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#futiufUe de Shiboduux Journal du 9me District Senatorial Publié!' ! oils loSamedis. F. SANOAN, - Editeur-Gérant. Pu»! Main, entre St. Philippe | et St. I.ouis. ABONNEMENT. On An—d'avance., Un Numéro....... $3 0« 10 ANNONCE*. '»Vi !! <T 'iîn carré de 10 lignes: 1ère inseitinn $1 Jjd •* " 2me " (t " »• Insertion odd. litt Teilte annonce indiqneot la profession ec Fail ross« et n'excédant pas quatre tijrae». par an. d'avance---- ; ........... Annonces de candidats, d avanee —. U t' Nécrologie, par ligne..........-- ---- 1(1 Toute annonce commerciale publiée a l an née sera insérée an t»lis de nO cents pur pou •e pour la première insertion et cents pour tes insertions subséquentes. Toute annonce dont le nombre d insertions i ■'est pas spécifié sera insérée jusqu'il nouvel | ordre au taux ord.nuire. i ATEI.IEi: TVT'OGIÎ «PlIJCI'K. I î ( T A T. V Jon ritKS: _ t Ayant tout le miitéi iel nécessaire.nous som-j mes il même d'exécuter tour les ouvrages ty p®°ra pîiiquos qui non« seront eonlîes Kes , trrls «Vavorat, et»ru*H «VaîVtiiics, onteteft ne | factures, tickets d'habitation, blaue«, ciren- , laires, etc. seront i,,,,. cimés dans le plus bret | délai et à des pr ; x modérés._ ! ATTABLES ( GaI LE LKS CdL OLF.S. Lettre du Jnge T. t. Manning au (îon verneur MeEuery en 1SS2. Alexnndiia, G SSept,, 1S82. Mon cher Gouverneur : Je viens «le recevoir votre excel lente lettre du 3 courant. La ru meur a la«]«telle v«uis laites allusion a dû être mise en avau', par quelque esprit malveillant ; je ne croyais pas que ces bruits pus-< '.si influei: oer personne et me suis empresse «le les corriger. A l'heure qu il est, vous devez avoir reçu mon acceptation «pie je , ss tien «le vom' «.'«nubien est general le désir de me voir r«*ntrer dans la vie publique. Je ressens prolornlémem Fin justice «Pii. «»•«; tut ^ AA iltz qui, n'hesita pas â me .ain* desc«'iulre du si> ge «le la pie.-uteuce .m 1,1 r.„„ s,,», è:,w. «ma, • v éjever de la Cour Supiême pour y quelqu'un «le sa race quaiol lui même remj)'i.-*sait les jilus hautes fonctions executive-, «le l'Etat. Malgré toute son adresse ET SON 1IAÎHLKTE DANS LES BAS SES INTRIGUES POLITIQUES, IL A outrepasse son but. Jamals PLUS UN CREOLE NE SERA GOU VERNEUR de cet Etat, ni ne REMPLIRA AUCUNE HAUTE FONC TION ET CEUX QUI ONT A COEUR LE BIEN DE L'EïAT DOIVENT RE MERCIER LE DERNIER GOUVER NEUR D'AVOIR AGI DE F'ACON A DEGOUTER LE PEUPLE DE LUI ET DE SA RACK. Je constate que la presse tonte entière vous fait ties compliments mérités. Je sms houieux que votre mérite soit reconnu quoique j'accorde peu d'estime à l'opinion des journaux. En cette ocea-iou cependant ils ne sont «pie le reflet du sentiment pub lic ce qui «luit être une grande satisfaction pour vos amis parmi lesquels je sciai toujours fier «le me compter. Je suis respectueusement votre etc. T. C. Manning. Cueillettes. Le Shreveport, Times donne l'a musant compte-rendu suivant des procédures «l'un club Nieholliste «buis la paroisse Richland : : "Le Bacon de Richland «lit dans i son numéro du 20 octobre que le meeting démocratique de McEnery, récemment tenu à Ray vil le comp tait 80 démocrates blancs qui s'or gamsèient eu club dévoué û l'ad ministration. Lorsque ce meeting fat ajourné on oiganiseï, immédia tement un meeting «le la réforme, qui compta 3G noir; et 23 blaues. "Une motion lut fait«*, d'appoin ter 5 membres de chaque ward comme membres du comité «le Cam pagne en faveur de Nicholls. Un nègre nommé Saiith, «pii a toujours voté le ticket républicain, proposa que chaque AA'ard fut représenté par un homme «le couleur dans le dit comité. La motiou fut mise aux voix et adopté â l'unaniineté, sauf un seul blaue «pii eut le cou rage de voter NON . L'aci ion des réformateurs des pa-1 rossses St. Landry et Acadia est très-significative. Ils refusent de supporter le candidat au Congrès, choisie par le parti démocrate. Cette conduite nous indique ce que feraient ces mêmes réformateurs si j le Gov. MeEuery est choisi par la | convention. Ces gens-lâ veulent, i | nous, Ile peuvent avoir tltl bon ré i suStat. Tous ceux qui connaissent quand même et à tous prix, le suc cès d'an individu et sont piêts â sacrifier les intéiêts du parti démo crate à leurs intéiêts personnels. Shreveport Journal. Des résolutions ont été passées dernièrement par le club Ni- j eholliste de Carencro, dans lesquel- ! les on appelle Mr. Leon Jastremski j nn escamoteur politique eu même temps quon lait 1 doge «lu général ; Nicholls. Ces resolutions, cio,)ona-| t L,1 ° n dasttemski ne verront pas j »« Ml bon <l'ii Oll OM I rtbll.ii* OU Ilieme f en , ps qu'on «léceilie la louange ai , ? | fCX-COUVeniCMlT. il OSt probable , i i l i l / | que les membres du club «le la ré ! larme à Carencro. ne se sont pas ! rendus compte qu'ils insultaient un 1 - l)0îl ^ nn V|}J j démocrate contre le • quel ou n'a jamais porté une accu sation de déloyauté envers son parti et que chacun sait, incapable d'au cune politique malhonnête. Dans la présente campagne sympathies sont pour le général Nicholls mais nous ne tenons point â le voir élever au détriment et aux dépens «le la réputation d'un houo 1,ns ruble démocrate, et nous sommes persuadés que nos sentiments sont partagés par tout ce qu'il y a de respectable et. de généreux dans notre communauté. Lafayette Advertiser. i i j , | ; l'iditiqut* 1:1 !ecu,ro <lü Shreveport : | Democrat, serait amené à croire que j : la paroisse Caddo a été affranchie j du j ou „ nègre et radical par les . ,. , . . . , . I sellls cflort s de trois individus qm | conduisent maintenant le ment en faveur du général Nicholls. 11 fut un temps où nu certain nom bre de nos citoyens furent arrêtés et menés à la Nouvelle Orléans, I pour avoir participé à la tédcmp in«.iii\e- j rn.i.niiu tion de notre paroisse. Est-ce que notre voisin nieia que la grande majorité «le ces aueiens prisonniers est maintenant opposée au général Nicholls. Shreveport Times. La Grenouille. i _ , . Les Anglais, avec cette urbanité n ' exquise formant le fond de leur ca _ . M i Ti ractère, appellent les Français: "mangeurs de grenouilles,'' et affir ment que la grenouille est la nour riture exclusive «le la population française. Certes oui, nous mangeons des grenouilles, beaucoup moins que les Belges et les Allemands, par exemples, et ces intéressants qnail iupèdes jadis "lassés «lo l'état «lé mocratique" «loivent être fatigués aujourd'hui «1e l'état culinaire. A Paris, les brochettes «le gre nouilles que l'on vend aux Halles se composent des pattes «le derrière, lesquels forment un manger délicat, soit frites, à la poulette, en ome lette, ou sautées a la maître d'hô tel. C'est un mets «pie la Faculté recommande aux malades. Les grenouilles se chassent on sé pèchent, chasse et pêche sont l'oc casion de parties fort amusantes. La chasse se fait au moyen d'une arbalète spéciale fort longue et possédant un arc résistant et très élastique, ou arme cette arbalète avec une flèche rigitle en sapin, flèche terminée tVun côté par une tige aiguë en 1er barbelé, et «le l'autre retenue par une ficelle à la corde «le l'arbalète. Apercevez vous une grenouille * vous l'approchez au plus près possible, ajustez, tirez, transpercez et ramenez dans votre gibecière. La pèche se fait de deux façons ; Dans les petites mares et les fog sées, il est bon d'employer une epnisette profonde et muuie d'un long manche très légés, vous vous promenez et cueillez sans trop de peine les greuouilles d'un naturel peu méfiant. Dans les grandes mares, ou pêche la grenouilles â la ligne. | Oh ! l'appareil est bieu simple : une gaule quelconque ét une ficel'e j dépouillé de sa coquille, une peau ! de grenouille, etc......l'essentiel j ggj de faire sautiller coutinnelle nient l'appât de façon d'imiter un ; insecte se débattant â la surface de p (j;lu j a grenouille saute dessus, longue de deux mètres; inutile d'avoir une hameçon, lorsque les grenouilles -ont saisi l'âpat, leurs dents crochues et recourbées ne le laissent plus retomber. Comme appât : un petit mor ceau de chiffon rouge ; un escargot l'avale et se laisse h-ver. 11 est bon «le tuer la grenouille j aussitôt prise et de ne grtn | e r j (pî( , |t»g pattes COIU Uiesl ibles. ? ^ • -m I » YI1irA f A A n «pnrrA EU pureif UU DUUrr«. j - Un nouveau moyen de s'assurer de la pureté «lu beurre. Un chimiste américain, M. Mc Coy, de Princeton, était chargé ré cemment d'analyser diverses espè ces de beurre; il les fit «l'abord i foudre dans des creusets, puis en ! leva la graisse par la décantation et laissa ensuite pendant la nuit te poser les «écipieuts dans son laboratoire. Le matin il constata «pu* le beurre de div de cest ,. reU sets avait été | mangé par «b*s sont is et que «leux cieusets avaient, été laissés intacts. Le chimiste prépara à nouveau ses creusets et constata ensuite que le beut re mangé par les souris était I pur et celui qu'elles n'avaient pas *• | voulant pas attiibuer i abstention j : des S0(ir j s al , hasard, remplit douze I j vt , m , s à niontre de beurre : dix de j lienn , e pur et deu , d'oléo -marga UK * | piMU , ant . hx Us les abandonna ensuite nuit nans sou labora j toire et, cette fois encore, les souris i , , . , ne touchèrent qu au beurre non falsifiés. 11 répéta son expérience sons di verses formes, et toujours avec le même résultat. Les souris ne man gèrent l'oleo-margarine que lors qu'il n'y avait pas «l'autre beurre à leur disposition* M. McCoy conseille aux per sonnes «pii sont dans la ne<;es sité de s'assurer de. la bon ne qualité du beurre qu'elles vendent ou emploient, d'entretenir , ^ , .... , i des souris en cage et de se defier du i, , . , „ , lieurre qu'elles persistent a dédai gner, lorsqu'elles en ont d'autre â mettre sous la dent. 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