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.TV diinTea. Va cri rzéniraUe ft entendre ; Lefcaus f(;j rfrertr.t a révcuT.on d avaut qu'il etït atteint U moitié du U dinVii.ce, . Frmxe, qui s parurent Is Hollande d joug de vingt batsau armés le ponrsuivaiei.t nonlc j iq-j.p,. jff J, Sji..- J; l'Autriche, les Etat, meut. U digue cheval li.nd.it l'eau du IMa- j .. . , ,. . . rJLtérét de uitre l'eneromuit dan un douU . ' , ,. .... ... tout, Uu n eu peut fi i cire aj:a:.i eiî i u- Jependarice d eolonies espagnoles. Lacbusc are : sou maître l'eperon intérêt, pendant que les balle sitlUtil autour d'eux. La marée descendait, t quaud k ma. raudeur eût atteint la rive du Jersey, il ; trou va vis-à-vis l'entrée de I vieil! ne du .Mar che moyenne, la nollevsc créole freent I révolution pour devenir la cUf: première, composte d r,n toucnaut k s, w i n.., ri, ! yMf(J.. co(ftmc tliX Canada elle nu iiitolet, et aprn avoiaiu' ueiiMTi-iieiit, .. ..' , ' . i-i.... i et composée du sanz antrio-saxon, et ce lut Il tir sur ic premier eanoi. - u itoiumc vm j . I par deus le bord, H s'enfouça dan l'eau pour j ai nom de Ferdinand qu'on souleva les autrei lie plus rcparaitç; puis le maraudeur rt perdit claies. Celles-ci ne désiraient rien, et leur dan les lois. vue était Ionise par l'horizon, au-k!a duquel Furieux, harassas, le angla jetèrent un eUÏ j,. ,0I1j,. Ctuii-.tLiL regard de désappointement, jurèrent, el sgn-- rent la rive Fensylvaniennt, bien persuade, î pgne perdu ce pars par n faute, et que si ce n'était pas la h diable, c'était au l'émancipation du Canada est préparée, rendue moins uu de ses principaux ageu. inévitable par les fautes qui ont amené l'Inde De exploit de eett espèce fuient si freé- iudn des Etats-Unis, Ici cette révolution miens de la part de ces homme, qu'où ne j a été conduite, Intimée par les rigueurs et pourraient en aacuno mauiere condamner I es- j mesure imprudentes du gouvernement au- pression (M tfeapoinieineiic ce,, T ... j, cB gefa J(. m,mç i(J Catm,U poursuivaient. Le danger personnel n-ur pa-1 - Le possession britanniques, ilu.e entre le Canada t la Louisiane, fatiguée de Pop- laissait tntil.h.r,iil elranL'iT. I.e pi mir les anglais seuls, était leur unique but, avec I" .'I 1 '. 1 ' - . . ov.t.'MtW'. kl . ta lutiw tmr.ii om a lu-rer . r.. - M;fjn Jç ,(.ur mt.tr((((Jf vll)orUini, aCC perMitieU'te a leurs eimetnis. 1 anl"l il étaient . '.' . a Philadelphia, ùt is du coutume anglai ; tan-. mi.at.et.c le joug qu. leur était .n.po ; en tot ils soub"eaicnt Icb rnalhtr d kur amis I H" la fiillade du Lexington leur fit arborer at Yalle'c-Forgc. j l'etetidard de U révolte; et de re moment ! commença U (fuurrc ce l'indépendante, avec uu couiae digne de terns héroïques. I.e combat de l'ruukcr't Hill, oil pmir la première fois le Américain oèrnt dan uo combat régulier, braver le armes de leurs op (.reseur, fut le signal t l'émancipation de toute l'Amérique, et di"Ui même du ginre set. coxi;:t !,-.. session. KainiiT us IK.'sirs it il Sfc'?.T, 17 Jva.--, 1-4". T.e Sénat prit en coni'l-ration la résolution d Mr. William, rî.-.r atdar.t au Président des htaU-Cui la corrtepo. 'lar.ct avec It gouver nement argliis, qui n'aMiit pas encore ete rornmu::inuee, au suietde la freontière duMaiLe, et avec le minihtre angliis. et le gouerneur du Maine concernant l'inasioii de l'htatdu Mai ne, et l'exercice de la juridiction du territoire en ditpuUr. La question qui fut Eg:".ee eut lieu sur eettî résolution additionnelle propos par Mr. Huggles : (ue le rréiidect soit rquis de com muniquer au .cuat, aU-iit que eut le per mettre l'intérêt du uervice public, si il J eu des mesures de prUes, t quelle lie j sont, en conformité de l'acte iu Congres de mars 1-3'J, ou autrement, ponr eapulser le troupes anglairts qui ont pris poetsioii d'une partie du Territoire réclame per la (Jrande-Kretagtie ; t urtout si, denui la dernière svMiou du Contres, de postes B.il'rtair!. ont été éublis au Maine, ou toute autre mesure préparatoire adoptee pour U detVi e de l'honneur et des droits de la nation et ta Maine, quant a la ré clamation persévérant de la (Jrande-lJrctagae sur une portion du lrrntoire Oc cet l.tat. Il v eut sur cette qiestion d'assez long de bat,'dont nous en duuon U parli-i U plu CMcntielle. Mr. Huchanan pne qu'ell contenait une censure implicite di president qui n'en mé rite na", en c nueli conduite de cet officier ur ceite matière imponanie et ueiicare avan obtenu l'approbati n de tout le pays, sans di tiiifîioii de paiti politique ; que n'ujant pas 1 LE PATRIOTE CANADIEN. MERCREDI SOIK, 29 JANVIER 1M humain. I.e tan verse pour I Inilependani e d'invaiion du territoire, ni aucun imminent d" Américain a appelé U révolution de Fran- danger d'une telle invasion, et n'étant que du ce. l'Indépendance de l'.Wrmu.: du Sud ; il I ' Janvier qe le presiami appelle a prands cri l'Indépendanct des Ca nada; il a evcilld chez le nation de l'Eu- a nu Connai tie l'invasion actuelle de Aer compagnie de troupes anglaise an Lac de Temiscouati, ainsi antérieurerncnt a eett époque, aucune rope le bexoiii de liberté. Tel sont quelques rnesure militaire n'aurait pu être prise, par le ! uns de résultats prandio-- d? cette resistance président, an qu'il n'encourut U censure et DES COLONIES. Toutes les Colonies n'ont pas eu une mém riine. Les premières durent leur naissance a l'inquiétude du quelques hordres do barbares, qui après avoir loug-tems erré dan des con trées dfs.'rtcs, ie fixaient enfin par lassitude dans an pays nil ils formaient une natior. D'autres peuples chasses de leur territoire par un ennemi puisant, ou attiré par quelque hazard dans un sol preferable a celui de leur pères, se transplantèrent sous un nouveau ciel, et y partagèrent les terres avec les premiers ha- bitans de ce climat étranger. L'excès population, l'horreur de U tyrannie, de fac tions, des revolutions, déterminèrent des ci toyens a quitter leur patrie, pour aller bâtir ail leurs de nouvelles cités. L'esprit du conquête fit établir une partie des soldats vainqueurs dans de états subjugés pour s'en aisurer U pro priété. Aucune de ce colonies n'eut pour but le commerce. Celles même que fondèrent Tyr, Carthage, Marseille, républiques com merçantes, n'étaient que des retraites néces Mires sur des côtos barbares, et des entrepots, ou. les vaisseaux partis do ditTérens ports, et fatigués d'une longue navigation, faisaient ré ciproquement leur échange. La conquête de l'Amérique a donne l'idée d'une nouvelle espèce d'établissement, qui a pour base l'agriculture et le commerce. Les gouvernemens, fondateurs de ces colonies, ont voulu que ceux de leurs sujets qu'ils y trans porteraient, ne pusieut consommer que les . marchandises quo leur fournirait la métropole ; M pussent vendre qu'à la métropole lea pro ductions des terres Cette doublo obligation destinée aux colonies a paru de droit naturel à toutes les nations. Elles auraient du, au moins, avec cet affreeux système, regarder la commu nicntioit exclusive avec leurs colonies, comme il la tyrannie. L'Angleterre puisse-t'elle enfiu se ressouvenir du spectacle d cette terrible experience î Les Américains dérivèrent U face dt l'uni vers que le roi d'Angleterre par une domination despotique et eruelle, avait mmpu et anéanti tous les liens de sujétion et do fidélit,rt fait ces ser dans ces colonie tous le pouvoirs et tout le autorités émanés de lui, et ils fueutbieu ; car c'est en vain que l'autorité voudrait m de cuiser qu'elle vient des homme. La nature, l'expérience, l'histoire, le sentiment intérieur i . -i.i de la ' ,!Trcn"' 111 ro' 1" "" i,nncni ues peuples tout ce qu'ils possèdent. Tout homnvî tient de Dieu sa vie, a liberté, le droit impres criptible de nVtre gouverné que par la raison et la justice ; rt il doit montrer ufi freont me- ' t.'ij.nlit fil lr. .-kiil .tltilttnft .11.1 lmi 1 tivl. ver de ces bien. Canadiens, qui ftes patien dnna vr maux, sachez agir m ninse, qu'un elan una mm vous emporte tous contre vos tyians pour reconquérir vos droits naturel, ou mourir avec gloire et générosité. Il rot de circon tances où le lâche seul dit : il faut obéir et htur. Far uns suit naturelle et nécessaire des droits et des institutions qui ont ete garantis par ls capitulations et le traites en vertu des quels les Canadiens sont devenus m-mbie de l'Empire de la Crande-Hretvne, déroulait le : privilecc du pouvoir garder avec leurs droits, leur langue, leurs institut, on, leur mururs, leurs ui-ages et leur religion. Vn délire affreeux a porte le floiivrrncment Anglais a réunir sur la minorité anglaise, si faible partie do la communauté dans le l)a Canndi, les privilèges, une distinction injuste et l'autorité; tandis que les Mil'-dix ème i'e la population sont abreuvés d'amertuncs et un dédommagement excess.f des dépenses fai-, jnflvcuwa calamités. Ce iot d injustice tes pour les former, à faire pour les avoir, les conserver, et les exempter d'impAts, do taxes directes ou indirecte ; mais il en a été autre ment ; le système qu'elles ont suivi a été un système de monopole, de privilège exclusifs, d'abrutissement et d'esclavage. Honte aux .iliMHA.. rnvAn(.nn.i nui V ffAiiv.ttipKt I En jetant un coup d'ttil ur l'Amérique du .i, j Sud, nous voyons des républiques s'élever sur les ruines (Tun gouvernement despotique. Le feu sacré de la liberté s'est élevé dan l'Amé rique comme uue flamme volcanique, et tend A éclairer le monde entier de sa vaste et bril-1 lante lumière. La tyrannie justifie le résolu tions les plus violeutes, il faut venger les droits naturels en brisant le sceptre de fer qui écrase. En considérant, jusqu'à ce jour, les résultats de l'entreprise des Indépendans de l'Amérique u Sud, nous nous permettrons de penser que les espirits n'étaient pas assez mûrs, étaient trop empreints de fanestes préjugés et d'ab rirées superstition ponr une révolution régé nératrice. Loin de noua cependant l'idée de . blâmer ks hommes qui prirent part à ce évé temens, car nous pentens, do conviction, que iajute colonie epptinée a le droit U'ètie libre e,und el.'c b puC criantes. Maintenant, après leur avoir vinM imi hs dro ts, on ose leur proposer des envahissemens déboutés et pervers. Le Canadiens néan moins pensent, avec raison, qu'eux seuls de vaaient decider de ce qui convient a leur bon heur, et que toute l'aJniiui-tration des affaires eur appartenir. Depuis long-tems sans faire au gouvernement anglais rolTcu: qu'on en reçoit maintenant. il'i'il ignore quelle march a été suivie par U president depuis la lettre du gouverneur Fairfield, mais qu'il presume qu'il aura pro teste contre l'occupation militaire par les au torites anglaises du territoire en litige, en vio lation de l'accord tt des droits du Marne qui en a demandé une explication au ministre anglais. quVaut d'essayer de chasser ces troupes parla fore qu'il devait en appekr au Longres pour lui en fournir les moyens. Mr. Uugzlcs obse.ve que dan m demande il n'avait pa.s pour but de censurer le prési d nt, quo ce n'était qu'une simple enquête qu' il desirait; t si le presideut ue s'est pas con duit selon qu'il le devait, ce sujet .era decide par l'Etat iu'il représente ; qu'il pcnse'que le président a suis doute agi depuis lu communi cation qu'il a eue de la b ure du gouverneur du Manie, nue c est inconnu et mente d être cou nu ; qu'une violation palpable et forn e li de la convention contractée ar la mediation du gen Scott a eu lieu, et qu'il pense que ou amende meut sera adopté. Mr. Allen admet que le sujet est très délicat, t que le Congrès, l'Executif rt tout le Peuple Américain étaient unanimes pour cette grande question en nccordnut au Maine le droit sur le territoire en dispute. Après quelques notre remarques de MM f'îay, Davis et lUchanan, cette resolution fut adoptée. fJ-Si le Represent de U nation améri caine font leur devoir, comme nous n'en dou tons pas, de mesures ferme seront prompte- ment adoptées pour apprendre aux Anglais quo les Peuples le plus pacifiques sont terribles dnns leur vengeance, quand ils sont poussés bout par un voisin ambitieux et injuste, et qu'où ne viole pas impuue meal ks droit d'un Ptrrt c LiRitc. I.c gouvernement rt le Peuple de Etats-!'- nis ne doivent nourrir aucun doute de l'entière qui tendront a purger k t vierge ie l'Ame. rique, cette terre dsi Liberté, d'une autorite européenne barbare, ctqu, dans son aveugle ment cl sa fureur, a freappé cruellement toutes les libertés d'un Peuple amoureux de la justice eu souillant le droit Ws p) saints k l'huma L etnité ordonna l'impression d .'y 9 Cfjpiesdç l't xîrait h; cere .orrerrdanc, et la question fut reaïoyte aa coruit its al7..rts étrangère. D.'i Coram sa!re out riomrné psr le go-i-verterneut anglais pour examiner le Terri'.o re en Di.pute af.n de prévoir, ti faire c peut avoir de juste donnée pioprel a concilier les deu gouveriiemeus r ttaumoirj on Le pet : plus douter uiinf.nant qua ce commuiai. c n'ayent été envoyé pour choisir de poste militaire. Aujourd'hui que des caserne ont été làtie sur le Territoire du M line, que de corps mi litaire en ont pris possession, le ministre an glais â Vaahingtoa ose encore près du Préti- der:t des Etats-L'ui, recourir, pour cacher les vues ambitieuses de ou gouseruemeut, a U déception la plu sensible. tuoi! vous d.te que les troupes anglaise .lacée sur U Territoire ta litige sont pour la protection de viissesu qui paent tntre le Noueu-I5runswick et le Hss-Cacada ; niais croyez-vous donc, Mr. le diplomate, que les autorité Américaines ignorent que la naviga tioi du fleuve .t. Laurent cvt close depuis U moi de Novembre jusqu'au mois de Mai sui vant qu'ilie n'ouvre de nouveau t Cependant, c'est au commencement de l'hi ver, c'ct a l'époque que votie prétendue pro tectioii n'est fondée sur aucune probabilité, que de troupe 'ont envoyée dan l'intérieur du pays (olcrez-lo bien) loin du fleuve, pour protéger vos vaisseaui qui u'ont aucun enne mis ni aucun danser a redouter, vt qui s'eloi gr.M de eaux du St. Laurent durant l'hiver. Eufin le voile epai qui couvrait leyeu du gouvernement Américain, quant au disposi tion tmiealrs de l'Angleterre u-a-vs de Etats-Uni, par la mauvaise foi, la duplicité et la déception de U politique anglaise, finira pat se déchirer, c yeux se décilleront pour s'ou vrir entièrement. 11 est tems! . . ejuelli IU apjwtienw-nt dTatcr jamais ua cheLtid itjlA tie ri'seft'Cf.' Le seul MiicXicV'iiit-xit !t-freKfjyfyiP6 qm aii trie; lUil au i,;!, tl jue le jwlu:t .v .luit su .tiiï.t-rerr ctiiiiii ç a r'é ci. devant Je fa, et iw V différentes léno. tnmatiein religieuse vieiiJrotit en jartaç il proportion de leur pe pulatie u, u ton dft leun contributions icli-neuse. l'n lettre paiticnlirre de Montréal man de que Sit Jaincs M'Donnell s'en va dan le Haut-Canada comme administrateur do gouvernement et commandant des force. Cvtht vient a l'appui du mppjrt signalé par le journaux du Haut. Canada, que Sir George Arthur a lésigné et jtul est sur le point de partir otir l'Angletene Selon un autre bruit courant, ce ne e. rail pas Sir James M'Donneil qui irait ad ministrer le couve. ncment du Haut. ("a. natta, mais M. le jue-en-chef Stunrt, jus. qu'il ce qu'il artive d'Angleterre un succes seur a S;r Ck-orge Arthur. Important Ju Haut CunaJit. Le Herald de Toronto annonce que tlan leWritern District ii se prenait de mesures jiour une Assetnldée (ïénérnlc du District, à la fin de faire parvenir an l'arlemenr Im-jt'-rial une pétition demandant la tépntu lion du district tic la province ilu Haut Canada, et la liberté de joindre aux Étals-rnis. Cette dcninrclie serait due au délai mrvenu dan l'lfidemnisalion de ceux qui ont ontTert des perte par suite de l'insurrection et de invusions lécente. Lt liruit court que .Ni. le priKiireur-gé-néral du Haut-Canada, Hageiman, a été nommé jupe il la place rie M; Sherwood, (jut a itiirné, el que M. le solliciteur-général, Draper, ft été nommé procureur général, avnnt été lui remplacé par M Hu bert Haldwin, l'n autre bruit signalé par le Transcript de Montreal du. que M. Ha geiman a été demi. Exirait d'une lettre a l'ÉJiteur du Democrat, datée de Masardis, 14 janvier 1 ï4 0. J'ai été informé d'un homme qui e.t arrivé ce .oir de Madaa?ka, que le anglais out coiiMruit une urandc maison a l'embouchure de la rivière Madawuska, sur la rive Sud du St. Jean, pour la convenance de leurs soldats. On dit que cette maison pourra Contenir 500 hommes. La personne de qui je tieus ces in formation a aui ajoute qu'il a eu uiif con versation avec un otticier anglais, qui lui a dit qu'il y avait quatre compagnies au lac de Te- miM ouala, et que riens regimens adiiitionneiii étaient en marche pour se rendre à la même place. Ces mnvemens indiquent la determi nation ! leur part de prendre une possession permanente du Territoire. Preuve de ucs équitables, et ries fenti- meu d'amitié, et de l'accomplissement des contrat solcmnel de la part de anglais. Lit Gazette Officielle contient une pro clamation érigeant la paroisse de St Ra phaël, comte des Deus-Montagties, pour les fin civiles. The Journal Officiel d'Aucusl, (Maine,) du U jauvier, coutieut le paragraphe suivant : " Nous somme nfofffiés par un Monsieur, qui arrive do St. Jean, Nouveau-Bruns ick, que le nombre d s troupe anglaise, assem blées dans cette ville est de tjonijhomuics. W iuifie cela î ' CIioe étonnante, ht Icinpérntiirr a été licnucoili plu-) liîoiireusi: dans les région nmin. eeplentiiofiales de cet hétui-plière, rpi'au Canàda( cette armée. Vtiiei te qu'on lit dan tin tournai du Sud î " Le freoid est tellement riirrwretix dans la Caroline lu 'nl et Sml, Hn Winlr les livières KUit gelé s ; depuis fuit !ong tems on n'a ressenti un freoid aussi excès- if. Dans le Kentucky, la liviete 1'J 10 liio est couverte le tlaçr'ns, d la terré,- de, ncige À Pittsl.tlfg, (Pennsylvanie; la thennometie. le l) janvier, était de 2U dé triés au-dessous de .éro. La i n if re James est fermée par h-s glace ir Kiclunond. L;t riviere Potomac r?t gclee u une distance considérable au-de.'us d'Alexandrie et 1.1 Haie de la Clicsnpcake est gelée à cin quante milles au-defsu. d'Annapos."' ils sentent qu'ils sont traités avec une hauteur insultante, navrés d'i fodUy d'injustices, de vexations particulier i's'if.igncntds pré férence inipolitiqi é l'hum liatio dos ci- i toyeus ; ils n ont qs tnw hcuHft 1 arbitraire, les meurtres, les vic-1, If pilbi", Ws irweu dies et les meurtre d l-mr coneiwyec; 1 besoin de justic 'accroît Mn. k-Mt cortrr. L'Angleterre ijnore-t'ell q U mot A li berté est magique, et qwe ra aoaajr e.t natu rel a l'homme 1 Lira he âM p-aa ignorer que le nations quand e' sral fatigué m d Foo- pression de lenrs pornvrwemtmi, iépmiliés o la confiance mornhj, peweat a rèfolAf r eo tre eux ; tt, lorsqu'elle k vcmluat Wolmieftt, elles Cnisseut, tôt ou tard, U va pro'iîrvr lo moyen et lu force oeùirv pwar rflvcf tous les obstacles qu'en peut km vffwsx. 8iiAT. 22 Janvier, Le President communiqua la correspondance qui a eu lieu entre M. r or tre anglais, au sujet du Territoire en Dip Lu voici la substauce : Mr. Forvth deamude s'il v avait &V trou pe anglaise sur le territoire en litige, t s'il y u a ait, pour quoi euient-elles u I Mr. Kox reiKitidit, eue des trouye appar tenait au gouverncmeiM de t mijctt;, étaient ca efwt tm le Tenitoire en quesionf mais tien paavc l'intention d piendre une attitude belligérante et qif't-lles y étaient stationnées tVrOlR r HOT EU E R LES VAIS SEAUX QUI PASSENT ENTRE LE NOUVEAU-BRUNSWICK ET LE BAS CANADA ! ! ! Mr. Forsyth observa que la réponse de Mr. Fox u'avait pas satisfait le Président, et que ki utç"BCtiuii lui enjoignaient de dire que Pe.vrs-.atif cousidérait la station de ces troupes aahii-e sw U Territoire du Maine comme 3r tm wti'mctie impudence de l'accord tait entra le aéni im t tk Join Harre f)u Canadien (h Quthtf Extrait d'une let ti e de la Baie des Cha- eurs, district de Gapé : ' On a lahotiré ici le tteife. décembre. On fait ici signer v.ne tié'tition contre l'an- nexation du district de Gaspé nu N'ouveau- Brtmhwick. Tous les Anglais, hcoais et Acadicns le signent avec plaisir et espé rent que leurs justes teclamations contre tine mesure qu'ils appellent etix-niCines ty- tanniqne, seront contées. Haut-Canada Le Bill des Réserves du Clergé a été rinaleincnt pasi-é dans la chambre d'assemblée a la inajorué de 7, la division tant été de 2" contre 21. Le préambule du hill avait d'abord été rejeté, i rr'e pour . rendre a sa destination ! Il ne ( I ri.Vj'Mr '. .V-w-Yor!..) fil fiiirt eil croire un journal américain, 1 Sun, l'incendie du Jrrinton vient de reveler Par fe !e p'us vil, le plus eapaMc de soulever l'indignation publique, qu'il soit possible du lire dai les niinn'c- des desastn s maritimes, Nous même- n'oons pas y croire, ar p'or tout citoven mirait le droit de faire justice d'une lâcheté au'si iiipigne. tinit d'un caleuj qui tait freémir, et d'une cupidité sans exemple, oici a ia lettre ce que oit le Sun : Vendredi soir, le capitaine (Vmstotk a expédie a Ncw-oik utie Irtire dans laquelle il dit que le capitaine WILLIAM TEKKILL, du '"p Imprort. ne, se trouvait uvec mui sloop a une distance de quatre ou cinq nulles du Itjimlun, lors que ce sieanibn.it commença a bnuer : si 'le capitaine TERHILL, ajouK-t-il. Hait allé immédiatcnient au scours du .sringi.n, il aurait pu sauver ni. grande q-mutite de morde. L'excuse que d-. une I sapilaiuc TLRRILI c'est n'en e dt isng'-at.t, il uvrait indu la de même que la proposition faite par M Tliotnburn de vendte les rr-erves et den laisser le produit k ta disposition de la lé gtslatnre, et le comité-général nlta.it se lever sans fairs rapport, lorsque quelques membres réformistes qui s'étaient opposés au préambule se réunirent à la nrifcoiité en faeur.e la meurc. Ce nuraWes sont MM. M'Ponjwll de Stormost, ChUholin de Glengary, Shaver, Cook et M'Cargar. S'ils pe fuswrvt nppe.-é a ta mesure, elle aurait été réictéo a une majoiité de 3. La marche suivie par plu? d'un tiers des membres téfouni&te, dit rExamuirr, de même que pat nnt partie de la presse ié- formisle, devra diminuer beaucoup la res ponsabilité qvie nous avons dit dans un nu mero ptecedent avoir ete assumée par le gouverneur-cenetal. C est à des Uefot mistes éprouvés que le pays doit la division des Réserves dH Clergé, à rencontre des désirs bien connu et souvent exprnn du peuple, la conhtile des metnlucs ca ble, mtendu pie 1 operation du bill eiupe cher Baa a moiadr doute lXgUsa ta s'est dune ps arrête, et a la Use peri dc la t la plu atireu-e piucie cent pn?n .. Non noss arstiendioiis de faire etteune re flexion a cesnjet : tout ce qne nr.tN pourrioiis dire i.e s rvirait qu'a ïtV.ubhr Pindigi-'tion que- chaeuo re-tentira a la ket.re ùk cei auo-. eakol. I)e t.'HttcT.i'a rt 2i. Non attendons avec une vive ijnpotier.e l'arrivée du Hiitiih&r qui, Ion t prv habilite, nous apportera d-in:r'atc no.jvcl, tant pohtisues que commerciales. Ce steamer a maintenant 21 jour ci neer, et comme uv être uu peu eu r tud. De i.'IiPiCATrtR tu 25. Les notnelles cpporti'cs par le paquebot it Londres, le ijvibe-, sont peu importantes. Les feuilles anclaiscs ne s'cupent qne du jucement des Chartistes. Il parait que l'on redoute un coup de main prepare en faveur des prisonniers, an procès do Monmouth- Le ilnaïd ditqtiele Vin duhr, journal thartiste, a poussé c-nvcrtc mcm a l'assassinat les te moms pour détruire en eux les pieces de conviction. No-a lisons aussi dans les journaux an claUmele maréchal Vnlee a ete destitué 1 1 Ifi'il ati remplace pa ta gt-tcral Ittm ilk IT \n\n lane, iti'i cooperation de C.4.sdies dans ks acte nité. Edit. P. C. svth, Secretaire d'Etat et Mr. Fox, le minis tholiques noti porait lout-a-fait inexplica