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itntincUc île Shibotax Journal du 9me District Senatorial. I'til.lO F. S AN'-J « r'.i i K a r : Km j.i- te- Simeili!-. I ' ' « r>'i et a i te— GO rail t Ma'n. ent i St. I.oni-;. St. Philippe A It O 'S V t. 'l I N I'. Un An—(l'.ivuncu.. "n Numéro ...... $3 00 10 ASSONCE!*. >j n c:-rré île KHignes: lève insertion $1 • r >0 • ■ •• -Jim- " *•> Insertion mlil. 50 Tonte nnnonee .lelitpi? et ta profession nyee l';elres-i et u'exréiLmt pas «luatre lignes, par an. é avance................ ?•> ^ Annonees .le cnipliituts. il'uvanee---- 10 00 Nécrologie. par ligne............---- i l 1 * Toute annonce eoiom -reiale pulrüée it l an née sera insérée au taux île Oil emits par pou ce pour la première insertion et *1.» cents pour les insertions sul>sé<]iientes. Toute annon......... le nombre il'insert ions n'est pas spéeilié sera insérée jusipi il neuvel ordre au taux ordinaire. ATEUBi: TVIMMJirAI'IIIQL'K. ISOTABV JOB I'iikss. 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Cette opinion est une vieille légende que le simple examen des faits permet de réduire â néant. Rappelons nous, pour un instant, nos notions élémentaires de physi que sur la chute «les corps. La loi des espaces est ainsi énoncée : les espaces parcourus par un corps qui tombe librement dans le vide crois seut proportionnellement aux rar rés des temps employés à les par courir, fi partir de l'origine «lu mou vement. Ainsi le corps de l'homme qui se précipiterait dans l'espace, d'une hauteur élevée.parcourrait 5 mètres dans la première seconde, 20 inè- j très «lans la deuxième seconde, 45 mètres dans la troisième secoiule, 1 S0 mètres dans la quatrième secon- j de, 125 mètres «lans la cinquième seconde, etc., etc. Un homme tombant «lit sommet d'une tour «le 60 mètres de hauteur, mettrait donc un peu plus «le deux secondes seulement pour arriver jus «ju'a terre ; pour parcourir dans l'es pace la distance qui sépare le som met d'une maison de cinq étages du sol, c'est-â-tlire 15 à 20 mètres environ, il ne faut pas plus d'une se conile et demie. Or, les trains rapides prôgresseut quelquefois avec une vitesse do 110 kilomètres à l'heure «lans les points du pivrcours où la voie le permet ; cette vitesse peut aller jusqu'à 130 kilomètres. Si l'on admet une marche pendent cinq minutes «le 120 kilomètres à l'heure, on obtient 2 kilomètres â la minute soit 33 " ■* rri f ctens et les chauueuvs uont jamais été incommoilés par «xjtte vitesse, et jamais aucun d'eux n'a été as phvxié. Èt pourtant il suffit de se reporter , , â ce que nous \euons «1e «lire i^la tivementàla vitesse proportionnée de la chute des corps pour voir qu' un individu qui se jetterait du haut d'un cimpiième étage ne traverse rait pas l'air avec une vitesse <ie beaucoup supérieure trains rapides. à celle des Du reste, les exemples montrent qae l'asphvxie ne se produit nulle . . ment à la suited une chute a tra vers l'espace. LA FAMILLE DE NEGRIER. Depuis le reiour en Fiance du général de Négrier, les journaux, sans distinction d'opinion, lui ont consacré de très intéressants articles dans lesquels, nous ne. sa vons pourquoi, nos confrères de la presse ont voulu absolument faire du héros du Tompiiu, un olli cier grand, svelte et d'une rare élé gance. Le général de Négrier élégant, j soit ; quant à sa taille, loin d'être ! élevée, elle est au contraire au-des sous de l;i moyenne, et justifie par* j faitement l'emploi du vieil adage latin : Mayn us Alexander corpore, etc, La famille île Négrier est certai nement une des plus remarquables illustrations de notre belle histoire militaire; les renseignements qui suivent et qui ont été puisés à la meilleure source, ns peuvent man quer «l'intéresser vivement nos lec teurs. Le chef de la famille de Négrier était capitaine de vaisseau et fut pendu aux colonies par son equi page révolté, eu 1793. Il fut sauvé par un nègre, son ordonnance, qui coupa la corde, jeta à la mer son maître qui put regagner à la nage une barque portugaise. Ayant pris du service en Portugal, M. de Né grier devint colonel, mais n'a pas voulu servir contre la France. François-Casimir de Négrier, gé néral de division, grand-officier de la Légion d'honneur, «piesteur de la Chambre «les députés, sept bles sures, tué a la barricade «le la Pas tille, aux journées «le juin 1SLS. Ernest «le Négrier, général de brigade, grand-officier de la Légion d'honneur, trois blessures, coinmau dant la brigade de voltigeurs «le la garde à Solférino. E. de N'egrier, son fils, général 'I e brigade, commandant la subdi vision à Nantes, commandeur de la j Légion d'honneur, «leux blessures, l'une en Crimée, l'autre en Afrique, Oscar François «le Négrier, géné ral de division, grand officier de la Légion «l'honneur, cinq blessures, dont trois «lans la guerre «le 1S70 et deux au Tonqnin. Un pendu, un assassiné, dix sept blessures : quel bd arbre généa , logique! Dieu veuille que ses Ta ! eines arrosées «le tant «le sang, pro jettent «le vigoureux rameaux qui feront la gloire «le la France et l'or gueil de notre brave année. -- Le nez a plus «l'intluence qu'on ne le croit sur notre santé. 11 ex iste beaucoup de personnes qui ne L'influence du nez. sont malades que par le nez, sans s'en ilouter. Nez trop sensible ! Les reflexes «lu nez, sont en très grantl nombre et «l'une extrême im pressionnabilité. M. Hack de Fri bourg, a bien montré que beaucoup «le cas «le migraine, do vertiges, «le cauchemars, de névralgie, «le toux, d'asthme se rapportent tout bonne ment â l'état «lu nez. Il a guéri des malades uniquement en «létruisant le tissu érectile intranasal de l'ex trémité antérieure des cornets. Sur 63 asthmatiques, il y a eu 33 guéri sons complètes ; dans 17, grande amélioration ; dans 13, résultat né gatif. Un médecin a constaté que, chez un malade, une toux opiniâtre avait pour origine une hyperthrophie de ; 1:1 muqueuse du cornet inferieur, j Ce médecin a observé de nombreux I dont beaucoup «lisparurent quand j il eut agi sur la muqueuse nasale: cas dyspnée spasm respiratoire, etc< Q'd uc sait qu'il suffit «l'un 1>eu P ouss |ére «.lans le nez pour provoquer des eternuements, —• vra j rhume «le cerveau ? , un Chez des sujets sensibles, la poussière d'un wagon en chemin «le 1er amène sou vent un corya intense. L'introduc tion dans les narines «In pollen tl«*s fleurs, «le végétaux microscopiques, devient la cause déterminante du catarrhe «l'été, «Je la lièvre des foins, etc. 11 su!St souvent d'insufflation de poudiÿs antiseptiques ou de 1« caut^isatious avec des va peurs acides pour calmer le mal et faire disparaît»« les accès. Délions nous de notre m*/. ! La Bigamie. Arrivé a un certain degré, la bê tise <>st un crime, c'est sut tout cela, je crois «jtte la !«>i a visé chez le bi game. Comme Saint Pierre, le propre concierge du Paradis, l'avait bien i coinpri- ! Cu joii". une âme se présente a la poi te cochère «lu Ciel *'t pousse le bouton électrique bien connu des âmes sages. Saint Pierre arrive. Il était, ce jour là. de bonne humeur et de ten «Ire «î iraetiue. —<)ui es t u ? —Feu Madsin. — Et «pie faisais tu, feu Machin, sur la terre. —J'étais marié. —Oh ! mon pauvre vieux feu Ma chin ! Dépêches toi «l'entrer alors! lit feu Machin entra. Mais, pour pénétrer plus avant dans les bonnes graces «le Pierre, ne s'avisa t il pas de commencer ses confidences. —T'ai im'une été marié deux fois. Saint Pierre fronça le sourcil «'t de sa grosse voix qui efl'raio tant Sainte Cécile. —Ta vas me fair«» le plaisir «le décamper et pins vite que ç i ! dit-il. Nous voulons bien «l«*s martyr* ici mais pas (V imbéciles. Fit feu Machin quitta pour éter nellement le céleste séjour. Tl est probable que. si saint Pierre était juge, les bigames n'y couperaient pas, comme «lisent nos troupiers fran çais. Moi. si j'appartenais â la magis trature debout, assise ou couchée, voici ce «pte j<* proposerais : "Tout, bigame reconnu coupable sera contraint de vivre avec ses «leux femm«»s sous le nu'me toit et sons le mémo ciel «le lit. Voilà nu Ciel qui ne serait pas toujours d'azur ce me semble. Mais avou«*z que le Monsieur ne l'aurait pas volé. Iïene Deshordes. Lunettes.— La réputation des lunettes «le Hawkes obtenue «lans les Etats-Unis est un fait tont-a fait merveilleux. Elles sont connues depuis l'Atlanthpie jusqu'au Paci fique et leur réputation est basée sur leur réel mérite. L«*s témoigna ges «les hommes les plus éminents du pays qui ont eu leur vue amé liorée par leur usage peuvent être ponnés. En vente â la Pharmacie Thibotleaux. NOTICE Dos soumDsions cachetées seront reçues pendant dix juins pur i,. 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