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» '-•" i w.......* » *' La Sentinelle de Thibodaux, JOURNAL DU 0 ME DISTRICT, SENATORIAL. JOURNAL OFFICIEL DE LA PAROISSE DE LAFOURCHE ET DE LA VILLE DE THIBODAUX. VOL. 20 THIBODAUX, Lne, SAMEDI, NOYE viBRE 22, 18SA. No. 17; AV RENDIS VOUE DEB HàRI l'ANTS *©. Il» Il aie de ('burlrca. NOUVELLE-ORLEANS* Mr. J. lïOSK). pr«*vi«*uf ^es imiiilirenx ami» «le la «•iiiiipa-iH* tju i! a |>i< vi^nn-im-nt tVnné He.wtauiant, roinn sou h !«• nom iL*s nuire. Saisons, «*t «pfiîs trouveront Ali lleitdez voum de»* Alu lai Isa ai t*». Xo. I El rue Char très «1rs U<jii"iirs <l<* jirrinii r choix <*t «!«*> ehamores ".«'•nies comm«* par le passé. Tout eu les remerciant «lu paîiomi^e qu'ils lui ont préi*é«leimneut üc,.- ordé, il espère «pfil lin sera continué. hv-111-81. Bagazin de B«isi«|tie. Professeur E. Cholct J. Guardia ont 1'hon neur d'annoncer a» public et a leurs «om breux amis qu'ils viennent d ouvrir, Main Street entre St. Philippe et St. Louis, uu Ma gasin de Musique. 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Les merveilles de l'Océan et de la terre sont réunies dans c tte Colossale Exhibition Une convocation Autoelithonique. composée de représentants de la famille humaine de toute la terre et des régions du soleil et de la neige ; des centaines de chevaux, des cen taines d'artistes males et femelles, des milliers de quadrupèdes, une inimité de merveilles le tout beaucoup plus envieux et plus merveilleux qj.i se soit jamais vu avant et sera ja mais vu anrès. Venez au Big Show ! venez voir la grande exhibition ! VENEZ VOIR LA SEULE GRANDE EXHIBITION ! ! ! La seule exhibition Zoologique «lui ait jamais été vue. Cherchez pour les Enfants de la terre et de l'Océan. Une Brillante et Grandiose Constellation de 200 Etoiles toutes Supérieures 200 " M.\iE MINNE rA, la Reine et la Vernis de la machoiie deter hetea I léenne. SEN O R DON .1 EEENIMO BELL. ! e grand écuyer Espagnol à 4 el I* ehev aux. Melle ADELAIDE GORDON \ I'm trépidé é oiyè ^A. \ chevaus . Melle MILDRED <5 A 11DNKH. l'illiptH al I i«'!* (ie i* ;*i; iï i : : loi» <■ li grand«* m ùüesse .ni n arèg<* ■ I écuyers. Melle P< >LLY LEE. lu se. ( | -. yè: - e jongieu'i» tpii e.\i>tc. ; Melle MAGGIE CLAIRE, la i merveilleuse femme vo!an*e. j i j • «at. :î RHINOCEROS NOIRS, à i Cornes, pesant ô tonnes. j Ool!< etim de Giratte.s, Elands, j Dromad die<, Ch nneaux er Zèbres, j Dory,« a 11 eîagvs il'R'éjiliaiil s et *'IrameiHix, sons des harnais desoie ! • d'aigeu', des K a n gu os, Atelo- j p**S etc. loute une eavaieade d'B» ! 1 =5 Th m & m L'admirahlo Famille Purvis, Mr. John Purvis, ?.Ir. James Stow, Cardcllo aud Austin, Leslie Frères, Butler et Oakley, la famille Martinetti, Mr. William Sells et environ 200 I autres, le tout formant une collection de talents enuestres suiiéritHirs O tout <■(* uni •» /r/JÔn j yu dfim j ( . 1 * ^ U1 ' l U I , | , * j \ 1 • I . j | , m EHi j' . 4 , ib m 1 U il Cougiès Eihfiologica!, eom prenant toutes les variétés de la ra ce humaine: Surnature!, Féroces, Gigantesques, Sauvages, Canni bales, Barbaies, Civilisée et deiui Civflisee d»^i Tribut et des Nations du monde. Ironpes d'aciob-iTc-', voiiigeurs français. aUielet*:-', gy.au astes et contortionnistes, maiciieurs surfil de fer, sur la corde tendue, trapeze et anneaux volants. SIX ACTES SIMULTANES dans les QUATRE GRANDES ENCEINTES du Cirque sur une scène élevé. La plus Grande Parade dans les Bues. La plus complète et surpassant en munificence et en grandeur tout ce qui a jamais été vu. Des centaines de chevaux, (Téléphants, de chameaux richement eapareconnés en soie et en argent ; des centaines de chariots, d'énormes cages vitrées et d'un Brillant Chariot poor la Bande. 1000 hommes braves, de gentilles femmes et des enfants i;o$és, le tout formera une cavalcade irréprochable. YENE&UN, TSNEZ'fOUSi 31 arte n jisa!.e Mignonne. l XXXIII. —C'est vrai. —Ou t ntt au moins reconnaître sou enfant, et il n'a tait ni l'un ui l'autre. —Il n'a pas eu le temps. —Soir. Mais on a prétendu qu'il avait fait un second testament. Et M. Jouval regarda pour la seconde fois le Mulet daus le Idauc des yeux. Le Mulot ne sourcilla point. —«Je testament lie pe letrouve j pas. Je ne ci ois pas tout ce qu'on i dit : mais enfin mi tribunal eu tieu j dru il peut elle compte. V '»as cïo\ ex Pu conséquent, écoutez, bien le eoasi-il que je vais vous donner. i uiou gaiçou. j —L* vous écoute, monsieur. j - Tàeliez d'abord d'épouser la j mai liesse d'école. —Don! ! —L'uis, quand elle sera votre j femme, attaquez le testament, vous ! vivrez que la Martine transigera. Le Mulot ééoutait, ravi. Les pa nées de M. Jouval lui ouvraient un nouvel horizon. —Mais pour tout ça, dit-il, il faut de l'argent. —Bah! dit M. Jouval, en cli gnaut de l'œil, quand voua en serez là, si voua n'avez pas d'argeut, ve nez me trouver. Le Mulot regarda M. Jouval, qoi le regardait, et ces deux hommes se comprirent. —Ma toi / monsieur, dit le Mulot, puisque vous me témoignez autant d'iutérét, faut que je voua dise tout. —Parlez, je vous écoute. —J'ai bien peur de ne jamais épouser la ruaitresse d'école. — Elle est peut-être fière.... —Je crois piutêt qu'elle a déjà la tête tournée et qu'elle pense à quel qu'un— —A qui donc? —..Et que quelqu'un pense à 1 elle____ M. Jouyal ouvrit de grands yeux. — Un mousieur du château, dit le Mulot. —M. Auatole î —Gui. Et lu Mulot, qui entrait décidé ment dans la voie des aveu, racon ta ce qu'il avait vu el entendu, et le peu de succès de sa démarche an près vie mademoiselle Paumelle. M. Jouval, fronçant le sourcil, fés conta attentivement. —Ceci est grave, dit-il, dautaut plus que M. Anatole, qui ira pas le so i, pourrait bien déjà avoir fait le c.iicui dont je vous parlais tout à l'heure. — D'attaquer le testament ? —Oui. —Oh ! dit le Mulot avec un éclair de haine dans les yeux, si je pou vais le tuer ! —Ce serait bien inutile, dit M. Jouval. 11 vaudrait mieux lui faire quitter le pays.. Mais comment? /r/JÔn lui donnerait le triple de son I bien qu'il ne voudrait pas le veu die.-ll y a bleu longtemps même que j'avais songé à acheter le cbâ u ' a "> V H ue î e vou,aU l'habiter . n in a ri au nez, quand je lui Minis eu t»i parié. Il n'a pas de det tes U ue année qu'il était très-gêné, je lui ai proposé de lui prêter de l'argent..S'il avait accepté, je le t eu a is . .à l'échéance, i! u'aurait pas pu payer, et je le faisais vendre, mais il a refusé. —B««U i dit ie Mulot, il aurait trouve a emprunter pour vous rem bourser. M. Jouval eut un sourire qui ré sumait la mystérieuse domination qu'il exerçait daus le pays* —Et qui donc aurait osé lui en prêter ? dit-il. On ue fait ici, pour l'argent bieu entendu, que ce que je veux. —Mais on dit qu'il a des dettes ? —Une seule. Il doit six mille francs, dont il payé régulièrement l'intérêt et dont on ne lui réclame ra jamais le capital. Le Mulot demeura impassible« M. Jouval poursuivit; —Les créanciers ne sont pas ri ches pourtant, ils ont bien du mâl â se tirer d'embarras, car ce août des fermiers. Mais quand je leur ai fait offrir an bénéfice pour ma cé der leur créance, ils s'y sont refusés, se doutant bien que je voulais faire vendre M. Auatole. A Continuer. \n\n A. 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