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LA DIX CENTS. nUNUMEIiU 01/ XVII 1 JJ 1 J' ¥> AI JOURNAL DU 9 ME DISTRICT SENATORIAI § £f> 1 f U \è DALI JOURS AL OFFJ/E LA l'AIlVlüSEDE LAIVCllCIiEET DE LA VILLE DE ABONNEMENT :—$3.00 TAU AN TJIIiîODAUX, L"- SAMEDI 3.JUIN 1882. NO 44 's'riwna-.- »«»rma (gNï.—L'Assesseur don tous les conti Umablcs 1 encore fait le re I, oc:«ïc». »lions leur ässesscmeut de 1882 .dans dix jours, et que li oa rs sont données pour toutes les erreurs, eonlor lia loi de Kevcuue do ZTüne sessibn ri'ào J*ï de Police, aura Hütet« mois à la Maison 1 Oettt*^ 011 ;l laqiiel , uS -now, tous les mem ÿtéwiâs. sera très " J.jfi'teloint de vue Äs «miseront Lai 1 * i__ j ___ . TDK.Vf.—Par soit* d° l*^ ü(; i | rivé taunedi dernier a on [ pus employés h Lconstrn«; j îiiHgntnn do 31VI * Itraud adre, les travaux de cet ttiss 9 so trouvent moiucti at interrompus. Les murs êji poussés presque a ieur •;uiih semaine ou deux age les compléter aient. 'LTE.— Las informations os avons reçues, pendant aine, sur la lécolte sont s très encourageantes. La 3e mercredi dernier a fait nd bien au maïs qui çait a souttrir de la sèche Depuis quelque temps les poussent avec vigueur et «cernent du riz promet a rendement. BONE. —Lo Zoetlone est ifisoii, très agréable à boire ué.lu do nombreuses qua ygiöiiiques ; elle désaltère, du ton A l'twtoinac et, peut fs« dans certain cas eomme «t de l'buile de foie de Le dépôt se trouve â la teie de M. Jos. T Thibo encoignure Mai.» et St. pu. _____ [PORT.—Nous rappelons â leurs que c'est aujourd'hui ain que doit avoir lh-u a >rt la grande Toi te donnée membres du Lodqwrt t*u ïool Association au bénéfice llo publique de ce \ illage. i j déjà que rien n'a été ne j tenr donner à ce! te fête j attraits qiJou puisse ima , -------------—— . , Imes DE terre.- m »cool mines de terres a donue iinéeci, »laus la j»aioi»se liaient 'loin' lle^ s'attendre, Cillement le rendement a I, mais la qualité est bien mro à celle «les années pré es. Ayant été fouillées mu oint, elles se conservent eu et se vendent à un prix (numérateur. Les nec.ipa les payaient la semaine re. prises sur les lieux, é, 83.00 lo baril, suivant iseur. ILES Publique. —Les é»-o sont ir les enfants qui ont droit réadmis. Pendant le mois j Igsalaii-e payé aux Iustitu «'est élevé pour le district l, compris dans les limi la Coporation, a 180.00 et le District N° 2, coin prenant lias autres écoles «le l;i [»a »>$1450, ce qui tonne un jour salaires de $1(530.00. dépenses aeciih iiteUes se levées a $102.30. iliques plu-s nombreuses q le iporte qu'elle autre j>a toutes bien tiéqueii INDE l'OIRE.'^-l no nouvel nouvel ode foire aura lien le 2"> de is, a l'église St. Joseph «huit illit sera destiné a racliet e le la banquette «pii doit re hibodaux a l'église, lout Kle de la paroisse liusi q»*' roisses avoisinantes est invi »sister, car rien neserauégii ir rendre cette foire aussi Me que possible aux nom visiteurs qui voudront Mio do leur présence. Gomme tude cette foil e se tiendra cuiagnitique et vaste paie Jlise où tous les objets ot » vente seront exposes et parles dames les plus af *ft les plus charniantes. *r donner a cette foire plus t et alla de donner aux i»er * «le la Nouvelle Orléans 'tes facilités de pouvoir y il y aura ce jour la un Éciai qui partiia du Ferry a 7 heures du mat ut, ^arrêter a Lafourche thus De la les excui sionistes se a bord d'un chal uul qui Kduira au Fair G routai. Le tour s'eilciuera le même huit heures du soir. Le' i l'excursion, aller et roi «t d'une $L.70 de la Nouvel lans, et d'une piastre du Ba I Allemauds. , Cluj; D n a max jo uk.- x f jc' club Dramatique F.ccryrcen, donnera jeudi procliniu dans lu, salle IV«. verley, sa première reiiiéseatation dramatique. Pour le débat, les jaunes gens et les demoiselles qui composent <;ette association, espe eialement organisée pour rompre la nioiiotonio des habitudes des habitants de la ville, ont choisi une pièce en cinq actes, intitulée : London Assurance. Les rôles ont été distrubués avec discernement et tous les amateurs chargés de de les interpréter ont mis tout leur amour-propre à en étudier toutes les îiuesses. A nos avis, | nous soyons, que cette reposent a i Lo» 'surpassera toutes cc.qa'ou â | déjà vu dans nos murs et que les ' débuts de ce club seront, courou | nés d'un plein succès. Le prix [ d/admission generale est de 50 j cents, et celui des sièges réservés^ de 75 cents. Les elifants payent*! nmit ii> mi 11*1(11 un nr/ioii moitié prix et ou peut se proeii rer des sièges réservés à la phar made de Mt. Jus. T. Thibodeaux. v » Nous nous empressons de pu büer le coimiuiiiicaliou suivante de MAL. L. Grand et Th. Harang. Nouvells-Orléans, le 28 n ai '82 Messieurs les éditeurs de la Menti nolle. Nous avons reçu, de Paris, une lettre adressée*, aux cultivateurs sucriers de la Louisiane. Nous us prions d'avoir la bonté de l'insérer dans les colonnes de vo tre journal si estimé et si répan du daus les campagnes. Nous pensous que tons ceux qui, en Louisiane, désirent s'adonner à la eu ! Lire de la canne â sucre s'ein presseront de répondre à i'appel du comité des fondateurs, «pii a son siège a Pans. Nous prit» s toutes les person nos qui pourraient avoir besoin de renseignements ou qui seraient disposées â répondre ;i 1'appel qui ieur est tait de nous adresser j louis eomriunieatiotis, et nous nous ferons un plaisir, comme re | présentants du comité central, de ! répondre aux demaudes, ainsi j que d-eméjiistrer les utiles qui pourraient êtie faites poiu des i cont rats a passer dans les local! j lés où 1-ou désirerait fonder des usines centrales, L. Grand, , THEOPHILE llARANG. : No ôC rue 1 toy a le, ; Nile Orléans, Lue __ -^ os iccteuis' trouveront daus i «»« "Otre colonne la lettre dont il j est question plus haut. AUX .COURSES*—• I*e président Arthur est. allé aux courses de Wasliington. Il paraît que c'est le premier président des Etats Unis depuis Êachanau qui maiiileste iiinsi i publiquement de de l'intérêt pour le turf. Les pré suients Kaclianau, I'ierce, Tyler «•t V r iin yureu étaient «le grands coiiiiiussetus eu chevaux et ne manquaient jamais d'assister aux courses du Maryland et de la VL "inh*, berceau, du .-urf ainéricain. E« général Grant qui avait aussi la passion des chevaux, passion noble s'il en fut, n'a jamais «pie Ton sache assisté à une course du rant su présidence—pas même â Long Biauch où il passait l'été et où couraient en ce moment les fa meus cracks Harn» Bassett et Longfellow. Ses amis intimes prétendent qu'il en était empêche par le chapelain Newman qui s-en tendait mieiux â lire la bible qu'a juger l'allure et l'action d'un ehe val. M. î ! ayes uaîiire'l. ment ne pouvait-s'intéiuessor à dos courses J j(5 p, ,, nx t . st a ,.,.i u j ;ir .i ve ( L . pnmiier, quand lui tnê ,, K , a _qté ptoclame valnquer après n*êne. anive «pie maniais second cela « >i arrivé souvent .î Beach. ! i , . „ ,, chigan, etau-iit u< > tnaiiiuuitMi.M's j par suite «ai maux aïs soi f qui s«*m j b !:» it s'aelmiiicf à les pouisuiviv. L.i liile a pioposf ,i la mère tie se suicider. Il a élé décidé ciitin edles qu'elles sauter iient. ensemble dans la rivière, et c'est ce qu'elles ont lait. • .V"*"';; ' . bu GIDL.-M ma I »'Osser et sa *»'*e Am . 1 , «.e Latia Uki r, * li i j j I | t.'iau n'eiait })as pio . ioaiic. L ne lois dans la m lcre | Aima a eu peut de inomn tua ici ussi a gagner la me. La mere j aurait, pu aussi se saut er, mais cite est reslcc ti aiiquilleinent ai l*eau et s'osl notée. La tille k greife maintenant «.e n'etie P liN restée aupiès <lc sa metecton est obligé d>* la panier ;i vue pour l'empêcher de se suicider. —Dialogue meaidional ; ^-Ah ! mou ee< !. ..Z-ai «les pro priéiés â Marseille.. -Ou u'eu voit pas la tin ! —Eh beu, mou bon, j'en ai â Toulouse.. .grandes qu*ou n'en voit mémo pas le commence ment ! lésines lent raies en f..«n iisiane. P AIMS, le 29 avril ISSl Modell' franco—a tué rient ne des nés centrale eu Louisiane. Vo m i te ties Jb it d/ile tu 's. Lettre au.r planteurs de la Louisi nsi Monsieur.—L'expérience a dé montré que la réunion dans votre Ltat d-uue exploitation agi icoie J du traitcüKMH imlosliiel das pro dmt» de .'..griçi. Iu.ro u. de.me îltÇÂtf . , - et pour I interet prive Qoclqu'iulelugeut que l'en sup nu i iî'i ihl'Ud : l 1 PA il »kV tiAd ili pose un propriétaire, il est très di ffieile que son activity et ses cou ' n«> nmic Im iiiirmntfuikf *ln va naissances lui ]»erme.ttetit de re soutire avec um* égale facilité les problèmes agricoles, industriels et. commerciaux que soulève ce eu mul. mul. iicmpliiait il, d'nilleurs a ce point de vue toutes lus conditions voulues ; serait il a la fois bon cultivateur, bon industriel et bon commerçant ; trouverait il même le temps nécessaire pour faire face a tant »Populations diverses et simultanées, qu'un obstacle plus sérieux viendrait a lui mine: C'est Pabsence habituelle de capi pitaux en quantité sutFisante pour parer a une exploitation agricole bien entendue »>t a une entreprise industrielle organisée cenformé mont aux règles de l'industrie mo derne. Ces idées sont aetuelle.meiit fa Jière«un Ltndsiane »*t l'on y est persuadé que la division du tra vail est indispensable quand :1 s'agit d'une culture connu« «elle j de hi ciiiim* :i sucre et d'une trails i forniution compliquée comme eel le de l'extr.Tction de hi matière saccharine et de ruliü-auon des produits secondaires «le la ctiime. G'est â l'oubli île ce principe que l'on doit attribuer la tiop lente progression (pie suit en Lou isiane la matelie de la cul Lue et de l'industrie siicrièies. Aussi u'avons-nous pas besoin «l'insister pour demontier «ju-on Louisiane l'outillage agricole «-t l'outillage industriel sont egale ment insuffisants et «pie l'un et l'autre ne peuvent être transfer mes que par la séparation de ta culture de la canne et de la labri cation du sucre. La création d'usines centrales recevant, les produits des exploita t ions placées dans leur rayon per mettra, d'une part, au produc tour de. consacrer tout son temps et tous ses capitaux â l'améliora îion des cultures; d'une autre part, elle permettra «l'appliquer a la fa'o.ie.ation du sucre uu outilla ge perlectiomié, des eonnaissau ces spéciales, des capitaux plus considérables. Cette créai ion en .traînera une. diminution de frais généraux et une au g nentaî.loii «le produits grâce auxquelles les su cres delà Louisiane reprendront sur les marchés des Etats-Unis et de l'Europe la place que le mal heur du temps et la moditieation ..........—,____... ______ _____ des coudions économiques gêné raies lui ont lait perdre. Nous sommes donc certaius d*è tre accueillis avec faveur eu affir niant la solubilité des planteurs* delà Louisiaue, propriétaires ou fermiers et des propagateurs de l'idée de la création (l'usines ceu traies. Réunis eu groupe «et résolus à i életer d«*s usines centrales eu : nombre proportionné â l'étendue j su : com i , me point de jdépart, de pomoir i | compter sur les adhésions des J ! planteurs.- De celte manière, le J i fonctionnement de la Société que j ! noys somme*en voie d'organiser j i étant eu quelcute sorte, soustrait j â tonte chance aléatoire,notre créa ; j «ietfeciitéra dans les coi.di j ^j ons } cS moins ortiérouses au ; I et à l'importance des régions î crièrc.s, nous avons besoin, gr;wi«l availing« des couliacUnts k C'est â dire, des planteurs et «les ; I fondateurs d'usines centrales. Gomme début lions nous pro | posons de créer deux ou trois . us i ()e8 ce» tra les et nous avons bu | 8 l) j u 4 ( pores et déjà, d'avoir les ad j 1( : s i ous d t ..s plantcuisdes régions; j C08 usines pourraient être éta (j.*est ainsi que l'on proccdéj J ( p lU s p. s pnys où la culture morce jiè»»de la betterave à démontré p^psolue nécessité de substituer des usines centrales-nux petites usines do transformations qui, an téiietireinent se touchaient sur chaque exploitation. Sans entrer dans des détails qui sont inutiles quand ou s'ad less se, comme nous le faisoas â des hommes d'une expéiieucc spéeia le éprouvée, nous venons vous de gnauder votre adhésiou sous me «l'un engagement â compléter i ultérieusenient. | Par cette promesse, vous vous j engageriez a vendre a l'usine een i traie pendant une période rie dix années, a pai tir do sa mise en ne : tivit«, toutes les cannes produites i par votre plantation, en spécili ant hétemlue de la surface au nuellement cotisai iée ;l cette cul tare. Les cannes seraient livrées à l'Usine suivant un coursa dé battre avec uos représentants en Lonisaue Nous nous contentons aujonr j d'üuïde7ous imïiqaêV^iw Tm.dï ; tiens générales du fonctionnement | d,. I10 „,, so „i été . j ,,|„ s détaillé, »«»,.„«»„6 ,l-„ii « | " i!S i i — .......— adhésions ve | eues, nous donnera la certitude j prévue de l'accueil sympathique 1 _________' / . N L 1 j réservé a notre projet Cette sympathie, nous ne la mettons pas un seul instant en doute, car notre projet répond à successive de nombreuses usines centrales permettra seule, ainsi que nous Pavons dit plus liant, à la production sucrière de la Lou de reprendre sur les marchés du Nord, une place en rapport avec la fécondité du sol de cet Etat et avec Pintelligeute activité de ses habitants. » Agréez M. l'expression de nos sentiments »le haute considéra lion, IIIPPOLTl'ETC aHUSÀC, Leon Ciiotteau, Eelix Limet, J. Caiin. des besoins absolus et la création Manuel d'un mari Jaloux.! — Le Globe Democrat de 8t. Louis rapporte qu'au cours du procès <m divorce intenté par Mme Alice Davenport ;> son mari, si demau | del esse u dit qu'eu tine ciicuns tance, ayant manifesté r iuiention de faire une visite à sa mère, Mme liaient, â New Yoik, son mari ne lui en ;i donné h» permission qu'a la condition »le jurer qu'elle obser v era it un réglement par lui prépu ré et dont, voici la teneur, d'après l'original même, qui a été continu niqué â la cour : 'diégles pour ie gouvernement de la conduite de ma femme peu I «tant, qu'elle sera séparée de moi, ! 1er juin 187'J. j '-1° Ne parler à personne et ne permettre à personne de lui par-» 1er daus le wagon, sauf le comiitc tear et le porter, dans l'accomplis seme, ut de leur devoirs. ''2 3 Aller tout droit de la gare de New-York â la maison de Mme Ilaight, occuper la même chambre que sa mère et de dormir que dans sa chamber. •'3° Pailer affectueusement et poliment-â Mme Ilaight, mais non d'une façon amicale ou fam lié*« ; lui diie que vous désirez ne voii personne dans sa maison ; «le mander une table pour vous-même avec votre famille seulement, ou aller ailleurs. '*4° Ne jamais ehaüter oq vous asseoir «huis le salo . ni chaîner «laus votre chambre si quelqu'un est piésent eu dehors de votre fa mille immédiate' •'5° Ne jamais quitter votre mère, de jour ou de unit, ____________ , ... _____, pour : cinq minutes de suite, pour une | raison quelcompie. Ne pas vous j promener, ;i pied on en voiture, ! ou aller n'importe où sans elle, tnénie avec votre hère, | ''G° Ne visiter personne absolu ; ment, et ne pas recevoir h-s per j sonnes «jni pounaient venir vous visiter, sauf vos frères ou leurs i lènunes. Ne pas parler aux per : sonnes que vous pourriez renvoi! j tier et «pie vous auriez connues unit dois. i ''7 0 Ne pas permettre qu'on i vous présente, à personne, et si J quelqu'un vous est piéstliié refii J str «le lui parler, j "S - * M'écrire chaque soir une j relation complète, vraie « t exacte j de tout (•«• que volts avez fait; où ; vous avez été. avec qui, vous avez parié et qui vous avez vu. ; Ceci «loir êi re fait chaque soir. | "Que lieu, ni la maladie ni la ; mort, uc vous empêche d'observer ces icglcs, car je »'excuserais leur violation sous aucun prête x ; te. Nu «quittez pas Nfcw-York, i même pour une heure, sans ma permission, excepté pour Biook lyn ou Harlem, I '-Si ma femme ne peut i>as ob ' server ces règles, dans leur lettre et dans leur esprit, je désire ne ; jamais la revoir'—Signé : Berna ] min Daren-uort. n Mine Davenport a exhibé ce. eu 1 rleux document eomme une pieu j ve que les exigences déraisonna bies de sou mari auraient pousse ; â bout la patience d'une sainte et inspiré a la compagne la plus ver j tueuse i'niée d'une de ces voit | ge.au et-s que, suivant le langage d'un personnage de Molière, les | femmes out toujours à leur por forcée. plus à lu nous per le fai: ! riposta le "^Â.7, peu a " t,C .. ......° « 's'riwna-.- »«»rma Sarah Bernhardt est mode que jamais; on mettra donc de rappeler suivant : Vous savez que la muse de l'e\ cent licite lut sollicitée jadis par uu Ilariium de lui vendre son squelette. Il s'agissait d'une grosse soin me ; donc on discutait, et eepen dant donna Sol hésitait beau coup. — Eh quoi ! s'écria t. elle, signer un contrat qui vous permettra de livrer mon cadavre â dos dessi queurs cruels qui me déchiquette rout impitoyablement !../ - A -Mais non, mais non, madame due mais pour vous il sulüra de 1er \ os os. dey an \n\n An Act j ! : i ,l>r H»»' !»»u'!»<i-s« ufcuun-oi;»^ .uni «ritijî Lcvit:< mul to jdv 111«* ai-isli Treasury puss such oi'ili tliü premises. To create Hie Parisli of Lafourehe a Spe < ial Levee District, with jtower (o tlie l'o Lee Jury to appoiut Levee SyruVies. To Levy lie tax in the ary tor liait purpose and to ,m.ss suehoitlinaueea as u:ay be necessary in JOHN S. BILLIU, Kepreseutative ol' Lalourehe Aoliee. Firsmeu's Fair Grounds can now lie. rent ed for Fares, Fie Nies, parties and enter tainments. Apply to S. T. G It ISA MOIÎ 1'. President Firemen's Hall Association itlTIAATlOA Dr. II. Dmisereau will vaecinate all per sons who may call upon him at liis residence every Saturday, between iuo and four o'clock 1'. M. AM.SOFI iTSO.V las Dis. BOURGEOIS X DANSEItEAU. out tonne une associai ,%i., pour la prati que de la li.v (iteiiit * i de la. eliimrnio ■ THE 3TATK OF LOUSIANA. * j ! \ j ! ! P;imh of Lafourche, JRli. Judicial District Court John F. Pitt mai), vs. No. 1813. His Creditors. Pursuant to an order and decree of above Court and in ubedienre to a commission to me directed in tlie above *-.utitled and nmn bered case i will öfter for sale at ]>ublic aue lion pursuant !>» tc law to the last and lii^li est bidiicr :t t^ie Court House in the Toy/u ot Thioodaii.c on Saturday the 17th. d:.v Juno HS2 between the hours of II o'clock A* ?J. and 4 o'clock P. JR. Hu* following projicrtp as de; eriiu «L in the bilan of the saiif Instdv eut Joîm F. Pitt man to-wit : A lot of merchandise consisting of Dry (loads and (•roueries and accounts. * Terms of Sale Fash ou the Sptft iiUjuited States I reasiii v Notes June 3rd. liSS'J. THEO Pill LF THÏHODAFX* Sherid as Syndic. STATT OF LOUISIANA. 20tU Judicial District Court, Lafourche. Successions of Saintvillc Martin mid his wife Marie Blanchard No. 1US!) Pro bates. <1___ Pursuant to an order and decree of above ('..uri and in obedience to a commission to mo directed in the above.entitled and num bered Successions, 1 wdl otter for sale at public auction pursuant to law to the lust ami in^in s' bidder on tiie (. remisses situa ted in said Parish right hank of Bayou La •he, ar a (tout Thirteen miles below fonrel xy \ y of June 18T2 between the inn lock A. M. and 1 o'clock P. M. Hie .nils tu me A,ii . 17th. dm ef ! 1 n él following drscri'ied iircperty belongiug tu said successions to wit. . 1. The undivided half of a certain tract of land sitnute.il in this jiarish on the ri^ht bank of Baven Lafourehe at about I I or B miles below tiie Town of Tiiii.odanx. measniéng three arpents mord or less front by forty arpents in depth, bounded above liy lands ot L'ierre Martin and Im low by lauds ol Le/.in Martin together with all the buildings and Improvements, thereon reset - ving however the house and kileheu there on actiiitllv occupi'iil by l'uni jUnrtiii n i- n .siik-uco (uni aiso thn growing «-fop thmeun ami which belongs to .*aiit l'nttl Martin. 1 2 One cow ami two HcilVts Terms unil 1'omiitioli.s .if S.tie. Cush on . the Spot in Uuiteil States Treasury Notes ia.v ticlits. ' V l'Jtli, 1H82. TiIKO. THIBODAUX, Sheri Ordiuivucc \t> 7<i. An urhinfim-c I v\;ug taxes amounting • U tilt- a ' r '.' g (if to n J I * t .. is ua Lite (loi ' l 1 j vidiii.g lor their eulieetiou. [ S. i tion !. Be it onl.iim il liv liic Ma u.\ eouuetl ac.sfuiiileo, That lbr the, Cult-nil vor x in au.l ]irs ' 8 < etioi au<l I rusteos of the Town of ihitimia ye; eighty two there i.. lo win lev:, J :;t.\e.i j au.ouni ii.g in the aggregate lo tea mills on ■ the Dollar of tit---, tissess.-.l vali.aueii of all Hnateil within Uu limits of the u*o, ear Anno Domini Kighiet u homireil and is ex liy the properly situated T. v. t. of Thilwdrtux, except suck a. prtssiy exeivuteti from taxation Constitution of this siate. Sec. 2. lte i' turtiier ordained &e. That the satd 'axes are levi-d for the fol lowing purpose and iu the following propor 1 ' Finst?' Seven and a hall mills on the dol iar are levied to carry on and mainlain the Government of the t. orporation aud paying its current i xpeuses. Second. Two and a half mills on the dollar are leVicd lor tiie rstablishment. maintain.nice a^.l support of free public shoots in the Town. Sec. J. 1!.- it further ordained Ac. That tiie said taxes shall oe itssess.-d ami coilee tei iu the inode and mauuur end at tiie time specified iu existing ordinances ot the Town. Adopted Friday May 12th l > B [SignedJ IL Vi. TA1JOK, Mayor. A. J. PtRRIN. Clerk. A true copy : A, J. PERRIN. Clerk. DR. N. E. ASSELI^EAU, Eulrcprcud avec succcs lest maladie!« Chroniques. I! peut être consulté à sou ofiiee de 8à Il heures tous les matins. Cois, MARKET aud MAKONGE Sxrelt THIBOL'AUX, Lse.„ : i , $25 TO $50 PER DAY. t';m easily be made by using the Celebrated VICTOR WELL ALGER AND ROCK BORING MACHINERY, --In any Part ot the Country.- A\ e mean il, ami are v ,repaired to demonstrate the fact, they are operated by either Man, Horse or Steam Power and bore very rapid. They range in size from 3 INCH to H FEET IN DIAMETER, and will bore to any REQUIRED DEPTH! 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