dans moins vingt trois accusés sont sous bons. «lui —Dans la paroisse St., Landry la loi dn dimanche est en pleine vigueur depuis le 4 de ce mois seulement. Un compte beaucoup sur cette loi toute aussi anti dé mocratique <jue répuplicaine. -Le cafetiers ont tous été pin cés a Latayette pour avoir vendu ^ prairies sont devenues de véri table lacs. Les poirUs sur les ba vous devenus des rivières sont \ Mi ; i)0r ,' és et les dégâts occasion ués s<)Ut j, 1C aleulaU!?s. Les plan tenus sont découragés. —Le Jury de Police de notre suivante ''B «St résolu, que fous les bar rooim et autres lieux d'afiairsoû des liqueurs spiritueuses sont sou chemin, et, si uos Solonscon vendues sont ordonnés «le fermer, daus cette paroisse, tous les di manches, à partir et après le se cond dimanche de novembre , et il est de plus résolu, que tous les magasins ou boutiques où il se fait des affaires et du trafic sont ordonnés de tenir fermé tous les. dimanches; excepté les pharma cies, qui peuvent tenir ouvert pour la vente des médicaments et les proscription des médeeius, aussi les bouchers et les. boulan gers." Uue autre résolution, égale ment adoptée, itqpose une amen de de 50,00,—dont la moitié res viendrait au dénonciateur,—pour toute infraction à cette ordon nance. On le voit, le puritanisme fait titillent dans cette voie, au plu tôt si l'on ne met un trent à leur 7ple rions n'anrnns nlns rien à zen , nous n «tuions purs rien a env.er à la Nouvelle Angleterre. Lu loi .lu Main., sura lue., lot mist on vigueur »vre ses mesures tiro lubltives et vexatunes. —Le Louisiami-i de St Jacques, i! Ti "*• ,,e laiu»tlm.,delulii,erté ; ,le In commuiiaufc Louisiaiiaise et de la ,, a trie Américaiue est entré dans aa q Q: itorziéDieaniiée.Gomineledit so „ éditeur le Louisianais n'a P oi,lt f l > . ro S ram f m . e a re(li - Ter et sa profession de foi est trop coin me pour qu'il loi faille l'affirmer de nouveau. Le temps ajoutât il modifie peut-être, vous donne certainement la sagesse et l'expé rienee, vous révèle sans doute une politique plus modérée, une philosophie plus liante et une jus. ti.ee moins sévère aux hommes ; mais le temps fait de la fidélité aux principes une conscience su-j prômeet une religion invariable, Eu d'autres termes, car il faut pas être trop grave, car il faut aussi répondre aux intolé rants sans vertu et aux tenipé rant s du totalis me et de l'hiypo crisie, si l'âge et la raison "om*. conseille de mettre un peu d'eau dans notre vm, croyez cependant que nous ne sacrifierons jamais t.™ t u 'rt-'u'r t ülr dépendance, le mu du dix neu vièin»- siècle, â l'eau des faibles ses, des détailla nces et des men-; songes. Grande Nouvelle. — Dau j Rice vient ; il sera dans nos murs avec sou cirque le 2U du présent avec s mois ! Marche. — Le Marché est ter miné et reçu par les autorités municipales, sur le certificat de rarfthitecte ^intendant des tra ' : l " 5'. : , Ce „ q 'î!. " ®Vm Vêtit ! a ® riti g" e Y« toujours train. Parmi les cntiq ait qui le trouvent trop petit, d'autres disent que les bouchers ne veulent pas y déménager et ' train. Parmi les critiqueurs il en 1 que les marchands de légumes m'unir, uiaii> un nrtiu uitu nnv, nt 1 cri tir, lie est aisée et fut ■difficile i Ulliqilt, est dlbee et ldiü,(limui(. , vont s'enrhumer s'ils vont vendre les produits de leur culture sous ses - ;lk ' ,ies ' Q ,,e foulez-vous, on ue l ,e,,t l ,as cont,,,,r ^ tout e | M . (1( . Cl.erv^ÏÏle^aconte l'his. toire que voici dans le Sport : Un membre de l'institut, fort distrait, lisait les journaux dans un salon du Casino • tout en s'ab sorbant dans son Premier-Paris sa main gauche poussait machi> nalemeiit un tas de feuilles qui jonchaient la table, reliées à ces morceaux de bois qui ont été in ventés pour les sauvegarder de ' la concupiscence (le quelques amateurs trop forcenés de papier.-j II poussa si iiieuAqu'il amena Feu crier au bord de la table et qu'un i : dernier coup, aussi incoiieieirt j que les premiers tic choir l'uten-1 sile sur un pantalon blanc éblouis- J saut qui lisait les journaux .en ! f'«* 4« l'»ca.lé.i.ia«i <r qu'il ,u, i J*"'" «»» »«"t»- ! ' M'ÄSÄ Ä" ! parisien qui habitait ce pautalon ; ; le oreinier s'excuse de son mieux, i 1 mais l'expression de t»es regrets j ysi accueillie avecuite hauteur fri i s;trt l'impertinence, et le ban- ! quîer se récriait de plus belle sur j son pantalon absolument^ perdu. " * -Mais, monsieur, je heMeman- i de pas mieux que devons paver, ! -, -»v \ j ,v i ,ril •''••vanr,, veuillez ...» «Ion-1 Î'V 1 ' taï "*' J e,,UîJli,ï a VOtr,! ! "-^»«unent, à «foi, hôtel, je ne vous connais [>as ; c'est immédin- 1 ' ' , nt ,,., .*Ti.Ti îlT.-/TiiTTwiYior I f ' lK 1 ous all« ^ rut, il,mm i : : T 9«« ve vèieruc.ui ! 111 a , . . , I —^ou. monsieur, les voici, re | pliqua i'ac ulèinicicn, maintenant ! vous êtes payé, et vous aurez j'es : Wä:; j j'entends que vous me Je n'ai pas de raison d'avoir en «loue, imtuédiaUMHeilt «•»« <)»•• " vous plus de confiance que vous ne m'en avez témoigné tout à l'heure. Le banquier se regarda , mais la galerie trouvait trop bien son compte dans cette exigance pour ne pas l'appuyer : il fut réduit à solliciter un su ici s de son adver saire, envoya chercher uu antre inexprimable â son hôtel,en char gea dans un cabinet et déposa humblement l'objet avarié entre les mains de sou nouveau proprié taire. Un Ivrogne naturelle ment aimable. Les égards obséquieux de Din dard, â l'audience, envers le gar dieu de la paix qu'il a si maltrai té dans la rue, ont évidemment pour but de conquérir l'mdu 1 geuce «lu tribunal. Mais enfin, ou l,e l )tJ||,r P as blâmer Djiulard de j meUre (le p e;Ul sou vill r c / est si , e ilH bien atte [ u | u) 1 1 , - ^ WeB « ^ Mllt ca üe , « fera g mal . .. 1>assl ,' 5 rg „nt «le ville, «lit-il, en s'effaçant res Z'~ÏÂ^ ; yuusje vous uu pris ; - nui. vrai. je n'en tenu lien.'' Mais, comme Dindard doit s'asseoir au banc «les préveuus, et que l'agent doit : rester à la barre des témoins, üin i ^ l'»*f »« I^ av " c ,uilie excuse, et prend possession de la place qui lui est assignée. L'agent.—Monsieur était en ri botte ; ii m'a dit : "Vous me sciez le dos,'' (l'eue façon inconvenante. Le prévenu. — Oh ! incouve »ante, ça m'étonne. (Rires.) M. le [»résident.—Ah! vous lui avez dit poliment qu'il vous sciait le dos? ^ Le prévenu—Etant aimable de ma nature--- M. le président.— Alfons, taisez vous donc ! j —(A l'agent): Le prévenu vous a maltraité? L'agent.—Il m'a bousculé et passé la jambe. M le Résident au prévenu.— y ous êtes marié f i . r-Soritimam«.»» • i Jr , p t ' 1 buit-z entants.* M. le president. Et vous vous j mettez eu état ri tvjesse ? Le prévenu, au comble de la ...... 'll.,:.; ____ .j: I surprise. Mais... c'était un di- ; manche; ça doit mou ; ïom'me un che- 1 val : uiais. tous les dimanches, ie I être sur procès-verbal. M. le président. — Eh bien, quand ce serait un dimanche f Le prévenu. — Oh L mou prési dent, vous comprenez que le di manche, n'est-ce pas... / En ae i, , . , ! es «ouséquences. \ uns insultez val : mais, tous les dimanches, ie , . 7 7 . , 7 J \ P^oe won jeune homme, comme OU (Ut. | M. le président.'—Vous voyez les agents, et vous voilà en po les agents, et vous voilà en po lice correctionnelle. Le prévenu.—V'ià ce que c'est, vous allez savoir... [Il fouille dans un vieux portefeuille gias.) M. le président.—Reconnaissez . ' n . . . • VOUS avo11 ' OI,tra » e 1 «««"t et 1,11 ! aV()ii , J)ass< . hl / j ....... i .__ . _ t .....__ ^ Prévenu [fouillant toujours), j , . , -Oui, c'est vrai.. qu'est-ce que 1 ■' tMl . a * tk)I,<! lait.,.? G est pour avoU ' 1 homu ' lu ' <le v,,,ls l ,r,ür &li ' voir la bouté... drogue de pu pier...! de jeter un œil sympa thique.. ous-ee que je l'ai foui ré? M. le président.— (Qu'est <'é que vous cherchez, ? Le prévenu.—zM<m papier... je l'ai encore vu hier. M. le président—Quel papier? prévenu. — Ch papier... pu ma Ail ! clé . e ;' <ni ' s , le/ ' \ oir '* • * .,*V' ■ t;1 T '. llcv ' l ,aiie fi 11 " J al tdl 11 * 11 « a 'cc. .. Vs / eSt C ° q " ü . ,1,. P _ L -ertifleat du 1 e . J 1, L ceititidt du vm - s '-" e »«« U», i-omiü*qiT"étai, de i j J | , _ . se j 1 la l , j ,orte a % J ,lls - de boisson. M. le président. — Le tribunal , Le prévenu. Je remercie le tri .i ,aa , < e sou ailna > ^ confiance, 'T 1 ,. 1 com,,,e ces f a ^ ,vé; 11,1 P ar ^ lcll iei ra 11 Lissait des tomates aV( ' c ses u,llin8 *1« »« bii appar t « , 1 ,a,eut l» as * VH «!»e j'avais nous u*. *<ni» i :i or«» i»;i< fun* eXl,re8 ' M. le président.- Tout cela est inniiie ; vous avouez. Le pieveiiu. Gc>i [Kiiii 'dus dire: je dis donc au particulier; w (m ., tuv _ )si c , int , llwt£iv<lt 'Ces tomates-lâ sont pus à vous." Alors il me dit: Que que ça te ; fait à toi, pochard ? Je lui réci- j tived'un autre mot, dont il me I répond des expressions téné- ' . .. Äü v'ai'xVrr i geilt Oe ville rpil veut me mettre I .'llmVÔW vëü.rje'iû ÿ-'»ë ! l>assé la jamhe, ; M. le president—Eh bien, VOUS ' avez eu tort. | , I Le prévenu.—Je fais mes ex cases hoi.orables à men sieur et demande l'indulgence pour mes ! huit-z-ellfants et mon élionse, : T .. , , ' , , Le tribunal condamne Diudard : à IG francs d'amende. j Dindard (quittant sa place.)— ; Apiès vous, mou sergent de ville je vous en prie. AVIS, ETAT DE LA LOUISIANE. PAROISSE DE LAFOURCHE OACHKZ, que le Samedi 1er jour de dd O cembre, 1877, je vendrai à l'ewhcre pu hlique. devant, la Maison de Cour daus la ville (le Thibodaux, a midi, au dernier et plus haut enchérisseur le Fermage des Ferries publics de la paroisse Lafourche, savoir : 3o I,o<-kport* 4o EEarang, pour le terme d'une année, du 1er janvier 1878 un ler.jur.vier 1879. La pris de posses siou n'aura pus lieu avant le premier ,jan vier 1878, afin de donner aux acquéreurs le letups de construire leurs chalands ot do faire tous les arrangements nécessaires. lo Saint .Bohn, 2o ■lurclaml, ('«niiilions : la parois-_ ----------------- ------------ - hypotheque»*, valaut h; double (lu montant de l'adjudication. Uu quart comptant.en monnaie courante (les Etat« Unis, le jour de la vente, et la balance de l'adjudication sera représenté par trois billets a ordre d'un égal montant, ducs et payables respectivement b; 1er Avril 1878, le 1er.Juillet 1878 et le 1er Oc tobre 1978. Ces billets devront être signés par les acquereur et par uue bonne et sol-j ruble sécurité, liviuclle doit posséder dans la paroisse Lafourche des immeubles non Tout acquereur négligeant de payer à leur maturité les termes decrédit, repré «entés par les billets, aura par ce seul lait forfait son bail, lequel sera de nouveau veu du, cinq jours après, au plus haut enchéris seur et à scs frais. J. M HOWELL, Président du Jury de Police Paroisse I.a fourche. oct.27,1877. S*cr«lu ! Perdu on égaré, un certain billet bvpothé Caire de lasnnime de Sltsi.tilij. souscrit le 16 nuOt IS'ô, par Emilien Gisclard. payable à son ordre ot endossé par lui. b tî4 mois après date, avec 8 OjO d'intérêt depuis date jusqu'5 parfait paiement. Signé et paraiibé •'.\V Varietur'' nar Auguste Critini. Notaire public. Le public est prié do ne pas négocier te dit billet, le paiement en ayant été arrêté. oct27-'77-lin. ,1. S. MAU BOULET. Une Colonie feodale en Ame rique —L'ACADtE, 1701-1710— par .n. SMvi b:ai; SOMMAIRE : Fn'rfxluctum — Chap. I. Les Poutrinrov tVA finny. nap. - cW. , HÎOîMtf*!.— II. lia zi 11 y et 1GRJ-1670.— ///. La Seiynenrie de Port-H oyat. Les Acadiens , 1670-ifvSO.— IV. A oit relies seigneuries. Les capitaineries sau rages, 1680-1700.— V. Trama x et progression des Acadiens .— VF. Le meunier Thibodeau et la seigneurie tie Chi /s ai g. françaises et colonies anglaises .— VIII. h 4 ™ ls,on anglaise et conquête, 17ü*L-i7i3.— *'*,;• ?!C toyne. Ou trouvi VII. Colonies K/n Blanchard. Boudrot, Boug, lioiirgcms, Broussard, Comuicaux, Daigle. De La uroiissaro, coiuuieaux, inugie. ite l.a Ronde. Dugas, Dupuis, Enaud pie Népêsi guyI,Gaudet, (laut reaux,, Hébert, Labauve Lanaui, Landry, Latour. Leblanc, Mélan you, Naquin, Poirier, I.oliiobaut, Saint-Mar tin. Savoie, Terrieau, Tliibodeau. Vigneau Prix, Sl.0'1. S'adresser au bureaux du Meschucébé, ou a ceux de la Sentinelle do Tbibodaux. luov.3-'77 e*dans la Colonie féodale l'ori inc des familles créoles louisiamtiscs Al i, Arseuaud. Aucoin. Babin. Bernard, AVBi! AUX éURTEUIÎS DE WARRANTS DE PAROISSE. Il y a assez de monnaie de la caisse de la paroisse pour payer les warrants émis en 1877, jusqu'au No. 486 inclusivement, et eeux émis en 1S69-JO 71-72 73-74, jusqu'au No. 2378 inclusivement (vieille série.) F. SANCAN. oct. 9, 1877. Trésorier de Paroisse. Extrait des minutes de la séance da Jury de Police, ten acte 1 er Octobre, 1877. Il est résolu que tous les warrants ou ré clamations contre la paroisse qui ne se raient pas présentés au trésorier pour être payés, daus les soixante jours qui suive,root i'avis qu'il y a des fonds si,tfisrn>s dans le Trésor pour les payer, seront enregistrés de nouveau, et l'argent destiné au paie ment des dits Warrants sera réparti par le dit Trésorier au paiement de ceux qui sui vent. d'après l'ordre de leur curegistre meut. Washington Hold* Depuis que Mme. Gainard a seule la di rection de l'Hotcl on est servi aussi bien que dans n'importe quel établissement de la Nouvelle-Orléatm. Voyageurs venez et vous serez satisfaits. [ljau,77.lan. Ptolsnrs, sucriers, attention!! Bisulflta de chain, de 1851 - - - BOMABEL - - - 1877 T E seul agent antiseptique, dele» Li«'iit«;iir et «le«.'olorïnia(eiir. par lait, pour leJiiM «le caanes. Il est employé par tous les planteurs qui désirent faire du sucre au gruiu ferme et peu démê lasse. Vingt-six ans d'un succès complet en prouvent ia supériorité. .l'ai à vendre cinq cents tonneaux de "pondrette," le grand engrais, tait d'excré ments humains, H. BONNABEL, Au No. 37 de la rue North l'eters, entre les rues Douane et Bienville. 9scp-2m.pp , j la nu* deChartm* au No. 1 II de la meme ' ' ...... " j I | ! RESTAURANT DES QUATRE SAISONS. fR. JOHN BOSIo. I'bOI'RIETAIRK du Ukst vchant des Qfathk-Saiso.nbI prévient ses amis de .a viils et de la cam , pagne, :ùnsi que le public en générale, qu i ! a tram,t'crc son restaurant du No. 15."» do rue, près de St-Louis. 11 profite de cette oe— ; casuin pour remercier le public et sollicite en même tenqis la continuation de son l.ien \ veillant patronage. Il informe eu outre ses ! amis qu'il a des salons particuliein an pre j mier, et des chambres meublées à louer e 'a semaine ou an mois. Les personnes dv .a ville et de la campagne y trouveront tout L | comfort désirable.I c restaurant sera ouvert 'jusqu'à rniuuit 6 fév *»5.( .VE'iV orlg ws. CL J AUBERT Jk CIE. —IMPORTATEURS DE— Marchandise* sèches, étrangères et Américaines. Cotons, Indiennes, Kubans, Bon neterie , Mouchoirs, etc etc. 20 Rue Je Chartres, près Canal. Nouvelle Orleans. Cette maison déjà bien connue par sou ancienneté (30 aus d'existence) et le bas prix de scs articles, offre aux marchands des Compagnes, l'assortiment le plus com plet et le plus varié de marchandises sèche. Cette maison rdÿuit chaque semaine do nouveaux envois du Nord et de l'Europe et met un soin tout particulier à remplir 1 ms ordres qui lui sont adressés- (11.sept 75 la LEON MEDAL, Confiseur, No. 93. ..Rue de la Vieille Levée... No. 93 NEW ORLEANS. Candis, Confiseries et Patisseries Chocolats, Fruits Confits, Si rops, Gelees, Dragées, Bon bons assortis. Grand assortiment de BOITES A SUR PRISE en tout genres. 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Je serai toujours prêt h remplir les ordres (grands ou petits) à,habille tous ! meut, lingerie et chapeaux de toutes es pèces et de tous genres, depuis les vêtements communs d'habitations jusqu'au linge de toilette le plus fin. Les prix do mes artielea sorout invariablement aussi bas que possi ble. Les commandes de la campagne sont l'ob jet d'uue attention immediate. LEON GODCIIAUX, Aux Nos 81 et 83 de la rite du Canal 14 oct—7 6 KIP «fc REÇU. Moulin a Riz Perseverance. tTous les Prix déternés aux Foires de FF tat de la Louisiane pour l'écalugo du riz. depuis 1868jusqu'h aujourd'hui.) Nos. 8, 10, 12 et 14, rue des Champs Elyset en face de la place du vieux Depot, 3mo Distsict. NOUVELLE ORLEANS. Kettoye 420 barils par jour. LES SACS SONT FOURNIS GRATIS. Prix. 2°- J.....................J Cent No. 3....................J .. JNO M. WALSH, Agent Oct 17 74 ' Avis aux Planteur» Ku. ricrN J'AI L'HONNEUR D'ANNONCER A lues amis de la campagne et aux jdanteurs sucriers eu général que je suis maintenant en mesure de m'occuper d'affaires comme Facteur de Sucre et des affaires de Commis siou, sur uue grande échelle, et je m'em presse de leur offrir mes services. Des avances libérales sur le* récoltes se vont faites'aux conditions les plus a van ta geuscs. Les correspondences de la campagne sont sollicité. LEON OODCHAUX. 81 j* 8» ruo du Canal, Nlle-Orléuns. \n\n Official. TOWN COUNCIL, The Town Council of the Town of Tiiibo. daux uiet iu their Hull in regular session, Tuesday, November 6th 1877 at 7 o'clock 1*. Present.-— S. T. Grisamore, Mayor ; and the foUowiug Trustees : J. L. Aucoin, F. Sancan'M. A. Legendre and I*. A. Aucoin. Absent: L. Keetje ond Ouné Naquin. The minutes of the previous regular ses sion were rea' 1 , u,nd approved as recorded. The following Co'lector'a report for the month endlug this day, was read and ou motion duly seconded the same was ac — cepted. 4'<iJle«'t«r'» Monthly Report* Irom October 2nd., 1877, to Vo e. 6//i., 1877. Jean Celestiu, Taxes........1871 14 00 1872 ........1873 ........1874 ........1875 ou acct... 1876 D. LieV.. 1877 Mrs. w. c. H... ton," ...... Mm Louis Aucom," ^Boudreaux, km L. j. Meyer, . —. DickersonfeHodiugs. " ... Mrs. j. t. DuuUs " ...... \v 0 ; A iîoffmanji, ----- Aubert Hebeft, " ...... w°if Hoffmann, 18 oo 15 oo 18 80 16 01 ) 5 80 8 00 10 00 20 00 3 00 85 00 6 00 55 00 10 00 Wolf Hoffmann. R. M. Lic'se. J. B. Lusignan, 1>. j " . Wm. Brockhoit, li. " . 1 50 | 1 50 6 00 ; 3 50 ' 8 00 j 3 00 10 00 2 50 ; 5 (H) i Mm.ii L.pez.nche" j Mi-UvE^riîompson" Pierre Pujoi, J. M Bourg, B. " . S. T. Grisamore, Taxes...... Joli u Dczauche, 5 00 10 00 6 00 4 00 2 50 " .......1875 D, Broderick, B. j LiJ'sè'.".î«77 Ç. Lagarde, Taxes.......1876 il. Tetreau, " ....... " " " B. S. Lic'se.... 1877 " " Taxes.......1876 J. M. Walsh •• ....... " Jos. Lagarde, B. i Lic'se____1877 E. W. Blake, Taxes.......1876 m^eÎ^v Levert , L. F. Srtmeidéi. 12 00 12 00 . 12 oo ; 12 00 2 50 16 50 14 00 5 00 i 6 00 1 15 00 2 50 26 00 3 00 - 12 50 3 30 ' 3 î rs " 1 ' Lillki "' viri i Mi». iici»plei *• ....... •• i a JoseîiV R ai i Lie««"" 1877 , M rs . M.sp'rmger Taxes...."!.js76 G. Troue. *• ......., ii. M. Lic'se....1877 luxes.......1876 18 00 »0 OU 42 00 2 00 10 00 5 oo 7 OU 9 UU Bonron a Bmiruniu- ...... •* A. Bouron, U. M. Lic'se____1877 £ Dju^'ido.R.M. " Robt.P. dicou, E. S. J " K. A. Kro -t, Taxes. J. H. Fleetwood •* . kl ) i» LÎ - _ 'U " ' Tar.es ..... r> no 10 00 io oo 5 0" , L. Mo vor, s. Meier ' La oc b Adams, p A F. Lacapère, Dr. H. Danseroau. " ....... " " " " M. 1> Lie'se..,.1877 Mrs, F. Kagan, Taxes.......1876 A. Parr. " ....... " A. Molaison, " ....... " H. Franklin, (hui.due) Lic'se.. 1S77 .1876 7 or Neuville Dupré, Emire Lorio, ... *L il• •*!lCIl«*IefcG,II. LlC à( 1 ....ioh s, Boudreaux. Est. Taxes.....1876 j.G.Oschwal.l, - S5S' P A. Aucotn, Mrs. H. Auco<n, ....... P. A Aucoin. R. M. Lic'se.... 1877 Mrs. N. Wright, Taxes....... 1876 David Kling, " ....... " Mrs. A, Lagarde, " ....... " " L. Webre, " .....L " J. O- Adams. " ....... " Anatole Boudreaux " ....... ..1877 56 50 25 00 25 00 10 00 5 50 3 00 20 00 35 00 47 50 4 00 8 00 8 00 2 00 15 00 16 00 10 00 3 (M) 20 00 4 00 4 00 30 o.i 2 00 3 00 13 00 a 'I 00 Mary .John Bruce Lic'se" " 1877 Taxes.......1876 5 00 Il 2 00 \ LcBlu xiiiboriau x, «• Arf...... 5 80 7 00 13 00 6 (K) 2 00 85 00 25 00 .1 Diqirê. Mrs. L. Bergeron. " ....... •" C, Ai,éma. (J. H. Lie.'se____1877 B, T " .... " Total Retiperti'iill v submitted, i'îl Ko. THIBODAUX, Collector November Otic 1SÏ7. i lie following Treasurer's Report for October 1-, 7, was ica.l; and on mo.ion •inly Seconded, the same was accepted. TiviisarorV "limtbly Ki-ptirl, For October 1877. 126.« J0 To bal. ou hand Ibis day 815.38 C li. lor obi î/Ium 15.55 " Fines to date 1.09 *• " Taxes of 1871 14.00 *• " " •* " 18'2 I8.S0 " 44 " " " 1873 15 U0 " u .< " '* 1874 30.00 " i. 4. " " 1875 45.00 " »4 4» " " 1876 673.10 44 4 . Licenses 1877 470.00 n '' " Baïuj tes " " M'kct House nuit 22.60 72.08) By " for Pub. Schools. 32.40 44 4 4 4. .4 105.05 4< 4. 44 4. .4 161 05 u 44 <4 " li 37.70 " .4 4» 4. 44 8.10 " 4« is 1,878.21 j 2,222.51 J 2,22*1.51 J To Bal. on band. Jos. T. Tl»i 1,878.51 J Jos. T. Tbibodaux, iu aect with W ocl.iiidu's, Aect. 49.42 Tu bal. Iîv cash paitt L. M.ilbrcu^h.-... io tKilancc iluc Treasurer ...... <>u hau«l this day ___ h paiR ij. M.ilhrcii'ili 50.00 50.00 50.00 Treasurer. —---- By balance due Treasurer ...... (Signed) JOS. T. THIBODEAUX, November 6th. 1877. The following claims were presented, and motion duly seconded were unproved, Grisamore, P. A. Auroili, J. L, Aueoin. Le an appronriatitm of One T1 Thibodaux Saw (Mill C Lumber., J. L. Aiuoiu, S'dri« for Pub. Si'IkkjIs Henry Box w ork in Guion Academy M. Kstiyen work iu corp tiou Seiri. G. wiabor, Ngil.s, vitue, Cemua J<» 8 . A. Troué,Cbalk for Pub. Sch'l. L - £■ Aubert rep'iug shoot at Canal |ï'T. Gnsamore, Gutters for the Market House, etc.............. m H u r 'ko^ h miie iUUa * work on Braud^& Legendre. Sundries^..... S. T. Grisamore, repairs ou Guion Academy ....................... Steamer EJta Hughes conveying J. O'ronke to Hospital............. Vizard <k Wilnuitli 2,00(1 P'ving B'ks James A. Frost. 28 Bids. Shells.... Robert P. Picou, 16 Bbls. Shells.... Workmen's Acct................... H. li. Thiberge, Architect and Super intendent of Market House Salary of Mayor eudiug this day.. " " .Clerk " " " "• " Treasurer " " " *• " Painter " " " " " Constable •* " " 86.79 4.011 58.06 74.61 3.10 40.00 44.15 80 5.00 39.55 87.00 30 16.00 3.00 36.00 2.80 1.60 100.00 225.00 50.00 18.75 31.25 25.00 100.00 Total 1,052.76 The Certificate of H. R.*Thiberge Archi tect and Superintendent, stating that L. C. Aubert, Coutraetor and Builder, hail com pleted the New Market House according to plans and specifications of Building con tract passed on the. 20th day of June, was received and accepted. Un motion (July seconded. Council ad. fourned. A. J. Perbin, S. T. GRISAMORE, Clerk Town Council. Mayor. A True copy, A. J. Perrin, Clerk, Town Council. Notice. TO HOLDERS OF PARISH WARRANTS. There is money in the Parish Treasury to pay warrants issued in 1877, up to and including No. 4s6, and of old warrants is sued in 1869-70-71-72 73-71, up to and includ ing No. 2378, (old scries.) F. SANCAN, Oct. 9th 1877. Parish Treasurer, Extract from ll,e Minute.', of the Proceedings or the Police Jug. Fegnlar Session , Oct. 1st.. 1877. Resolved : — That all Warrants or Claims against the Parish, not presented to the Treasurer tor payment, w ithin Sixty days after the Treasurer advertises he has funds iu the Treasury to pay the same, shall be reregistered, and the funds adver tised for t e payment of the said Warrants or Claims, shall be applied by said Treasu rer to the payiueut of the next oldest War rants or Claims, iu the order of their regis tration LAFOURCHE HOUSE, 41 Bourbon St. New Orleans, La. JOKEPIl ÂÂfl'ÔcK* Proprietor. Large, Commodious Rooms, First Class Fare. Reasonable Breakfast, Dinner. oct.ti.'77-l mo. pp. from Prices. 1» A. 4— 6 P. MRS. E. TASSET, French Hoarding Hoiiwe* XO. 106 HO CR BOX STREET, OPPOSITE THE OPERA HOUSE 5S1S7 &IEILBÂS« July, 2177. ti'.DIFARB, Commission 3I«-r. liant* —And Dealer in— O O U N T R Y R R O D U CE, Moss. Hides, Furs, Wool, Potatoes, Molas ses, Hire, Ungar. Cotton, Vhicl.cn» Eggs, etc., tie. - e No. 133____Decatur Street____No. 133 sep976 NEW ORLEANS. Louis Bush John B. Levert R. G. Bush, BUSH & LEVERT. Cotton and ttiigar l*'a«*twrM. And General Commission Merchants, an 175 1 y «I Perdido Street, N. O. J. FOES5STKR, RICE & CORN MILL 100 & 111 Juli» street und 104 10G& 108 Magazine Streets. I¥cw Orleans. P. 0. BOX 138G. MILLING KATE, No- U........................ î cent per lb* " 3..........................No Charge.. Empty sacks furnished. P A. LEHET, Agent* LAFOURCHE, La. 12 sept 75. 1 y BATTLES' STEAM RICE MILL, H. A. BATTLES, I'ltOPHlKTOE. St. Joseph Street, between Com merce & New Levee. NEW ORLEANS. MILLING RATES: No. I Kick .................. J ,-ts. per lb. " " .................. 1 " " " 3 - .................. i..... 8,-U'ks furnished to Planters free of Charge Light sacks Bran returned to the Planter for every 100 Bids. Rice received. AI.H BIIGEIUR», Agent Sept.8-1877.