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(%k!t /f * 'vC) \Cy Jotsraal ofliciel da Parti Dômocra!* et de ia Ville de laiisnra. MaïksVvWe, £8 Decern. 186JL ABONNEMENT. —$1 pnyabl«* d'avance ou dans le courant du premier mois.— Après le premier mois, le prix de î'abon «raent sera de $5. AVIS. — SI par carré de dix lignes au moins ponr la première insertion eil cha que langue, et 50 cents pour les inser tions suivantes. CANDIDATURES.—Quelque soit le nom bre des insertions, les annonces pour les candidatures seront chargées #10 pour la publication en français et $10 pour la «bli cation en anglais. Quand nos comptes seront entre les mains d'un collecteur, clia-ine eera augmente du montant chargé p.U' le collecteur, 10 pour cent. Îj^Iiemei'ciemeuts à M. 15. P. Dela vallade pour les journaux qu'il nous a apportés de la Nlle-Orléaris. ^ Revue. — Il se prépare y rr.grand jour pour les Avoyelles, c'est lorsque notre régiment de milice sera sous les armes et couronnera les beaux coteaux rie ia cou lée dee Grues. Le coup-d'od! s.-ru I n jiosant et toute la population se donnera rendez-vous à cette fête militaire. * Le Col. A. D. Coco, dont l'énergie est s ! connue, convoque les dix compagnies du régiment formant un total d'environ 1,000 hommes, et il,' s doit inspecter cette colonne le & 18 de janvier. Nos soldats citoyens se distingueront ce jour-là. Ils ont déjà l'habitude de la marche et des mouvements militaires ain si que la|familiarité avec l'arme. Ils se feront bien juger et le Col. Coco aura la satisfaction de recueillir aïors a les fruits de tous les efforts qu'il a faité depuis le commencement. . ! E3F*Le déménagement* de l'imprime rie dans son nouveau local au High School, lundi ; le réveillon, mardi soir ; la fête de la Noël mercredi, c'est plus qu'il n'en aurait fallu pour provoquer nos excuses sur la chétive apparence de ce numéro. Nos compositeurs ont fait Ch»isttnas et nous devons prier nos lec teurs de le leur pardonner. La Noel.— Les saints exercices de cette fête religieuse ont été suivis à l'église catholique de St-Paul,, des Avoyelles, par un immense concours de fidèles. Rien de plus touchant, rien de plus émouvant que le spectacle de ces vrais amis de Jésus venant offrir leurs prières et leurs adorations aux pieds du trône de l 'Agneau sans tâche. Du chœur, des voix pures et vibrantes se sont élevées et ont rempli l'on ceinte do leurs chants sacrés, et la foule écou tait dans l'attitude d'un saint vecueiller ment. Notre vénéré curé, M. Janeau, inspiré par la grandeur du jour, s'est élevé ft une grande hauteur d'idées, et a, pour ainsi dire, constamment suspendu à ses lèvres son nombreux auditoire ; son e'er mon a profondément im pression« .l'assis tance tout entière. Puisse le souvenir dé cette sainte jour née rester profondément gravé dans l 'âme de nos concitoyens, fortifier de plus et conserver les sentiments religieux dont est fortement animée notre bonne paroisse. NASHVILLE. Nashville, 21 déc. — Des nouvelles dignes de foi, reçues ici,* annoncent que les Lincolnistes, au nombre de 9,000, ont traversé Green- River et marchent sur Hopkinsville, Ky. Nos forcés, que com mande le gen. Clark, n'y sont que de 3,500 hommes, mais des renforts ont reçu l'ordre de marcher à sou secours de Clarksville. Un passager venant d< Browling Green, dit au journal Union &Americau, dans une lettre datée du 20. les tro'opi s du Ntür«! s'ttVancerOv.t sur ce point sur trois côtes à la fois, et au nombre 60,000. Depuis le commen cement des travaux aux ponts de chemin de fer, plusieurs ponts volants ont été jetés sur la rivière, et sur lesquels les wagons et les canons peuvent facilement passer. Le gén. Ilansman, qui est a 10 milles de Green River, a été puissam ment renforcé. On pense cependant, qu'aucun engagement général n'aura lieu au-delà de Bowling Green, où les forces se rencontreront et ou aura lien une bataille décisive. Des nouvelles d'Easlem, Ky., disent que le peuple accourt en nombre immen se se ranger sous les drapeaux dirGeu. Humphrey Marshall, à mesure qu'il ap proche des "blue grass regions." La Législature, du Tennessee a ajour né >m 20 janvier 186?'. ; RICHMOND., ! Richmond, 21— Une portion de notre armée du Potomac a essuyé une défaite hier. Hier matin, à quatre heures, le Gén. Stewart à a tête de 150 liouïmes de cavalerie, l'artillerie de Jeff. Davis, le 1er régiment du Kentucky.- le lOme de 1'Alabama, le lime de la Virginie et le 6me de la Caroline du Sud, portion de la brigade du Gén. Longstreet, partit de Centreviile dans le hut de surprendre et dé capturer un corps de fotu rageurs yan kees à Dranesville, à 16 milles de Cen tre.ville. Eu approchant de ce point on s'apperçafc épie les fédéraux n'y trouvaient au nombre de 15,000. Le Gén. Stewart les attaqua avec ses 3.000 hommes et après une lutte qui dura une partie de la journée les Confédérés furent obligés de se retirer. Nos pertes sont d'environ 30 tués et autant de blessés. Un officier supérieur a été tué et un autre a eu le bras emporté. Quatre hommes de l'ar tillerie Jeff. Davis ont été tués à leur jiièces et plusieurs ont été blessés. Le général Stewart envoya aux quartiers généraux demander des renforts et hier tout le reste de la brigade Longstreet, comprenant 14 régiments est parti pour aller livrer bataille aux yankees. On n'a pas reçu d'autres nouvelles aujour d'hui. Camplhîftlt infrité. "Le Riclimoud En quirer, d'une date récente, publie une iu lenvssanre correspondance échangée en ire le Grand-Duc Constantin, grand-ami rol de Russie, et. le commandant M. F. Manrv, de. la marine des Etais Confédé rés, dernièrement de i'Ob'serValcire des Etats-Unis, à Washington. Dans sa lettre au commandant, le .Grand-Duc qui est le plus célèbre des princes dé l'Europe par son intelligence et par ses sentiments libéraux et.progres sives, dit "La nouvelle que vous avez abandon né un service qui doit tant à. vos grîûds et heureux travaux a fait une bien pétii ble impression sur moi et sur n>e.- com pagnons d'armes. V,os' iidatigubless .-re cherches ont révélé le- grand s.-uvi des lois auxquelles obéissent, les vents et les courants de l'Océan et placent vôtre nom au nombre de ceux que prononcent tou jours avec dés sentiments de gratitude et de respect, non seulement les hommes professionnels mais tous ceux qui s'enor gueillissent des grandes et belles œuvres de l'esprit humain. Je n'ai pas besoin de vous dir.« combien voire noyi ist con nu en Russie, et que .quoique tàrlares, comme on nous appelle encore, quelque fois, nous avons appris à honorer en vo tre: personne des services éminents set désintéressée rendus à la science et a l'humanité. "Déplorant sincèrement, l'inaction dans laquelle vous a plongé la, tourmente politique qui agite votre pays, je crois de voir vous inviter à établir voire rési dence en Russie où vous pourrez; vous livrer en paix à Vos-occupations favorites si utiles à 1. humanité." Le Grand -Duc exprime ensuite les re lations dan', lesquelles il désire qtt- le Lieut. Maury se trouvé envers !-• gouver nement de Russie et fait, voir qu'elles sont celles d'une entière liberie. La po sition qu'il occuperait, serait r-îi un mot, à peu près célio qu'avait Humboldt en Prusse. La réponse du commandant esttelle qu'on devait l'attendre de lui. Son pre mier-devoir est eii vers sa patrie. Quand son Etat, natal est en danger et réclame ses services, il ne peut aller goûter le calme et l'aisance sur une terre éloignée. Dans de semblables circonstances les ten tations de l'étude même et de la science doivent cesser de parler an bruit du ca non delà guerre. Ce n'est pas le moment de partir lorsque l'envahisseur menace vos foyers. Une fois la liberté et l'indé pendance assurée il exprimera comme il doit sa haute appréciation'de l'honneur qui lui est fait, Jusque là, il ne péut qu'offrir ses plu« sincères .lemerciemenis. La lettré et la réponse sont dignes l'u ne de l'autre. Perte d'hommes. — A Austerlitz les Fran çais perdirent 14 sur chaque 100 hom mes ; les Russes, 33 sur 100 ; les Autri c- iens, 44 sur 100. A Wagram, les Français perdirent 13 hommes sur 100 ; •le-< AutriC iens 14 ; A Moscou, les Fran çais perdirent, 33 et les Russes 44 sur chaque 100 hommes ; à Bautzen, les Fraeçais 23 sur 104 ; les Russes 14 ; A Waterloo les Français 36 ; les Alliés 31 sur 100. A Magenta la perte des Fran çais tut de 7 sur 100 A Solfcrinp les Français et tes Sardes perdirent 10 et les Autrichiens S.sur 100 Uii t'ait dfgné dé : remarque c'est q' cette dernière bataille l'année qui avait la plus mauvaise artillerie fut celle qui éprouva le moins de pertes. Exemple il suivre- La ;i Légisîature de l'Alabao-a a voté $3.000 pour armer de piques et de bowie-kaites lu»: ivgiuu-uts de milice de la Mobile.' Renifle f ; on f r3 ia.ifêvre enTrUsiva.---Un des meilleurs curat it's de la fièvre en frisson è'st le thé iiir avec l'écorce de saule pTenfenr. Il guéiit ta fièvre dan It s e;tS uft;mes éù la quinine a dto iei puiesatUg et n'a rief des eftéta désagréa bles et sauvent pénibles do ce médi 'c meut. Inaction de l'armée Fédérale.— Il nous semble que l'espoir (pie le Sud se divise Autrement comment le général McClel lan, à la tête de son armée de 100,000 hommes ne marche-t-il pas pour disperser les rebelles devant lui ? La vérité est que graduellement mais ..sûrement le gouvernement a rigquis la conviction qu'au milieu des t àilines et dés bois delà Virginie "il y a des forces qui ne sont pas inférieures aux siennes ; que ces forces, qnowue dépourvues des moyens de tenir la campagne d'une manière effective peu vent, cependant, lutter désespérément pour maintenir leurs positions et que la prise môme de ces positions n*avancerait en rien la réduction du pays. Quoique les rares partisans de la guerre qui res tent encore en Angleterre persistent à croire à l'existence d'un parti unioniste dans le Sud, on n'y compte plus de l'au tre côté de l'Atlantique. Une armée comme celle que commande le gén. Johns ton eu Virginie 11e peut être soutenue que par tout le peuple- de la Confédération, sans exception, et le gén. McClellan "mon tre-bien qu'il apprécie la force de son ennemi puisqu'il laisse passer des semai lies et des mois en préparatifs et en recon naissances". L'automne est passé ; l'hi ver, qui est toujours très-Vigoureux ét très pluvieux en Virginie, passe rapidement et pourtant l'armée fédérale n'a pas encore ouvert la campagne. Ces belles troupes, aujourd'hui bien mieux équipées pour la guerre qu'aucune de celles qui ont jamais livrée bataille, aux Anglais sont retenues dans leurs retranchements et nes'avaucent qu 'avec lenteur, avec précaution, presque avec apprehension. En attendant, les fédé raux sont cernés et resserrés jusque dans leur propre capitale. . Les batteries Confé dérées coupe et la navigation du Potomac et, quoique on prétende qu'elles ne sont pas tetyibles si l'on tire dessus à mitraille de l 'autre ioté de la rivière, toujours est il • ;■ i ■ 1 jusqu 'aujourd'hui elles ont empêché Utt'nn m: -reçut rien à Washington par voie du Potomac. Svuv différents points de la rivière les batteries des Confédérés sont ivop formidables pour que les navires de guerre fédéraux, osent s'attaquer à elles, - [Traduit du London Times.] ÇlPPour les ■ retours de l'élection de ftidi, voir notre partie anglaise. - .rl i^^JKKnXSS&Xauywr ÄW« î-^FAu inonient 'de mettre sous presse ■ions apprenons d'une personne, de la Ri vière-Rouge, qui ~ l'aurait appris d'un hate.iiu montant la rivière, que le Nord devait ae,cédei|à lajlemande de l'Àngle ferre en remettant Mason et Slidell et leurs secrétaires. Nous ne garantissons pas la nouvelle. ,'^v"ty ^ General. IVllLK'B DIîS AVOVBI.LKS. I I iMilice du Pégirnent de. Ai',--, el!, s est requise pur les présentes •i » s.' trauspoi'ler dans lès plaines de ! coulée des Grues, piès Idarks iile, 1 Samedi 18 janvier prochain 186:2. à .10 heures du matin, pour y exécuter 1 - manœuvres do Régiment. 2. Les Officiers du Régiment et les Officiers des différentes Compagnies du Réfiiment se réuniront le Lundi 13jan vier prochain 1862 au lieu ci-dessus "men tionné pour -reçevoir des 'ordres concer nant lesdites manœuvi-es. Par ordre-de A. D. COCO, Colonel du Rnt. des Avoyelles. Succession de Prudknt d'Autlys , dé cédé. ' t ; „ a y 1 -v ; ' I Les personnes ayant des réclamations contre la" succession ci-dessus, sont rto tifiées d.î les présenter an soussigné, dûment es-sevmentèes, et celles, qui doi vent à ladite succession sont informée« 1 d'avoir à régler promptement, sans quoi il sera pourvu à en opérer le règlement par des mesures légales. H. & S. L. TAYLOR, Avocats de la succession d'Artlys. HVÏiisce. Le public est prévenu par les pré sentes que je collecterai strictement et, d'après la loi, les amendes imposées contre les personnes qui négligera'ent de paraître aux revues. Bureau du Shérif, Marksville, le. 29 novembre, 1881. - , P. Ç. SOfiltA^D,,. " - Sîiérïf. AP PÏ5Ï.ÏCAW ■ ''W -a-j => 130.. V ..-.ÜÜE; ROYALE.. ... ...130 lïiiçoignùrè tlé là jk'è Toulouse, '! N ou velle-Orleaiis. Ï.Vovau'vft Française — ET — T a PKBJi'T. \ .5" V . (ÛîOFj tnformifl messieurs les Ha ■itJLi IVûards que »ïà eh u'x de Römäns Français a ..'im complet de la vîllç, aiûsi que son vi'OOK'dc : '.; v '■ '■ ■ : ; > ■e ■ i T;.- - i . sun: ; ? m»' ; qu'il vend à des conditions • • Importateur de vins, eau-de-.vie de Co gnac, liqueurs, fruits â Veau-de-vie, fabricant Ht distillateur de liqueurs, brandies et autres cordiaux, J. CAZAUX a i'honaenr de prévenir ses uomôrèiix clietits qu'ils trouveront toujours dans ses magasins : —Vins ordinaires et vins fins de Bordeaux en barriques et en caisses. Sau-de-vie de Cognac et de Montpellier. — Whiskey. Moup.ngah.ela, .Tuscalosa, et vieux Bourbon — Rhum de la Jamaïque — Genièvre et Curaç ) de. Hollande — Pèches, Abricots, Pru nes, Chinois et Cerises à l'eau-dç-vie. — Vérita ble Gui g au let d'Angers, &ci, &c. Les liqueurs distillées ^ dans sou laborato^ro contirinent-, 'coimné p'îtf Tè'passé, ä mëi -ftérl'es safl'rages des amateurs, — Il a toujours en main : Ctêmes des Barba les, île Vanille, de Kose, de Grtoseille. de Parfait Amour, d» Marasquin, de Dautzig. do Noyau, de Yespetro, &c. &c. 6 oct. 18G0.—la. McSTEA V A LUB & Co. [successeurs fie IMPORTATEURS DE- MARCHANDISES Hautes Nquvuautes . — Articles pour habitation et tout ce qui regarde les mar chandises sèches. 95 nie Casai, rt 8Si et 88 rue Commune. N OU V EE LLE-0 R I,E A NS. el» IJ« Il OWN. AFOM« sreeRSSKca »u : '• JEAN MA ItUÎ LA MON. . Rue Coati No A'?.. A LE plaisir d'annoncer à se? amis et v public qu'il vient d'acheter le magasin do M. Jean Mat!? Latnori, et qa'.oi) trouvera constamment durs soa_«iagasiu Vins ordinaires, bfauc et rouge., en barrique et demi barrique.' Vins fins en !»i«3e. Dépôt du Ohatnpamie de de Joseph Ferrit r Cognac,- et liqueurs. Fr'aiis à i eou-de vie. Absinthe. VerrnouUi. Madère. Mayorque. Litters. &c. Whiskey -or«Jmaire; ßourlwu: Tuscatoosa; Monon^anela. ordres qui lui seront adressés de la campagne seront.exécutés, avec le oius srrunU soin aux prix les plus bas du ma S uccess eues os Dgl3LANC & FAUCHEUX. IlSPOUTATSUilS ET SIAIlCîl .DK dUllyGlîLLEElS .5«afe SJTCJSJTJVJÎ -HT 'J!Tujwaaiia. No. 03, vieux No. '38, rue- Vieiilè-.Lcvte ENTRE COSTf â îttHNVlt.LK et 12 et 18 rue Conti Noev£r.T.E-£» ai.«A 38. lerdéc-laB. ** nu RT DU Gichieral BeuHreg-ant, Par l 'ioret.r.î A vendre par M. Henri Dnpiïy, au Bureau de Poste de Marksvjiïe. as ; >JL. .2 S R"É5 ! M. i O H 'L Ii. I£Suoafcsïviï* rP'nI.».; le«, Prévient fe» .ti'ds i t le «• eu Je. (xnn*mijïM'!tf.u'>Iiicanteur i'ui ■ so! iieife i"speetùt : nw ni^ié :<• ; uirr:.:i!..- i- >• per •«)ime3 qui pourront avoir besoin de é-ee s-er vices. .■ ■ ' Be. ,',u_Rouee. 1 S, mars. 1861. E D 0 U A Fi d DE 6 B- X ENCANTEU Ii PUBLIC A '.'honneur de f.donner avis'au. pnl.dic qu'» dater cle ce jour, sen o°scc:«ticn aver VI. Léon Gauthier cesse, et qu'il oîfre person nellemeüt ses services à' ses amis comme No taire public et Encanteur. Il .remercie le pu blic du bienveillant patronage qui lui a «t< accordé jusqu'à ce jonr. rt it fera fous ses ef forts ponr continuer à le mériter. - Marksville, ce 6 april 1.801. EDOU/.RD DE GiiNKRr-! 1 B" 1 L ' ■ 5 Sa is is l'iS 2 '3 aox Opeloii-sa^j ILtv „ M. EMILE 'CLAUDE ayant récent •aunt acheté, et complètement réparé . ; .-m ménagé . cet Hôtel avantageusement' count situé.rue Maine, .aux Opeiousus, .«0,aciu.dk ment prêt à recevoir !es voyageurs et dee pensionnaires permanents. Une écurie spacieuse et bien aérée est ad jointe à cet établissement, bien approvision née de maïs, et de fourrage, et. où ies soin? les plus niinitieux seront prodiqnçs aux che vaux des "voyageurs.' , «Ha table sera tonjonrs -pourvue de mets sa - voureux et abondants. N-i peine, ni frais nr seront épargnes,, du côté du . propriétaire, pour complaire au pub'ic.çt.pour gagner une part df-sa faveur'. 21 jaiu — la. HQTEL PJUê- RRAMK-^ Huè Washington. LE soussigné al'horfneiir de prévenir voyageurs et îe pnbliti qu!il vienè-de faire de grandes t-éparatiwis à son hôtel et qu'il vient de meubler d^ chambres<qu.i ne -laissent rien â .désirer- ponr !?; confortable* L'a table sera toujours abondamment pour vue et il mettra tous ses soins à satisfaire ie voyageurs tjui honoreront son établissement de leur patfppage, . Vasfé eciïrîé ét' gav^ne. Chevaux et^vbiSnre 1 » -poar -tra'nspf r '.er la ' voyageurs.-- ■ ' ' * ' / " ■ ■ Piix très modérés. ; . iVDO.ra'IIR P.RAXK. MUSIC ï MUSIC i! MtîSfc. m JÜ Xm B h l -ft"* S y 66 . jY4VJV. - HOVAL StBBiST; H E HZ. A^' D; LtE Y E L • '..3PiA.ïVO»v-vr LEON GAUTHIER EN 0 AN-TEU II PUBLIC. A l'honneur de donner avis au publie qtl'à dater de ce jour, son association avec M . Edouard tîo Générés cesse, et qu'il 'offre per sonnellement ses services à ses antis conime Encanteur public. É remercie le public du bienveillant patronage qui lui a été accorda jusqu'à ce jour, et il fera tous sea c-fibrts j.-our eontinuer à le mériter. i S'adresser à sa residence, sur le Bayou dfa Glaises, ou au bureau du Recorder, a Marks Aille, ou au bureau du Pélican , Marksville, ce 6 avril 1861. I/RO-TT OAV UIlFTir. Pectoral tie AYEîfc . Pour la prompte guérison de la Toux, Fluxion, Enrouement, Croup, Bronchite, Consomption, et pour 1« soulagement de tous ceux qui sont en proie aux maladies, de Poitrine. Les cores produites par ce remède sont nombreuses, que chaque partie du pays pos sède plusieurs personnes honorables et con nues qui doivent leur guerison au Cherry Pectoral dans des ca désespérés cle maladies des poumons. Sa supériorité ser tous le? au tres-imdu'iimcfits eniployés dans des cas ssbî ■blabbs t-t trop évidsi,tè p ; .«r one !e p .biie résiste üfi seid instant à Ici donner la "prél'e re;;-"'' dues les «iffeciioi;s ("uinionaircs, si t're qi'cnto;-. dans nos ciimtrts. Los mastic* qui font. enip ! <<y ont fprouvé trop de >oa'age ruf nt peur oubiier te (Jneny l'eetcra!. ^i iia^ »l'Haï jfP Oe tliantiques cio Ajei 1 se -nt -u' b VlV.nO'è .1 IM 4 Vlj, s V ' {>?• ; il 5ûdK i .ri-' j »Ol« I iuiu r «vir ci:es. ^!ko oi'.t î.k Vertn Ô-- net'oyer et -i i'uiifiei tout i'u;g;ii iUsine du cofps li.niäöiü, en ciikvaut .tous to gerhres jri-.iibides c-t ' erj ree^tivelent ttiùw germes (i. ut '. halite. K» eonstqueuce, î*ir> v;dido qui est tout. e.-uvV-, ; « ir ^ del idt- phy sique, Ôst t ; ; t ! î S'.jrnvi- de iv-> nuvis r ?e- fofî-i« et sen enersrie t,»ar un n-iacde au?si simple »t aussi agréable. On 'rouvefj ÎVÎ.nanach aniérîeair, une '..e- -. !'•■ !< i:»ei-wons produites par ce rem v te,, alte i uee ia iaauière de l'employer duns la •i.'u.fistî'.ûtioM, t.'enHalgie, mnas de Te . . èiattséé, tnai;*-: d'i.r-î'-'S'i-'i.s. Per!« d .:'.p«-ti!. ,î;ii,id,«^-, i t c.itl'ti dans tous Itï- ca.< e-Ù i'orgar-i -ii 'C r.e i 'ai ,e-.i.>.;i .i }•>•« b;e»i. ("< --.i.-!. r • : se. ; et rh i u ].. a U. r; Preeu.-e f.«r*i--r . J Ayr- r S; ch.. , ilu ! )c. !vi..g, et-a V.unsaru,' à !•- pktr-m;k ,: v du !>r. Utvifbsfjeb. vi yum *;„> j . -"i? .. '* 4 ?î i ■■■fi m m fut W* _ &&€.■$£■■ i'r&r p$ibiî<\ QON" bureau es, Ma.rksviîV «e, 'ouretia Oda Gre.%T >' L'e.dger Gouvill"^«! Tuet. affaire deV^nte laissée* ai, bureau diî G-rcSe r recerro !<■ '.»romp* s-.:tei;ti ■*: -i-j l'ei-eantene <4' ï? - f ' r ? û - -■ * 'O-f-»]n I de ! SO.V lfOl-tJE, î .es '■■■• - -'-.'h leKpevittens -tneti leer»- « v r,«?«cu.x itraj> .le Ni Pafo^se dos 'Avu .yeUc-3 et rctsx ;?• - ivre.- parti«» -i; 1 l'Lt •in'ii-"- atiron' o-o:>. i ü -. U ji -ut en main un vaste îjsse.rt.ïmcnt de Marobitnrtis . es sèc !:,-s. lbige fuit , chat'witir et f-ouîi'.'tv. i Si ;; v.- aut Uo- uoti.br^nx sacrifice qu? se font ions ïos jinirs dans les 3S2ÎGANS de New York c? «le Nun felle-QriéfiKi'... qir'i'.t? vendront à des tatiX fabu'caseaumi has. IIa espcfëbT, par lu ïïiodioTté de leurs prix et l'attention (pt'-Hs. çotifont è î-atàfaire lœ ordres ijit'oa leur -keinere. mériter le patro nage qu'ils sollicitent, da publice -&hJ CU 0> Jl~P jfës POUIi L£ S JEtJ.NÈ« FILLES .MJle ß L A H A 3Î 11 L E T, L'irecîficc. LA {»ouspignêc vient d'ouvrir, .dans une salle du" lîigh Heimo!, nne ecole p<»br !'éâ jause* i'iia,Ks. En e rendant 'à k requête de plu sieurs nu'.r -ei, ;ie faraiiie de ?îarksviiie t elle t ar -vins, mériter ! 'encouragement de, J.'.-sUs ins qui voudront bien lui eonià-r jours jeunes demoiselles. v il 1 X : . .. f Pous t .BS commbnçante3 : Rfndes.(îat)s Une Langue. . $2 par moi fc do. les d'-ux Langues. • S3 do. PÔC -K UK» »XABSKÖ SUPÂBIÎ'l'RBâ : rjtudes'dfi^ une L:tngiie. . . $3 par moin do. les deux Langues. . $5 4°. Sj.iiu CLAIIA MAILLET. X2.L 1 ,1 TTLXTj .'<V / - - - A r È23 h 5* i s 4 — Ä lissier, .Rue S/-/".©v --is, en face. l'Hôtel St-Louis , r«vtoj}ffnandö h fous les lVubitants qui O eni ii. s-tin d ; ea wm ïkhU. ■ Ii a conâteni mentv«vmagasin uît assortinieurde fusils, de t p»v.i'uî?j'<!S ,iahri!.jiiçs,.à des prix très.modérés. ' 1.1 raccome.tode, dans ie pl 119 bref délai tou tes ! es armes qu'on lui conijera. Ou trouvera dans son établissement : 'Pir an Pistolet, Tir au Fusil, Tir.a ta "Carabine. 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