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Cl HT no JV 3Jonrrï îiKïJîiûwrtSinîrî-, ifjUHauir, $l)latavimr -ILitttvaivt & tHtntvltU $ 4 pour ruinés, imn;.mC i:t i Luui: r.vu liih.ei: Divr.n.N.w. eveditelu et rnoPKiETAïuE nr. u mineuye m: Montreal f'jyabkê faTAs, PATR ? 13 3 3 3 - J I l'UrUTtit, de la N je: e-é r em.J FEUILLE D'AUTOMNE. X m.tuc rA-Uoun. s Psr tr.fce et uTrsst, j s.-are iop.ré lu pte uourantj Jme l'Automne, m m sncoiie: i lUpér fi ! couleurs kk me reu mumKrei vr pleur 1 se tsMesoS du néant de 11 vie.... t'a riêp s. In champ dej ctn e-l Jevea K, Luth itfisiUe, tus rssTea.iS u;-oJu La seins tvj loi q mipje stc pla.utit, 1j la vtffu M meuii ssnslut sur U r.w, t'imme I faillie, sr- on long soupir, Tutti! la Tar!e tourUll.snie, , Hon lro en gruisant ojniple rhT ji.jr ta rué, 17a s enoor, de fleuri Je ma eo.ironn Jji mo exJ je pns moa trt lico-tuii, A et ofttal, tedlsnt et partant (mm um roe épaarmie, A'it projet de benneur, chiniêre v an.viNe Je pene mon siosata', il uia aruiUe reroir bu 1 Leva it Uun s ! jovims tressa, yaax, douU damant firnr, Và M ..-be r-s-e, empreinte ài ienHrea P!s ! mon sur i freof.t vertoeil Iw se allé J"a.raa jeté l'omit unruiio, Kl sur loo piii-oc mmniail las) crot tour toujours, W uvt Léonie Ma U m fm frewl qi 1 brouillard pii dan Pair en h W, Au l fi ti le rtvnt", lourd man ira a, se la!aac l lirufml da enn.'i r.jvre mon exiienu.... V s'. je 1 un r)0 a! le il veut aiaitJouu. Aa ! putir'HM n lungie'iu Jrâ iter ur la terre ! t'A q - laarl tfenJra te joMf fine la!le niy.lere, CKi par le k-rand muta iin k Jnnrej Iota. J'irai pmidre rann l la tipe iW, K-rer ùan le flanc de la mie, H ni' taiiwii illonaint la mar dr rt:en lie (V) lier a?ec le. earn, flotter dans U vajiciir, Kurrne d.oite, taoutnbra'ej papvlle Pein-etre tlot, peut-ire l'une d'elle Saura. . qu'tm nomme bonheur I LITTERATURE. I.E l'ELOTON DE FIL. ÏAW.arîï,ii 3c air. eu plotf.t l'immense latcau dans lequel Mme Poitevin venait de descendre avec l'uJchérie était akrn une véti 4able noaveaoté. Cet sortes dtabliscmen, loin 'dieç ansi nombreux que de nos jours, suf!ia.ient à peine aux betoiosde la noblesse rt de la bourgeoisie parisienne. Le luxe n'en était pas non plus frerlrechrché ; nne simple baignoire de ler llanc, un -miroir et une chaise de noyer en formaient l'ameublement. De vieux seigneurs jroutteux, de jeunes seigneurs eu vogue, des femmes plus curieuses de la mode que de leur anté, des marpiis, des oisifs, des Étrangers u formaient la ciiemelle. Les bai iu Vicier ae vinrent qu'a la suite, mais ceux de Poitevin furent d'abord aussi ré iebres et antsi achalandés. Les chais a por teur eu beau vernis-Marin y alTluaieut ; les crosses y faisaient rag! au printemps. Il y ut surtout ne circonstance qui donna une ve ritable renommée a ce Veins de Poitevin : ce fut le feicide de Mairobort- M. Pidaosat de Mairobert, socr?taire du roi, secrétaire des comraandttaens de M. le duc de Chartres et censeur royal, s'ouvrit les einea avec uu ra soir dans un lain qn'il demanda lets U nuit chez Poitevin a la suite de farrét porté dans J'aiTairt de M- le marqws de Bruuol Cet acte de désespoir une fois connu, au lieu 3e donner à Poitevin ne chance de discredit, ssura tout au contraire sa fortune.. (Vue mort li servit d'annonce rt de prospectus wjiqtie ie prospecta ne l'tt guère alors aatr e hose que Teaseine elle-mêtie. I-s Demoisffles renformées dans cette pri son flotunte reçurent Mme I'oitevin avec les démonstrations d plus grand rearteri. L'air lésolé de Plrhérie les toncVu, ce lût qoi "Viendrait lai oflrir ers services, "Allez, mademoiselle, il ne faut pas croire qne vou, Vc,B, ennuierez parmi nous, ah bi'-n oni! nous y nmuront totiies bon ordre ! lui di-rent-rlles. Pauvre petite! elle est toute dépare. jQlqae uilleuse de Tont-Lévéque, je J CoonaLi. ..Vest ma ne CC. nrerrnmnil .ë.K.ervr.t C -Mre. Portcrin; i'enfeods. racsdemorselIciL mitt . . ' - J'Je toas respectiez ma aiece. parole coupèrent court aux conjectures éueeti0Bs quand M. Poiteejn, son ton- de Coton Sur l'oreille, entra rSn. lo .!(. ....... . PoiliM in Je ce titre J nirtt i bt iieoii tin t.t I Vuu lit 1 1 rt.M r tyi" M mo l'u.trwu eut arrorô? rif llt-aMllf. l'ulcht-rie, )uai.d 4 ' iotu lie lui pu u r J tvinati. iu i,u'!W ma. tir l'entrai na iemei.t ilat.i ui:e jit ce k. i- 1 -l u'uivi J l'rut.uw rt-Lt, 'ru: ut Jv vr lun tut', bon ans avoir jetti Jr U jcuuc t.l.o uu ui:;ii'.ui;, it u.j:iil',t.v, Vu l al)t(iri rraril Jo protectunu , Kivit.vdiujtjt ti t.an ut tio Je (iI.ti- v,nr un Tu n." in'at p-t aou'.i tneîit frefltrin ch rf ' !u 'u jlt'irr. l'ald. rie iut ui-li xr feu fetum?, i!it Tt t'jitr avec nue nmue jui tni- J'vtii Le u tn W wt U vi u ur iilt k (-trt ch.irm.iutc. im-Uo ct donc cittr 'l unie louvuu jui TcH jia.i, .,, t.tc t4 l-rllc f liUul f rjuutJi lVntcviu d'un air curieux. 1 tn rl,t 'autif jui, l iu t;u't Ile iiVu Une i. une fille que j'ai rencontra d.u: U- tul"l"11 1 ' m i.-, tiu'U Lnltie tu l.o uu curhe de Caon ; jo h nomme ma nu re Pour ' !,oul lc.,lilul'llJ- 11 ' ' Ult -ur, ..,.,. 1 .... V...,. nr. ,. U mrju au-0.-,al.t d .l..cai..i. d..- ne t.atlVxt.or, M. l'oiteviti, rt uii.d M. . N.x-t4 ou .M. de Froiac ieudra... i Kanrr-toi. rw.uirttr, i aurai .ur rrtte ! jentic fide les plu raud soitis ; afin de l e- 1 ' ...... ! rBi r u peu, je lu eu iw iuer:ie lui Isire re- - ' vêtir cette t ile puloiiaie Ll.tticlie hii-j di Mi-; . .'. J . ' uaii a notre îilli-ule, la pet. te Julie. "t qu'elle rt fort ; lie Ct tte jeiiuc fille, t je m votidram pas qu'elle tubit ici le moindre li -i.i. ii . .. ''reiiitriii. il noue uoiii vien k l îles jeunes : c . i .t i i secours et d. otî.ner. peu c,.mnioU...Man. jarn in : tous ce Le:tu mexi-urs n out ju a bien e tenir; j'eutetid que la nmrule koit res pectée dans mon ctablinacineut, et M. Ltuuir l'entend aiM-i ! (''est lien mon nvin, moDaieur Poitevin ; maid il ue me faut put inoÏLa, cniiveuez-en, une julic fille pour mademoiselle de comptoir. (lt plaît, cela attire, et je crois que maJe moille l'uleliene.... D'ailli-uis, reprit nthe nieiit Mme l'uiteviu pour tu fiuir ttvec le M-rupults de aiiU ipoua, c'eat nio aîîaire, je iii't u chure ! i'uleherie avait aset eiitendu de cette cou vtTNatioii pour concevoir c.ut lipiii inquiétude, mais let prevenances de Mme l'uiteviu furent vi extrêmes pour tiles, et ou !.t tiar, d'une façon ki douce pendant ji a premiers jours de cet apprentis-. i;-e, que la pauv re l;l!t en lut tou chée. Sa place i!e demoin-llo de coir.l loir li'e. tait pas diliicilu a rnnj!ir ; elle recevait les ca chet de bain, surveillait le linpr de l'i tabiisne ment et choisissait les Ih-urs ipi'ou deva.t met tre dans les vaes du peristyle. (Ju la reu.ai quait a la fois pour tu bonne conduite et sa tournure. Cependant ses Compaq nts, qui n'u vaient pas taide a devenir kcs rivalen, ne ven geaient de U nouvelle del nrquee en ne lui e pari; na nt pas les ttatts cruels l- d Liions et lu I médisances. D'un autre cote, les jeunes sei gneurs que Poitevin avait pour pratiques la re gardaient pri sque de façon a l'inutiuite de tout le danger qu'elle courait ; mais uu caur pur ue soupçonne jamais ie vice. Les uns arrivaient le matin chargés de V.u quets non e de rubans qu'ils lui oïliaient svec la grace des bergers d'opt ra ; d'autres lui pré sentaient d s boulnjuni" res eu berganiotte avec une multiM.dc de complinn ns i l de temlifkM-s apprises par caur it que Pu le h'-rie n trouvait que ridicules. C'était autour d'elle uu botir doiinemeiit continuel d'eluges qne r-a beauté 1m attirait. Pultherie avait seic uns et n'unit d'aucun artiûco pour relever 1 x sitraits nntu rels de cet age ; elie .e serait fait rupule de paraitre belle devant ces a lorateurs. Il ne lui venait tw me pas a I esprit qu'ils pu iit admi rcr une pauvre fi lier comme elle, et e pendant ton air d'ull.ibilit charmait tout le monde, li-f plus huppes de la cour comme h s bourgi oit., l.lle m; teiinit tl'lin'iitude s.,111 le pcristvlc d Poitevin, une petite rose nu corset, luant qu . que rornan du jour avec une distraction enfan tine, obligée-, qu'elle f't.it d-- rf-poudre aux clieiis et aux garçons de rétablissement. 1 It s le premiers jours de son installation chez p()i. te v in, on la désigna bitu vite par le nom de la btlle Luifintvtt. Orgmillense du sucres d- pa prMenc'ue niece Mme Poitevin s'en applaudirait tout en ayant l'u.il a .vs moindres iuouv.men. Pulelu ri; 1 rit. 1 1 emu uevciiue. 1a mio auupute oe 1 1 us maison Maison tatale, monsieur, et dont le regard I ulclicric ne pouvait encore perer r le mvM re ! K'-prcV-iitez-vous, u etlet, une pauvre fille a.Wdaut cette demeure etrance sans avoir eu seuJemeuf le temps de se reconnaître, nlevi e, pour ainsi dire, sans avoir pu t lh c!,ir nui MtDCBitM qui la déplaçaient! Le r mit r joor une tristess1: stupide la prit, d'e voulut fuir ce tte maison, elle y pr ssei.tait vagu ment cer tains dangers. Mais a qu ll pmé voir re- cours rnoii Dieu ! a qu 'lie porte freapper ? Sn oncle tait rnort, sa mere lui avait donne tout juste ce qu'il lui fallait d'arir'-M pour sa route. Apres tout, cet'e retraite lui assurait une ixi U.ccc a elle qui manquait de pain ! Il fallal voir d qui I rsjK t obueqriieiit r t de que Ile, profond, s salutations Mme Poitevin, escortée de son ii-ne pou, nevait sa r-lie ri- telle. Ihbillé. d. S le rrutill. oti la sovait cou- nr d'un pas pressé sur U galerie, vUim.t tous les peignoir garni de malm., dietrruant le I 1. . . 1'- 1 . . . . . marne ou 1 eioge suivant le mérite, a tunei J.-J--..T. Il 1 I. ot;s oemoist ues oe sa rnnson. et surtout se laiant valoir aux vux k messieurs de in our. qui piuva.eni lonuer xi ostruire tout s.n 1 M dit! Apres c tie trmrnie Je maîtres: f lutim, M rr . A t'All.Kin a'k...... . ..: ou 'ompem un tie I rtl: 1n,. a tromper k tris- : r.. .s mi i n r. m r. . . o... . f. ..l v-""- . I'lij-i aiie.uoie. 1 eue- qui Ini venaient de préférence sur le U vr s roulaient presque toujours stir l rneyen ! parvenir, fle se faire if s amis inr.'femment. i uifait-riif', flirtit-riic, tt aveç ,. stj rharme le a i g-.i j ' ' r"c """"l"11 V ' er uuair. Ul.lu.,. ,, r . ,,. ....,, . ., .,r,r ,); , n . i i . . 1 Turc U h.Ci i un i !;. ii ai Mliiil uu ill trfu. lut s ,,..,.. i, . i i lut le IUI ai dit r ri' mil m.i iilii n un 1 1 . 1.1 . .. i;r.. .w 1 1 . . . ' , "rt a 1 1 ures au iiiuiiiii uni' m U i..uf . . ... t,, ... . i . ... ! . . I . i i ... , ...n uc i iv il uu aiui iii utlalia le pumoti îles a jtrea. l.Ile le parcourait (dus tl'uie f.iia. comnie um l,rnv- Ci'., i . v , i n . . i i. l rav " -t'rtiiandio uu elle ua : lia i ui- ,t m .cu rUlJa 44 A quoi bon, lui dit- Ile, t tricher U dovu tiou î (,t la voua uiene.ta loin ! Vous vex fcru hier, je le aai., A M. In eut de Saml-Hot h, qui connaît, m'uver-vous d, volie lamille r,apprcuez l'ult hei ie, que M i cur ne ifponJ point aux de tiHoaviJi ois eu aeici pour vos fiais, i! ne vous rcijondia pua 1 " pu nui j i.a jui-t naine n nunc avait tu rtlrt te rai sons pour pailcr uiiii ; elle il ter épiait toute I . les li lUrs de luli liene, liiéno celles que la pauvre enfuit avait trouve- moyeu d'eenre a s mere, uont e!L' 't lonnuit d 10 recevoir au cune réponse. Couati ruée de lu moi t do tîrcu- zo, eue voulut tout d'aboid poi er le dru il de sou oncle ; .Mme i oiievin, avc uue maligne douceur, lui r kj.i1iI qus la lege do sa maison ... iui piiiiu uaii jii uu veuiiteui ausii lugu bre. J.u 11 Lange de ce deuil, slle lui entoura la taille, le juur im me de s ru ptioii, d'une nene ceinture de soie brochée d'argent ; avec cette ceinture et U polonaise doimt e pur M. Poitevin, elle cuit tuimeul 1 haï m mte. 1 juin le pratique dout elle faisait entier ie nom, .Mme l'uiteviu s'honorait surtout le M I J 1 . . . leur oc .u. ie auc ne i roiisui. Il n'y nvait pas de semaine qtie M. le duc 11 daignât s'eit- lerrner quelques insiHii avec elle dans un ca 1 : ..... .. ... 1 ,. i.inei pour eerirr puis a raise sa Cofirpi dance, lu c nuvtr aalioii et.tit iiilerroiniiui sou .... 1 f : 11 . rein pai lauiirr u un coureur eu liviee qui recevait des mains de sou maître une foule de inllels blauc et rose qu'il allait leinr ttie en sun A leurs adressa. 1 due de Kroiisac tiailait Mme Poiffiu avec une sorte de laim nain. iHH'nciiir, i ia ni .1 use se ues nsiiis ne le voyait pas déboucher du l'oiit-ltoval dans sa chaise eu cuir rouasi ornée de peinture, uu' lie . . I . . ji. .:. i ' . ' . ne uearenou vue uans le taleau, eu a ectunt essoulllee : .Mt .l. m.is. Iles, toilâ M. le duc de 1 roustic ! ' M. de Fronsae, il fuit v,1( ditr, mon sieur, n'avait t pendent rien de brnu. C'était uu seigneur bossu et contri fitit de toute s per sonne ; il était toujour inle te d'odeur et de piaUiher h l'ambre qu'il m.n liait ronliiiiieltr. ment D habitude, il pst-ait en revue d'un uir de print e ,)(Jt l'espalier de demoiHles pu e tenaient dans la galerie le jour do sou arri ve, s'aiiiiouçaul toujours ,,r ,)t, i,j,,r ,l4san- terie aim tbl,-, eommq relie de tirer l'oteille a une pauvre eiine fille ou de lui t.neir le lu : de tabac. Suivi de d u la pin qui e ptfnelit ju-q Ta son Lam, il n: luisait guère qu'une coiiits apparition. La première foi rjue Piilrhérie l'aperçut, il était d'iiiiu colère epouv auUiU-, p.irce tpie M. le mireriisl line de ( j, bei , son hofiorc pere, allait, a quitre-v irit't-quutre ans, épouser en troisu me iioers, dans Is semaine 101 me Mme de Kootli. L'hotel du min-ehal s'étutvtj m r.onst qui lirf nittuv, le maliri même, te tout c-qui pouvait d plaire aux veui i)e Mme de Kootli, nombre de cet,, entie hsqu'l Mme de oi!Se ( t r; prt kliji lit ll( i',n, rn rte If rit parus. 11 11 était Ou ne pa r ton na nt que c- her fis a'iiidy nal de cette reforme. Kn ,.M. (outrant la Poitevin sou le vestibule, t k'r. cria ; ' Lh bien, rirîwiame P01U vin, mon psre est venu luwiif me ce matin me tune purt ! ton ! il J "i8ria;,e il poute, ce tn tlt.r re I 1 M !.. t t .... il..- t jiout; ; l,Uol ,'i i; ou . s von "t. L.ut . d iUc, mudaine Poil vin, il n'a plu h; t'iiip d'atlendre.,. J'aurai tout de irii ine une aiJinirsi.li; pâture po.jr '.- Il - r r r-, I J'-""'"' tioiseui l lninoint sse ue !(,,,. ! ,'"'lJ, ! "'ol1 U" u" I-IJ '-h.:-! ! fai- " J'" ' "U U n' à U '"' jiar nte (Ji ( Imiseul l lninoint sse d- H ini 1 u,: ,"a''""" 1 ,"u,,, I Survint M. de Noi. I . m. r protw.s, i, le rniié),) livres d" dot, I qu i lli aura lui re omait cent ntiquante rr . 1 viift hk. ut le". la (x-nsitiii de 'ou.! rnill; ,vre du r i, trait - I ment pie .a in:ij-i'- lait a ' 1 . I t t- ï V' -.. aux do'ijwi r'-sd- ma. , r ,, ,,e r rali, r : poursuiv it-kl en r,j. M ses Iras sur on g.ln loré, qu'. n dis-M ? j 1 m, coijiiii1: itj nnij laruan a vit.r .ur 1 ton bain : i "Par le simblen? rrîa-t 1!, oi!j un di' ne ' tiiiou ' ;ti r,- ê rr.érfs, s y cela-.st-r o l. ..... !.. l... ...l . r.al :e ri..'.o os ésu m M. Al ''. uu nt la Poiie v m, tu te m'entend donc pest je t'ai lait deuiauJir d s des par utuu coureur; j'ai a yrrudieune irvantl.- coi.trti Nutr." ct'Uttur revint svtx us de; ou rnirU Cette looiuie luatiu'e aou 'nain. " .M. de roiiMV, dit U Poitevin fi ttj il fut parti, est la.im nt citbî) tk Une uu t on d'rcLt ; lo troiairm uiari. ' .U M X. Il L r-- -- .- l. lieu I csa.pt ic au dernier iKiint. Je let cm- nais, e est uu seigneur qui ne va pas r qua tre chemins, et quauJ il a une ids... - -M. Je duo vous fait dumauiler un Instant J'cntretinu, " du h courour eu sVireaaaoil s Mme Poiu viu. 1. Poitevin rrudil aux ordres du duc. Cu qmrt d'heure après, il sortit de Uiu. le le.nt plus repose 5 uu sourire sarJouique pin ça. s It vres. Ariiv devant le oinptoir, tl odie qtiekjue paroles flatU uevs a Puicberi "l voulut n ié mo ht baiser U main 5 l'ulchéne e retira avec ditute, et il sortit en rtfai daut par dtssus sou epauù droite, aussi levée que ce IJo de lUpjef a la Houppe, i.e uiêuie soir, Pultherie, appuyé sur U fenêtre de la ir d'ailuul, ttfsrJail 1rs saut de lu Seme clapoter trutemsut pis du lU. Prut-t ira soiijrait-ell alors i m vieille terre et A l'oncle qu'aile avail perdu, car ee kiu cil eiatent boinettes de laruiee. Ton! d'un coup I juu, tille- e senl.l eulevie par ieu( bris robusits, elle eoulut mer, eu Biouchoir inuret puit es nia. C'rUrf na dimsuche, I U tombe d? U nuit, H u.us k-seus Je service allai ht- a ki mai.ou r laie at aufti, à fetetp lion de M. Poik viu, pour vtif uue joute le muriuii r a Bercy. Puh herie ne tarda pas I euteitde les riis lurirui de M. Poitevin, que e ruvieurs svstent eulVrin sens Oouie double tour dans U cuisine. La pauvre enfaut n'uvait eouarrvS que l'uige de là vue, elle le iimu'Iu bien vitn eu recoti naissant a quel hom me le dêMiu l'avait Livrée. Les habits de tet bouillie lui parurent tort ri.be, lorsque o manteau couleur de muraille a'eutr'ouvrit dans le geste imperieui qu'il fit a ses deux laquais. I ucsrosse Ntleudait sur le quai, devant le p. lapet qui lonjje h Seine 1 ses Lanterne foue lée par le vt m éclairai nt k peine U pave... le u piuie commençait a loiubsir pur goulus lar gea et rares. u Allons, déperbeï, vous autres, dit le maî tre du carosse. A l'hoirl ! muiniura-l-d A l'o r eille de sou laqusis. Pulcierie, soulevée ed trn les bras de ses ravisseur a, louchait déjà le msrciiepieii. Lu garde, M. de I roueee, tl defeadet vous! lui cria uu mcouou qui fondit sur let I eiifo a la maïu. ' Il avait silhV uu mairtiinque chien de Terre Neuve qui suivait la voilure de puwe d'où il s run précipitamment rlanrê.. Le chit u huh k la gorge de l'ttu des laquais et lui fit lat her prise. ,M. de Frouaae ne pu se dépenser de répondre A l'epfx-l du nouveau venu. I rcé de se défendre contre Pînroaritt. M. de Frousse croisa le fer ; re u'étsit qu'uu jeu pour lui, U veille il avait blesse M. de Coigriy en duel. I iiIcIm iIc vil du sans- A la main de sou d I nseur ; mis il Pavait saisie d'un bras vi gouretu, maigre .s bleure, et Is déposait a l'aide du co her sur h'e cwuasine de la voiturs de p'ace... (."était nu jeune homme, inltrrompis-je, j eu étais sflr : " Prenez, gsrde, me dit la Tur avre une moue grondeuse, vous ne leuei plus anen eeLe- vt uu de fil, monsieur ! " Boom t a BKACVOIIl. Le itofre ou ,V, rirrtrAain. x 1 ' 1 I .'I DES IDEES NAPOLEONIENNES. Ci-su it la concision d'un livre rrmsrq'iebl que vit ni de, publier Suus ce titre, le jtume prince N roi ron Lot is Boarsaïa. Ea période de l'empire s ?té une guerre k mort de I ingl' terre ii.tre la rrancr. L'An i , (rff(, j ' a triomphe; ni 1, gtâce, ueuie v . t ié ut tir s poli, on, U hr-ihrr, quoique vsmeue, a moins !riu ru 4ifn IN ment que l'Atigli ti rre. E s finsncra de la l'rsnce mjIiI enroie plus prosperre dn 'F.ur.) l'An, ght-rreplie ss le Ja de sa leite. L'rlsu ib.nné l'indu-trit t, au ommerto ne sVal point sirt'te rr alié u, revers ; aujourd'hui le '.lit 1 nt 11 1 1 e.toprrn st fournil per lui-même de la plu, p'.tt drs pto'luits que lui fournissait au- Uf'.i, I' n; l,.t. P. 'lr, iiiaii.ti. naiit, lious le demandons, piU ji.t les plu granUa iiotnrue d éut, ctux qui ont gouvi rné d a pavs i;'ii ont fc'gnr mslgr: Ifur défaite, eu ci ux ipi ont tdj nule'ré 1' jr Victoire î Ea p ri-oie de remplie A été gnf guerre 4 m rt t outie lu v ux sytt- 10e euroi é -n. La vieus sv st tue a trioiiipl.e ; mais malgré la . nui- e: .sapoi. 0.1, .es ;u r, isirs tsun, . I ... I S . . I.' .1 . . . . . o 01.1 jji-Miit p.irtou'. 1 s vainqueur riemt s oui 1 plis l s idées di s Vaincus, rt les teiifilc sei j onsument 11 etiort pour tefiire c que Na-1 poléoU SVSit 't'ibli lh'Z eut. En France, on 1 darne sens ci e sous d'an r s tif iiis u d' Hic for mes, la léaliea'ioii fjt ii. m do l'éinp re if. .'i u ie grau'.' me. m. . . .. r. .'....I l.î.tt I . i li. t.! A i e.l ' f UU. 1 FUI. IfU lll L lilTI'l MltUil ' 'Il VI ' H i .ltm'l. ua f t.it oc N'spolêrui que l'on tl "-'i m 1 iiMtmi immmmmm voir, finite pnMuiii,o ire rhesnhree sej ssei toujour ss.il IVjfiti J NapoWoH, potst set rru lre p.fu'aire ; rt sur un rM lorale U a lxithe, ou t.Jtt.t i.Mit ua système. l.'tulie, U 1'al.ijne, ont cherche' à recoes vrrr cette orgsoisatiou nsùonale que NapoUtssi leur s t dounée. L'I'.pvae erse k rrrande dote le sesog 4s ses cutouts por réttblir 1rs iaetituUoesi (jvso k c.multt) do lUyoune de h garsatieeatL Last trouble qui (agitent ne soot que k Hect qui s'eirrce d'elle-m m contre leur teàetAJsaam a I Empereur. A (Audres au!, U réactiott a Uess t ou a vu I nisjof .général de rami Frexa çaiae 4 airtloo feté per le peuple afkis) è egai ou vainqueur. I.a BeljjHjafl. ea HS inaBifejté ment son désir de devenir c qvtssD taisi i.mpiie. Plusieurs rev T AIlrsnasTie r4claaaea4 Vssi lois que Napoleon leur avait don a. Is rantou Suisses, tTun comn t retoreV preirrentau pacte qui leelie, l'aetede m4iailes de l H S. Enfla, nous svou ru, mi me tkaa rs EeV ubUiuu démocratique, k Ueibe. e diatrisesi qui avalent aulrrf'ois apperteaa k k Vrans rV clamer u Hli du fuvertirmeot He mole ko oi ImpêiUle dout l'iucorporatioa k ca4ii ssV ubiique le avait prives th pule IH14V. Deiiiaudons-le doue auaei, quele tool '.si plu grand homme d'euts, rem qui fatadejat uu yalfute qui 'crogle malgré letir sssst) pUMseuce, ou ceux qui fuodeul ua sTatluse qui survit a lear Juleiie, vt qui reuaat k se ) dres t ls idées napoléoniennes ont done k cre tere des ideves qui règlent le mouvement ks) sHM-tetée, puisqu'elles avancent per leur propra f.rr, quoique privées tie leur auteur J . bUbles I un rorps qui, Isorê dans reee, arrive par ott prt.pre poids aa lui qui ki êul assigne. Il n'est plus beaolri malnrniant de rerklro k système le l'Kmpercnr, il ee refera de IV même ; souversin et peuples, tous aiuVrot. k le rétablir, parce que chacun y verra an - rsntte d ordre, de peu et 11 prospérité. OA trouver d'ailleurs aujourd'hui cet homme extraordinaire qui itnpoaaii au mooik par k reiect dtl k la uriorit des conceptios T génie de noire époque n'a teeuia qae Je k simple raison. Il y a trsnle ana, Q falkii deviner tt préparer 1 maintenant U sa a'all que de voir jut et de recueillir. M Dans le faits contemporains comme akk) h-S fait tiiaioriqaea, A dit Npoléo, o petst trouver des leçons, rarement des modelée. On ne saurait ropier ce qui s'est tait, parée que les imitations be produisent pu Uiujrjus 1rs rrserftthlanrre. En rff. t, ropier Uns see détails, tt IU ek copier laua son (rit ua gouvernement ptx re serait eir rmnrin un général qui, trotts vaut sur le même rhamp de Uuill eu vainquit Nspoléoa ou Frédéric, voudrai! 'aarer k suct es eu répétant les meute mantfttvree. En lint l'histoire Le peuple, comme rhk toire des luisillra, il faut en tirer îles principe généraux, sans s'astreindre servilement A auU vre pas I pes une trace qui li'et es empreints sur ie sable, mais sur ua terraia plus élevé, Lee) iulérêts de l'huins niié. Bépétons-le en terminant, l'idée tapoUtv nieniie n'est point une idée k guerre, mais une idee ejrile, industrielle, corn teer freaie, humanitaire. Si, pour pieL-pi hommes élit pperait toujours rntourée de k foudre irt combats, c'est qu'elle fut en ehVt trop lotf temps envehippe par la fumée dn ranoo rt k potissiére de batsilU. Mais aujourd'hui e nuages se stint disies, et on entrevoil k tra vers la gloire de armes une gloire, civile pkal grande t plu duruble. Q je les mines de l'Empereur repoeent loee en pan! Sa memoir grsndit ïmt W jour. ( huue vajoe qui se t ris nr le rvtner Sainte. Hélène appottr, avec u a sou me J ht tope, un hnnimsge a sa mémoire, nu regtrt a se rtudre, rt Perho de Lonjrnood répéta ? son cercueil . "Lr rririis nssrs 1B4. - vin list rsr.ioiT a ktrsiaa ton oc vastit. " U ptinra Nsfot to leous BO.NAPAUTE. Iins Niêoiioe dans of vJume dont nous donnons re pt!t sxtiait, a tspt-rothe les actes et h s ides 'tjiii ont k plus marque sous l'ère de l'Empire. Cette espèce d'apsv the ose saas (rte Jesmlé resete. esrt Je ( vVB f rts L'é jwj'ie vii non vivons a m de aiiija'irrt . . . . H),r j,, h)1, y., peuplts, Lua u.a a Vsveuir tes mvstctra. Contettooa Ucrn d'ol-aervs f A ce sejet qqe per4inS mime k fa mi H k Grand N'aprih on, ce héra qui fut U pUire le k I'm r, n'a peu m hrfiupe Je) droïi totfverbins sur it s I unçsi. Ia. IfgrtU mite ots t nnttssu i-iauc ne uon iasnaievi A. . , , , a. r'injr sue csb cvpscnTvrrtrei peso.